tag:blogger.com,1999:blog-14018649507644089562024-03-12T19:43:53.570-07:00Genealogy of Duffié-Leroux-Taveau-Duroyon-Fouillaux-Mocquet-Derieux familiesEstelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.comBlogger152125tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-5180725807042977022024-02-22T15:00:00.000-08:002024-02-22T23:37:26.511-08:00Alphonse LEROUX 1812-1824 à Paris<p>Tranche de vie parisienne. Tranche de vie de la première moitié du 18e siècle que je ne pensais pas trouver.<br /></p><p>J'ai donc pu consulter le dossier de libraire d'Alphonse LEROUX (Jean Baptiste Alphonse LEROUX) aux Archives nationales - site de Pierrefitte. Ce dossier individuel consiste en une demande de brevet de libraire à une époque où le gouvernement contrôlait cette profession ainsi que celle d'imprimeur afin d'assurer une censure politique et morale (production et diffusion).</p><p>Il ressort du dossier que si Alphonse Leroux a persévéré dans la voie de libraire de 1812 (ou 1814) à 1826, il n'a jamais disposé d'un brevet à son nom; que l'année de son mariage signe un arrêt dans ce milieu qui ne l'a vraisemblablement jamais accueilli. Des années plus tard, Leroux reprendra goût aux livres en éditant et corrigeant l'ouvrage de Caire-Morand sur les pierres précieuses.</p><p>Chronologie Leroux :<br /></p><ul style="text-align: left;"><li>ca-1812-1820 commis chez Méquignon-Havard éditeur du journal la France chrétienne<br /></li></ul><ul style="text-align: left;"><li>avril 1822 Leroux acquiert la librairie du libraire St Eloy (pour 3 000 francs (à confirmer)) et fait sa première demande de brevet (reprise du brevet de St Eloy). Cette longue demande argumentée a vraisemblablement été rédigée par Leroux avec l'aide de son frère étudiant en droit (futur notaire aux Batignolles de 1824 à 1830). Leroux réside rue des grands Augustins n°9.</li></ul><ul style="text-align: left;"><li>août 1822 le rapport du préfet de police est défavorable au motif qu'il ne serait pas royaliste et accueillerait des libéraux.</li></ul><ul style="text-align: left;"><li>octobre 1822 ordre de fermer la libraire Leroux <br /></li></ul><ul style="text-align: left;"><li>1822 Alphonse Leroux vit avec une femme (selon le rapport de police)<br /></li></ul><ul style="text-align: left;"><li>1822-1824 Leroux, toujours sans brevet, exerce le métier de libraire vraisemblablement derrière un hommme de paille (son vendeur François de Saint Eloy) et sous couvert d'un titre de commis dans la librairie. En effet St Eloy abandonne la carrière de libraire pour celle d'hussier à la chambre des députés (de 18xx à 18xx). En 182x-1824, Leroux se pare du titre d'éditeur.<br /></li></ul><ul style="text-align: left;"><li>Une note du dossier de 1824 dénonce des ouvrages contraires aux mœurs dans la cabinet de lecture adossé à la librairie de Leroux. <a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Bijoux_indiscrets" target="_blank">Les bijoux indiscrets</a>,
le Faublas militaire, les liaisons dangereuses figurent parmi les
ouvrages interdits listés dans ce recueil à l'usage de la
police sur <a href="https://books.google.fr/books?id=5kIDjsc4oq4C&lpg=PA296&ots=_QD16cUzPb&dq=%22c%C3%A9cile%20ou%20la%20nouvelle%20f%C3%A9licia%22%20wikipedia&hl=fr&pg=PA296#v=onepage&q=%22c%C3%A9cile%20ou%20la%20nouvelle%20f%C3%A9licia%22%20wikipedia&f=false">Google Books</a>.</li></ul><ul style="text-align: left;"><li>1824 Leroux réitère sa demande de brevet de libraire.<br /></li></ul><ul style="text-align: left;"><li>mai 1826 Leroux épouse Rose Henriette Duffié, fille d'un raffineur de sucre. Lui qualifié d'éditeur-libraire, en société de librairie avec Constant Chantpie au Palais Royal.</li></ul><p>La société de librairie est-elle un ultime stratagème pour s'affranchir d'un brevet individuel de libraire, en s'associant à un libraire breveté en la personne de Chantpie?<br /></p><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjTQ5lVb0a1w-7imCDbUJWXkCC0pbYkepaEy915lx99kUJjK501p61KVNW2emAizL80VzQbxL68g8DbENRTSa1u978pvuN3jTwZtMKhAUrD-B4TqRb-6wZkw8T179hHFACme6Z6h-6lL_lSu3jBqxO4mnifj-Y3_I16nx_BGxr4uUvBFpDRMVkARdmnAhg/s1632/IMG_2605.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="1632" data-original-width="1224" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjTQ5lVb0a1w-7imCDbUJWXkCC0pbYkepaEy915lx99kUJjK501p61KVNW2emAizL80VzQbxL68g8DbENRTSa1u978pvuN3jTwZtMKhAUrD-B4TqRb-6wZkw8T179hHFACme6Z6h-6lL_lSu3jBqxO4mnifj-Y3_I16nx_BGxr4uUvBFpDRMVkARdmnAhg/w480-h640/IMG_2605.jpg" width="480" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">La liste des ouvrages interdits en librairie en 1824. En annotation, la mention "Leroux n'est pas breveté"<br /></td><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><br /></td></tr></tbody></table><br /><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSih14jduhRAxewn_omh8RPJvBuOw0X5RhrWcUpcJbkzmTE8kjGVpKmoVBheHV6PqgzOOyupSSozn8jsnf6JaZAQr8sHFZ_UO_mMUF0Rn7FDHR-ZYEMY1u1DosrLYFlnuGolRFhDf55zjLq2OzCd8NbmRHPeE7EIKEL3I97juoKvcxOruozjLmag3yjpI/s1632/IMG_2606.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="1632" data-original-width="1224" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSih14jduhRAxewn_omh8RPJvBuOw0X5RhrWcUpcJbkzmTE8kjGVpKmoVBheHV6PqgzOOyupSSozn8jsnf6JaZAQr8sHFZ_UO_mMUF0Rn7FDHR-ZYEMY1u1DosrLYFlnuGolRFhDf55zjLq2OzCd8NbmRHPeE7EIKEL3I97juoKvcxOruozjLmag3yjpI/w480-h640/IMG_2606.jpg" width="480" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Le catalogue du cabinet de lecture d'Alphonse Leroux (132 pages)<br /></td></tr></tbody></table><br /><p><br /></p><p><br /></p><p>Transcription du courrier du 23 avril 1822</p><p><i>Paris, le 23 avril 1822</i></p><p><i>Monseigneur,</i></p><p><i>Permettez-moi de réclamer des bontés de votre Excellence un brevet de libraire. J'ai acquis tout récemment le fond de M de St Eloy, au Palais Royal Galerie n°202, et M. l'inspecteur m'a déjà demandé plusieurs fois l'expédition de cette pièce. J'ose espérer que votre Excellence voudra bien me la faire expédier, et que les pièces jointes me seront auprès d'elle une sure garantie.</i></p><p><i>J'ai l'honneur d'être avec le plus profond respect,</i></p><p><i>De votre Excellence,</i></p><p><i>Le très humble et très obéissant serviteur.</i></p><p><i>Signé A. Leroux</i></p><p><i>Palais Royal, Galerie de bois, n°202</i></p><p>Suit un certificat d'aptitude de quatre libraires dont Méquignon junior</p><p> </p><p>Transcription d'un courrier non daté mais supposé de 1822<br /></p><p><i> Leroux (Alphonse Jean Baptiste)</i></p><p><i>A son Excellence le Ministre de l'Intérieur</i></p><p><i>Monseigneur</i></p><p><i>Expose Alphonse Jean Baptiste Leroux,</i></p><p><i>Qu'il jouissait paisiblement d'une boutique de libraire dans les Galeries de bois du Palais Royal, par lui acquise du Sr François de St Eloy, huissier de la chambre des députés, lorsque tout à coup, il a reçu l'ordre de fermer cette boutique ou d'en subir forcement la cloture.</i></p><p><i>Il s'est adressé à l'instant au Prefet de Police, pour faire cesser cet état de choses; mais la réponse du Prefet a été qu'il n'avait agi que d'après les ordre de votre Excellence, c'est donc à elle que l'exposant doit avoir recours.<br />Dès le dix mai dernier il s'est pourvu à votre Excellence et a déposé 1° la demande d'un brevet de libraire comme successeur du Sr François, aux termes de la convention y énoncée 2° le certificat de moralité et de capacité exigé, par là il s'est pleinement mis en regle; cependant le motif exprimé dans l'exploit est qu'il n'était pas breveté et qu'ainsi il ne pourait continuer ses fonctions de libraire.</i></p><p><i>D'ailleurs qu'il lui soit permis, indépendamment du fait, de representer à votre Excellence que la mesure est retroactive par sa nature même, puisqu'elle le frappe sans l'avoir averti; il était de toute Justice, comme de toute règle de le constituer en retard et de lui dire: si dans tant de jours, vous n'êtes breveté, votre boutique sera close. Alors le procédé eut été regulier et il eut été punissable s'il n'avait pas obéï. Mais sans l'avoir prevenu on s'est préenté et on lui a dit : vous êtes sans brevet soyez fermé. avec cette manière là, un libraire serait toujours dans l'angoisse du présent et les alarmes de l'avenir.</i></p><p><i>En principe toute disposition plus ou moins fiscale est comminatoire, et elle est moins ordre qu'avertissement.</i></p><p><i>Ici il n'y a dans la boutique occupée par l'exposant qu'un seul et unique libraire, successeur du Sr François, et presqu'à son entrée en jouissance, le voilà dépossedé! Rien de regulier que contre celui qui resiste et il ne s'est pas même douté qu'il n'etait pas en règle; il a crut tout uniement que François était transformé en Leroux, qui en avait tous les droist, il croyait le décret imperial de 1808 tombé en desuetude, et par ce qu'il s'est trompé de fait, le voilà entre sa boutique fermée, et son vendeur qui prétendra ne pas devoir lui rendre trois mille francs qu'il lui a payés : votre Excellence ne le voudra pas; il est dans un cas absoluement isolé et qui ne tire à aucune conséquence</i></p><p><i>Rien ne serait don, plus immérité que la peine qu'on lui imposerait, à la veille d'un mariage qu'il lui deviendrait impossible de contracter, et son état serait perdu, lui auquel aucun acte repréhensible ne peut être opposé!</i></p><p><i>Ainsi trop de motifs se réunissent en faveur de sa réclamation, pour qu'il ne soit fondé à espérer que votre excellence lui permettra de rouvrir sa boutique, et de continuer ses fonctions après qu'il se sera muni, comme il le demande depuis son établissement et comme il est prêt à le faire à l'instant, du brevet exigé par la loi.</i></p><p><i>D'ailleurs s'il entrait dans l'intention de votre Excellence de reduire le nombre des libraires, en faisant fermer les boutiques de ceux qui ne seraient pas brevetés, il offre de faire demettre == === ===== en sa faveur le Sr François, son vendeur, de son Brevet.</i></p><p><i>A. Leroux</i></p><p><i>Au moment où l'exposant reçoit l'ordre de fermer sa boutique, l'administration des contributions directes lui fait passer l'avertissement de payer une somme de 491 francs; somme énorme comparée aux produits de son Etablissement.</i><br /></p><p> <br /></p><p><br /></p><p> </p><p> </p><p> <br /></p><p> Transcription du rapport de 1822</p><p><i>Le 6 9bre 1822, demande d'un brevet de libraire - Rapport</i></p><p><i>Le Sr Leroux (Alphonse), Palais Royal, Galerie de bois, n°202, passe généralement pour avoir des sentiments anti-monarchiques; il est lié, dit-on, avec les libraires Théry et Chaumerot, et de jouir d'aucune considération parmi les libraires bien fxxx de la capitale. On n'a pu m'assurer positivement s'il est marié ou célibataire; cependant il existe chez lui une femme qui paraît jouir de toutes les prérogatives d'une maîtresse de maison. <br />Le commissaire de police Gexxxx</i></p><p><br /></p><p> </p><p> </p><p> </p><p>Transcription du dossier de 1824</p><p><i>A son Excellence Monseigneur le Ministre de l'Intérieur.</i></p><p><i>Monseigneur</i></p><p><i>J'ai l'honneur d'exposer à votre Excellence qu'étant dans l'intention de devenir le successeur de Mr. François de Saint Eloy, libraire Palais Royal galerie de boi, chez lequel je suis depuis deux ans, en qualité de commis; je viens conjointement avec Mr François de Saint Eloy supplier votre Excellence de vouloir bien consentir à ce qu'il se démette de son brevet en ma faveur et d'avoir la bonté d'autoriser la substitution de mon nom au sien.</i></p><p><i>Anterieurement à mon entrée chez Mr François de Saint Eloy j'étais devenu commis à la librairie Eclésiastique de Mr Méquignon Havard, alors éditeur du journal intitulé la France Chrétienne chez lequel j'ai appris cet état et où je suis resté huit ans.</i></p><p><i>Je joins ici, Monseigneur, des certificats de moralité qui m'ont été délivré par le maire de la commune ou demeurent mes parents et par Mrs François de St Eloy Méquignon et d'autres libraire de la Capitale</i></p><p><i>J'ai l'honneur d'être avec le plus profond respect Monseigneur de votre Excellence le très humble et très obéissant serviteur</i></p><p><i>A. Leroux</i></p><p><i>Paris le 31 mai 1824 <br /></i></p><p> et une attestation de moralité du maire de Passy:</p><p><i>Département de la Seine - Arrondissement de St-Denis - Mairie de Passy <br /></i></p><p><i>Nous maire de la commune de Passy près Paris, chevalier de la Légion d'honneur, certifions que le Sr Alphonse Jean Baptiste Leroux commis libraire, domicilié chez la De Ve Leroux, sa mère à Passy grande rue n°9, est de bonne vie et mœurs, et qu'il ne nous est jamais rien parvenu que de favorable sur son compte.</i></p><p><i>En foi de quoi nous lui avons délivré le présent. </i></p><p><i>A Passy le 15 avril 1824, signé Augé xxx, maire</i></p><p><br /></p><p>Transcription d'un courrier du dossier, non signé daté uniquement de l'année 1824 (pas de date)</p><p><i>Demande de brevet de libraire</i></p><p><i>Sire, </i></p><p><i>Leroux, Jean Baptiste Alphonse, rue neuve St augustin n°6</i></p><p><i>Ose implorer la justice et les bontés infinies de Votre Majesté pour obtenir un brevêt qu'il sollicite depuis plus de deux ans sans succès et sans espoir.<br />Le sieur Leroux étant sous les armes le jour que votre Majesté fit son entrée solennelle dans Paris au milieu de l'allégresse d'un peuple avide de donner au meilleur des Princes de nouvelles marques d'amour et de dévoûment, remis en vos mais propres, Sire, une demande tendante à recevoir ce brevêt l'objet de toute mon ambition; Votre Majesté accueillit le sieur Leroux avec cette bonté touchante qui gagne facilement les cœurs; il se félicitait de son bonheur, il espérait d'avoir enfin justice lorsqu'il voit sous les pieds des chevaux la demande qu'i, un moment auparavant, était pressée par les mains du plus grand des Monarques.</i></p><p><i>Le sieur Leroux, en demandant <u>un brevêt de libraire</u>, croit y avoir des titres et mêmes des droits incontestables par son amour et sa fidélité à la cause de la légitimité et aux institutions du gouvernement, par une conduite et des mœurs que le moindre soupçon ne saurait atteindre.<br />Il est avec le plus profond respect, Sire, de Votre Majesté, le très humble, très soumis et très fidèle sujet.</i></p><p><i>Paris le 1824.<br /></i></p><p><i> </i></p><p><i> </i><br /></p><p><br /></p><p><br /></p>Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-11175037470999905182024-01-19T14:54:00.000-08:002024-01-20T07:35:29.338-08:00Sur un coin de table<p>Suite des images du pélerinage nordiste de l'été 2023 avec quelques photos des années 30-40.</p><p>Leroux et Derieux.</p><p><br /></p><p><br /></p><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQVy-7MQl1oD5Ud_Jbpid82vIuqtVSDeGgpL2ICmBlYiEf8rHIzTZIEqr_FQKg6VOkgbCnqe-g2v0f6c_OK4kOEwNC82My63xojo5lkh6RL7G80z0kWxL8dDlNiI56mKXNjJ7WFVu41oko-UtVNgDy1cQMcK8_kGi-z1nI1tJmGDTUSv_k5TuNAEV7n_Q/s4624/DSC_0607.JPG" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="4624" data-original-width="2608" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhQVy-7MQl1oD5Ud_Jbpid82vIuqtVSDeGgpL2ICmBlYiEf8rHIzTZIEqr_FQKg6VOkgbCnqe-g2v0f6c_OK4kOEwNC82My63xojo5lkh6RL7G80z0kWxL8dDlNiI56mKXNjJ7WFVu41oko-UtVNgDy1cQMcK8_kGi-z1nI1tJmGDTUSv_k5TuNAEV7n_Q/s320/DSC_0607.JPG" width="180" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><br /></td></tr></tbody></table><br /><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj1dkXcTIbwnxz9FwhvxS_iDr611We4pNNWWBv7H9QbueyWLMEsIVRiwHQUAkD4oN_C-DhI1hL-Qv_bXKNDAkr8LMJsN8CeeiMmdkh2SwtptJB924r5l1G5R8FcKUfIzgI6o8eWqyWygfSuTlM3_JBZU_euTYRkYiD1MVLyMC4ju-TOL-j1yCQNFT7QKtg/s2839/_20240119_234458.JPG" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="2839" data-original-width="2183" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj1dkXcTIbwnxz9FwhvxS_iDr611We4pNNWWBv7H9QbueyWLMEsIVRiwHQUAkD4oN_C-DhI1hL-Qv_bXKNDAkr8LMJsN8CeeiMmdkh2SwtptJB924r5l1G5R8FcKUfIzgI6o8eWqyWygfSuTlM3_JBZU_euTYRkYiD1MVLyMC4ju-TOL-j1yCQNFT7QKtg/s320/_20240119_234458.JPG" width="246" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Alphonse Leroux ©</td></tr></tbody></table><br /><p><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSxon7j-LSJBt5jBYLwceqGrMbMApiSK_pLdp4dWU9RuWxEfcN9VapaJuzqwPQpGYoZFA1CNfOAIwtmn5on2i_Sy9Ho5o7qJomQn2z3OMRCfGOkSrPtNGSOK2rxTmc75yDfH8b8WUQZNtUl2K8sdu_ep4bE8nF0MhLbZycQPaqA7JVQmWAAFmGwRoCLf8/s2646/_20240118_133400.JPG" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="2646" data-original-width="2187" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgSxon7j-LSJBt5jBYLwceqGrMbMApiSK_pLdp4dWU9RuWxEfcN9VapaJuzqwPQpGYoZFA1CNfOAIwtmn5on2i_Sy9Ho5o7qJomQn2z3OMRCfGOkSrPtNGSOK2rxTmc75yDfH8b8WUQZNtUl2K8sdu_ep4bE8nF0MhLbZycQPaqA7JVQmWAAFmGwRoCLf8/s320/_20240118_133400.JPG" width="264" /></a></div><br /><p><br /></p><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEixJo5tB1XvEssGHEDuRJ1YGRUYuW5IQvb_518GE8_dgI975iY7KThK7Bu4Exl2LsgAmDgdczuH4os1q5Y0Z2UWL9c5h85i8ac5xTUHIryTIB7cuCiJYRVcLLunrjdnefLrzQF_93Ac2-ir8HGyO3THclkqzumKJO9_zFJcVVnWB3U5VxdElTIG5nlOD5Q/s2853/_20231121_173416.JPG" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="2853" data-original-width="1974" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEixJo5tB1XvEssGHEDuRJ1YGRUYuW5IQvb_518GE8_dgI975iY7KThK7Bu4Exl2LsgAmDgdczuH4os1q5Y0Z2UWL9c5h85i8ac5xTUHIryTIB7cuCiJYRVcLLunrjdnefLrzQF_93Ac2-ir8HGyO3THclkqzumKJO9_zFJcVVnWB3U5VxdElTIG5nlOD5Q/s320/_20231121_173416.JPG" width="221" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">parents et parents</td></tr></tbody></table><br /><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhIJw2iYVUx8AacdF3LXLT05IeZiDPHELB6N6Wz1unYWAS9JXS1okGR0gLCtTsKV83-obg3C6BkvEg1llSqtz0VZH5DClLUmEQzmvtjPeC6knUcGR-i4irjvirC1tTGkQ6yFSmCnAmKeTpaSXjT1fm_qTOn9n54ppP24oKXzASRT4NCsT-vQ0XSU1oDOU/s2363/_20240119_234353.JPG" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="2363" data-original-width="1519" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhhIJw2iYVUx8AacdF3LXLT05IeZiDPHELB6N6Wz1unYWAS9JXS1okGR0gLCtTsKV83-obg3C6BkvEg1llSqtz0VZH5DClLUmEQzmvtjPeC6knUcGR-i4irjvirC1tTGkQ6yFSmCnAmKeTpaSXjT1fm_qTOn9n54ppP24oKXzASRT4NCsT-vQ0XSU1oDOU/s320/_20240119_234353.JPG" width="206" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Le couple Derieux-Lucas</td></tr></tbody></table><br /><br /><br /><br /><br /><br /><br /><p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0uI9j_31i8Ji7U6YvJ2KzgWJnQoCGvkuui9mJZe93Qx_VEt94kN3MDOHMacBnNZPOhsHA7zBWt24CX9kwPO6n-tnVpWlXhauH4kWZoJCU5hIvTriwoD9OjZgfQVHyYKzwzOWBB6Y0Cd_e5Iz4YCv9BmiskjHU89hp3g7BIlIhUmcLBEucwFZFwtkuDA8/s896/LCdNord.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="258" data-original-width="896" height="115" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg0uI9j_31i8Ji7U6YvJ2KzgWJnQoCGvkuui9mJZe93Qx_VEt94kN3MDOHMacBnNZPOhsHA7zBWt24CX9kwPO6n-tnVpWlXhauH4kWZoJCU5hIvTriwoD9OjZgfQVHyYKzwzOWBB6Y0Cd_e5Iz4YCv9BmiskjHU89hp3g7BIlIhUmcLBEucwFZFwtkuDA8/w400-h115/LCdNord.png" width="400" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiCT0K2gFIFkQlhR1q8F3GtfpuqAe2duENsRUYoO_o3j_-MFCwE01AgTOjHEVxe_0EVwWj2qLbC2ob_CVdGX6qcQ9AUmHwPnU0PrHvUc9XCpJ6Ps5FDhnysASh-NsAiIoMYDaLSa_Q1NibgqaRLhqX6deNQ0v8HJruGt8-XFYN1xcu8US-yT8yWxc9v_CI/s1112/IMG-2587.jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="392" data-original-width="1112" height="113" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiCT0K2gFIFkQlhR1q8F3GtfpuqAe2duENsRUYoO_o3j_-MFCwE01AgTOjHEVxe_0EVwWj2qLbC2ob_CVdGX6qcQ9AUmHwPnU0PrHvUc9XCpJ6Ps5FDhnysASh-NsAiIoMYDaLSa_Q1NibgqaRLhqX6deNQ0v8HJruGt8-XFYN1xcu8US-yT8yWxc9v_CI/s320/IMG-2587.jpg" width="320" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">La Croix du Nord du vend. 1er septembre 1933 (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5054201q/f2.item">Gallica</a>)</td></tr></tbody></table><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><p></p><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhJTGUyRpnjgKJNZMWBO3rLI1HEOfdGz6s2n9EL4_p0n6F4SwxhOb4QQwlrb8C7njc8jPefLf1OPBpTycpchg3TUEaB-IQGrTojRIZw8B0uKPTBUT6k1QRxSxkqbldDGMmjzCMoJAKx2rvZouAJ84oHRnw_VJ6soJ8J9nhpLwDTuOZH1Cz_395sN4rEIXc/s778/LEROUX-F%20FPart.png" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="376" data-original-width="778" height="194" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhJTGUyRpnjgKJNZMWBO3rLI1HEOfdGz6s2n9EL4_p0n6F4SwxhOb4QQwlrb8C7njc8jPefLf1OPBpTycpchg3TUEaB-IQGrTojRIZw8B0uKPTBUT6k1QRxSxkqbldDGMmjzCMoJAKx2rvZouAJ84oHRnw_VJ6soJ8J9nhpLwDTuOZH1Cz_395sN4rEIXc/w400-h194/LEROUX-F%20FPart.png" width="400" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="text-align: left;">La </span><a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5061431w" style="text-align: left;">Croix du Nord du 23 janvier 1948</a><span style="text-align: left;"> (en page 3)<br /></span>issu du site Gallica de la BnF</td></tr></tbody></table><br /><p><br /></p><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhfdI1IggaeBCN0Opmg1Fpd1w4N5QvQLKFYkhrl5SavhXMdsdxQegh6tBIDA35x9zosIpHJJYnL6eQPSPXaMDj07WOT3f6jWzbPIz25rm5OZ6yDdB8n3Tw7sPKE2rFik-J206L8P_6i4Eymkcy-DiMFfSijSHSzp36KhOPhZ6KOaj-O82Zts9BwW4YSIbI/s772/LEROUX-A%20FPart.png" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="604" data-original-width="772" height="313" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhfdI1IggaeBCN0Opmg1Fpd1w4N5QvQLKFYkhrl5SavhXMdsdxQegh6tBIDA35x9zosIpHJJYnL6eQPSPXaMDj07WOT3f6jWzbPIz25rm5OZ6yDdB8n3Tw7sPKE2rFik-J206L8P_6i4Eymkcy-DiMFfSijSHSzp36KhOPhZ6KOaj-O82Zts9BwW4YSIbI/w400-h313/LEROUX-A%20FPart.png" width="400" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;"><span style="text-align: left;">La </span><a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k50611469" style="text-align: left;">Croix du Nord du 20 février 1947</a><span style="text-align: left;"> (en page 3)<br /></span>issu du site Gallica de la BnF</td></tr></tbody></table><br /><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p>Et toujours ces fausses racines bretonnes :</p><p><a href="https://www.lobservateur.fr/les-habitants-dorchies-ont-choisi-la-nouvelle-mediatheque-sappellera-la-malle/">https://www.lobservateur.fr/les-habitants-dorchies-ont-choisi-la-nouvelle-mediatheque-sappellera-la-malle/</a></p><p>"têtu comme un ..."</p><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><br />Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-51169984267234553942024-01-06T05:41:00.000-08:002024-01-07T12:03:33.268-08:00Leroux libraire<p> Nota : cet article résulte d'une scission de l'article initial. C'est une tentative de reconstitution du catalogue des livres vendus par A. Leroux dans sa librairie.</p><p>Cette liste d'ouvrages résulte d'une recherche sur internet et de l'exploitation du catalogue publié à la suite du tome 3 des Hélvétiens ainsi que des critiques ou brèves dans les périodiques littéraires.</p><p>A priori, A. Leroux a commencé sa carrière comme libraire, puis a évolué vers éditeur-libraire. Au gré des rachats de fonds de commerce ou de catalogue, il a pu enrichir son offre.<br /></p><br /><p>1822</p><p>Grammaire française élémentaire, analytique, par M. Rey 3f. Chez Leroux, rue Croix-des-Petits-Champs, n°54 selon le miroir des spectacles ... du <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6239940x/f1.item.r=leroux%20libraire%22croix%20des%20petits%20champs%20n%2054%22.zoom">13 février 1822</a><br /></p><p></p><div style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiudo1j8niTNYYNfbEkgZGJLU6rTjnJBGTnvhGjnzsnLuPHXs4EOLhKd8brpzAQpeJCgE9aWnz0yCFgOndmj8IVamE4LfZXjgvT77U_Sqo69ZWTsSXgBXzI3mUizVQ9etdcwmVEvXUQ1I6sc5_fIenI52rDGtOOKz4_PuhbUxpe0Yb7nay0u1TqAFtp-vc/s573/1822.png"><img border="0" data-original-height="41" data-original-width="573" height="23" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiudo1j8niTNYYNfbEkgZGJLU6rTjnJBGTnvhGjnzsnLuPHXs4EOLhKd8brpzAQpeJCgE9aWnz0yCFgOndmj8IVamE4LfZXjgvT77U_Sqo69ZWTsSXgBXzI3mUizVQ9etdcwmVEvXUQ1I6sc5_fIenI52rDGtOOKz4_PuhbUxpe0Yb7nay0u1TqAFtp-vc/s320/1822.png" width="320" /></a></div><p></p><p><i>tableau figuratif de la chambre des députés pour la session de 1822</i>, <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8441999q">A. Leroux</a> à la galerie de bois du Palais-Royal, au 202, avec <a href="http://histoire-bibliophilie.blogspot.com/2014/04/la-boutique-desprit-des-dentu.html">Dentu</a> et autres<br /></p><p><br /></p><p><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjBUW6JKx0mQKKiAvbTcCcMR1d_QL0lYTMJGJc7nyoBMbVXvYfVsAgGOCrDIziznM3lJ4zI5O7GfzXku6Eu5cXttrD4N9tOTC6rkjykH488qIyuVTIzpeTJ57g1PSNgeFHe0wZQTJfDTVwEtC8bRasfvQP8EEhbo6WKBYRrpihzrDZe3w_yB7ywM8Eni-E/s647/1824.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="202" data-original-width="647" height="100" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjBUW6JKx0mQKKiAvbTcCcMR1d_QL0lYTMJGJc7nyoBMbVXvYfVsAgGOCrDIziznM3lJ4zI5O7GfzXku6Eu5cXttrD4N9tOTC6rkjykH488qIyuVTIzpeTJ57g1PSNgeFHe0wZQTJfDTVwEtC8bRasfvQP8EEhbo6WKBYRrpihzrDZe3w_yB7ywM8Eni-E/s320/1824.png" width="320" /></a></div><p><b>Seul, à la galerie de bois du Palais-Royal (au numéro 202), 1822-1823-1824</b></p><p>A. H. Chateauneuf, <i>John Bull ou le coin du feu d'une famille anglaise, comédie en trois actes, </i>Paris, A. Leroux, éditeur, Palais-Royal galerie de bois, n. 202, (imprimerie de Constant-Chantpie)1822, sur <a href="https://books.google.fr/books?id=AIhJAAAAcAAJ&hl=fr&pg=PR3#v=onepage&q&f=false" target="_blank">Google Books</a> <span style="font-size: x-small;">"cette comédie se vend deux francs, chez l'auteur, rue du Dauphin, n°3 A. Leroux, Palais-Royal, galerie de Bois, n°202" <span style="font-size: small;">[est mentionné comme à paraître le 20 septembre dans l'édition des divorces anglais] </span></span><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: small;">[est mentionné en note de bas de page dans Londres au dix-neuvième siècle]</span></span></p><span style="font-size: x-small;"></span><p></p><p>M. de Chateauneuf, <i>Histoire des grands capitaines, </i>Paris,
chez Pélicier, A. Leroux, Ponthieu, au Palais-Royal et chez Verdière et
Béchet, quai des Augustins. [mentionné comme étant le "Cornelius Nepos
français"<i> </i>à la fin du tome 3 des divorces anglais (page <a href="https://www.google.fr/books/edition/_/Q7xCAAAAcAAJ?hl=fr&gbpv=1">187</a>).]</p><p>A. H. Chateauneuf, <i><span style="background-color: #04ff00;">Londres au dix-neuvième siècle</span>, ou l'école du scandale, tragédie en cinq actes, en prose</i>, Paris, A. Leroux, éditeur, Palais-Royal galerie de bois, n. 202, (imprimerie de Carpentier-Méricourt) 1824, sur le site de la <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5758323k" target="_blank">BnF</a> (cet ouvrage est listé comme ouvrage nouveau dans <i>Salon de 1824</i>) </p><p><i>Les divorces anglais ou procès en adultère jugés par le banc du roi et la cour ecclésiastique d'Angleterre, </i>Paris, chez A. Leroux, éditeur, Palais-Royal galerie de bois, n. 202, 1822, sur <a href="https://www.google.fr/books/edition/Les_Divorces_anglais_ou_proc%C3%A8s_en_adult/QrxCAAAAcAAJ?hl=fr&gbpv=0" target="_blank">Google Books pour le volume 2 é</a>dition 1822 et édition <a href="https://books.google.fr/books?id=r-s7AQAAMAAJ&hl=fr&pg=PR3#v=onepage&q&f=false">1823</a> du volume 1 (le <a href="https://books.google.fr/books?id=OLxCAAAAcAAJ&hl=fr&pg=PP5#v=onepage&q&f=false">volume 1</a>
datant de 1821 est chez un autre éditeur, rue des fossés-Montmartre,
n°9) en trois volumes. Nota le volume 2 d'A. Leroux est imprimé par
Constant-Chantpie, rue Sainte-Anne, n.20. Le <a href="https://www.google.fr/books/edition/Les_divorces_anglais_ou_proc%C3%A8s_en_adult/9PVWAAAAcAAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=%22des+divorces+anglais%22&pg=RA2-PA224&printsec=frontcover">tome 3</a> de 1822 est chez Pélicier, A. Leroux, Ponthieu, Verdière et Béchet (<a href="https://www.google.fr/books/edition/_/Q7xCAAAAcAAJ?hl=fr&gbpv=0">tome 3</a>). Les trois volumes en un fichier <a href="https://books.google.fr/books?id=r-s7AQAAMAAJ&hl=fr&pg=PR1#v=onepage&q&f=false">Google Books</a>. <br /></p><p>Nota en page 224 du tome 2 il est fait référence à un ouvrage sous presse à paraître le 30 juillet chez <b>Alphonse Leroux</b>, au Palais-Royal. <br /></p><p><span style="font-size: x-small;">Ouvrage
piquant pour les jurisconsultes et les gens du monde, utile aux maris
dans l'attaque, aux femmes dans la défense, avec des notes critiques où
l'on oppose les mœurs des deux nations et la conduite des dames
anglaises avec leurs prétentions d'être plus réservées que les femmes du
continent.</span></p><p><span style="font-size: x-small;"><u>Note intégrée dans la réédition Leroux du volume 1</u>
: Le premier et le second volumes ayant été vendus avant que le
troisième par^t, one en donne une nouvelle édition conforme à la
première; cela a paru plus honnête que d'annoncer une édition refondue
et considérablement augmentée, pour faire acheter la seconde et laisser
le regret d'avoir acquis la première. </span><br /></p><p>N. <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5549207p/f157.image">Châtillon</a>, <i><span style="background-color: #04ff00;">Le duelliste</span>, poëme élégiaque</i>,
Paris, A. Leroux, éditeur, Palais-Royal galerie de bois, n° 202,
(imprimerie de Constant-Chantpie, rue Sainte-Anne, n°20) 1823 sur le
site <a href="https://books.google.fr/books?id=KY5t6q9TOcEC&hl=fr&pg=PA3#v=onepage&q&f=false">Google Books</a>. <a href="https://théâtre-documentation.com/content/ch%C3%A2tillon-claude-nicolas">Palmes académiques d'Arras</a>. Nota : Châtillon passe de Ponthieu <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5789885j">1821</a> à Leroux à partir de sa deuxième œuvre.<br /></p><p>J. F. Simonot, <i><span style="background-color: #04ff00;">Résumé de l'histoire d'Espagne</span> jusqu'à nos jours</i>,
2ième édition revue et corrigéée, Paris, A. Leroux, éditeur,
Palais-Royal galerie de bois, n° 202, (imp. de Constant-Chantpie) 1823
sur le site de la <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58007181" target="_blank">BnF</a>,
avec un avis de l'éditeur en préface, mentionnant la première édition
six semaines avant. (cet ouvrage est listé comme ouvrage nouveau dans <i>Salon de 1824</i>).</p><p><span style="font-size: x-small;">Avis
de l'éditeur. On n'a pas toujours le temps ou la volonté de lire les
nombreux volumes dont se compose l'histoire de plusieurs peuples
modernes. de là le besoin des abrégés qui offrent, dans un cadre peu
étendu, le tableau rapide de la vie politique d'une nation, et font
connaître sa législation, ses mœurs et son caractère. Ce travail
manquait pour l'Espagne, qui excite aujourd'hui un si vif et si juste
intérêt. Le <i>Résumé</i> que nous avons publié, il y a environ six
semaines, remplit cette lacune. La rapidité avec laquelle la première
édition s'est écoulée est la preuve inconstestable d'un succès dont nous
ne pouvons qu'être flattés. L'accueil que le public a fait à cet
ouvrage, et le compte avantageux qu'en ont rendu plusieurs journaux,
sont notre première récompense.</span></p><p><span style="font-size: x-small;">La
seconde édition que nous publions aujourd'hui, sous un autre format, a
déjà reçu quelques perfectionnements, si come on a bien voulu le
reconnaître, le <i>Résumé de l'Histoire d'Espagne</i> offre une lecture
agréable, et n'a pas la sécheresse qui est l'écueil ordinaire des
abrégés, nous pouvons compter sur de nouveaux suffrages, et nous
travaillerons à le rendre toujours de plus en plus digne d'occuper une
place dans les bibliothèques.</span><br /></p><p>Chatillon, <span style="background-color: #04ff00;"><i>le philosophe à table</i></span>, Paris, A. Leroux éditeur, Palais-Royal galerie de bois, (imprimerie de Carpentier-Méricourt), 1824 sur le site de la <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58314221">BnF</a></p><p>Ferdinand Flocon et Marie Aycard, <i>Salon de 1824</i>, Paris, A. Leroux, éditeur, Palais-Royal galerie de bois, n. 202, 1824 sur le site <a href="https://www.furet.com/media/pdf/feuilletage/9/7/8/2/0/1/2/7/9782012745155.pdf">furet.com</a></p><p>Mention : <span style="font-size: x-small;">Les lettres, avis et réclamations doivent être adressé, franc de port, à M. Leroux, éditeur.</span><br /></p><p><i><span style="background-color: #04ff00;">Les mille et une nuits, contes arabes</span>, traduits par Galland</i>,
Paris, A. Leroux, éditeur, Palais-Royal galerie de bois, n. 202,
(Versailles, de l'impirmerie de Vitry) 1824, tome premier sur 8 volumes
sur le site de la <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1413748k" target="_blank">BnF</a> "<span style="color: red;">LA</span>" (cet ouvrage est listé comme étant en souscription dans <i>Salon de 1824</i>)</p><p>CATALOGUE</p><p>Histoire d'Aladin, ou la lampe merveilleuse, conte tiré des mille et une nuits</p><p>Flora par Marie Aycard</p><p>Histoire de Rasselas, prince d'Abyssinie par Samuel Johnson</p><p>Géographie moderne et universelle par M. l'abbé Nicole de la Croix, nouvelle édition, Lyon 1817</p><p>Théatre de Racine, 3 vol. in-8°</p><p>Le citateur dramatique ou choix des maximes, sentences, axiomes apoththegmes et proverbes en vers (NOTA s'agit-il de la première édition que Leroux vendrait, ayant édité plus tard en 1825 sa propre édition?)</p><p>Promenade à Sainte-Pélagie ou petit manuel à l'usage des journalistes, des hommes de lettres, de tous ceux qui font des dettes, par Léonard Gallois **</p><p>Histoire de France depuis la mort de Louis XVI jusqu'au traité de paix du 20 novembre 1815, par M. Gallais</p><p>Epitre aux muses, 1821</p><p>Mémoire d'un réfugié au champ-d'asile </p><p>Abrégé de l'histoire de France d'Auquetil, continuée jusqu'en 1823 par Ant. Caillot</p><p>Abrégé du précis de l'histoire universelle d'Anquetil, par Ant. Caillot.</p><p>Abrégé des métamorphoses d'Ovide (dont version en papier velin satiné)</p><p>Encyclopédie de la jeunesse, ou abrégé des sciences et des arts par Madame Tardieu-Denesle, sixième édition</p><p>Morceaux choisis de Buffon, ou recueil de ce que ce grand naturaliste offre de plus remarquable sous le rapport de la pensée et du style, deuxième édition (dont version sur papier satiné)</p><p>Histoire de Charles XII, roi de Suède, par Voltaire (sur papier fin)</p><p>Vie de Saint Vincent de Paul, par Collet</p><p>Histoire abrégée de l'église, par Lhomond, continuée jusqu'au concordat de Pie VII, par Proyard</p><p>Histoire abrégée de la religion avant la venue de Jésus-Christ, par Lhomond</p><p>L'école des jeunes demoiselles, ou lettres d'une mère vertueuse à sa fille, avec les réponses de la fille à sa mère, recueillies et publiées par l'abbé <a href="http://www.st-antonin.fr/reyrejoseph/">Reyre</a></p><p>Anecdotes chrétiennes, par l'abbé Reyre</p><p>Le mentor des enfants et des adolescents, par l'abbé Reyre</p><p>Vie de Bossuet, par Ant. Caillot</p><p>Lycée, ou cours de littérature ancienne et moderne, par J. F. La Harpe</p><p>Oeuvres de Racine, 5 vol.</p><p>Le mentor vertueux</p><p>Elémens d'algèbre, par M. Bourdon, docteur ès-sciences, professeur de mathématiques au collège royal d'Henri IV; deuxième édition, Paris 1820 (chez <a href="https://books.google.fr/books?id=llwOAAAAQAAJ&hl=fr&pg=PR1#v=onepage&q&f=false">Mme Ve Courcier</a>, libraire, rue du jardinet-Saint-André-des-arcs)</p><p>Plutarque de l'enfance, ou maximes et traits historiques extraites des vies des hommes illustres de Plutarque</p><p>La journée du chrétien, sanctifiée par des élèves de l'Ecole militaire, 1822</p><p>Abrégé de l'histoire romaine à l'usage des élèves de l'Ecole militaire, 1822</p><p>Abrégé de l'histoire générale des voyages, de La Harpe, 1821, 24 vol.</p><p>Abrégé de l'histoire générale des voyages, de La Harpe, 1824, 2 vol.</p><p>Abrégé de la vue des plus illustres philosophes de l'antiquité, par Fénelon, 1823</p><p>le même ouvrage avec le portrait de l'auteur <br /></p><p>Abrégé de l'histoire générale des voyages, de La Harpe, réduit aux traits les plus intéressans et les plus curieux, 1819, 2 forts vol.</p><p>Abrégé des voyages modernes, pour servi de suite à l'abrégé de l'histoire générale des voyages, par Caillot</p><p>Abrégé de l'histoire romaine, depuis la fondation de Rome jusqu'à la chute de l'empire romain, traduit de l'anglais par Goldsmith, par M. Bruyset, Paris 1817</p><p>Abrégé de l'histoire du bas -empire, de Le Beau, par A. H.** Paris, 1819</p><p>Aventure les plus remarquables marins, ou précis des naufrages, etc., deuxième édit., Paris 1824 (vu sur AbeBooks chez Tourneux, libraire, quai des Augustins, n°13?)<br /></p><p>Aventures de Télémaque, précédées d'une notice sur Fénelon, parM. Villemain, 1824</p><p>Aventures (les) de Robinson Crusoé, traduction revue et corrigée, augmentée de la vie de l'auteur et ornée d'un portrait..., Paris 1822</p><p>Le même ouvrage, 2 vo.</p><p>Beautés naturelles des îles, montagnes et volcans, par Caillot</p><p>Beautés des trois règnes de la nature, animal, végétale et minéral, par Caillot</p><p>Beauté de l'histoire d'Amérique, 2° édition, ... par M. N.</p><p>Beautés ou époques et faits mémorables de l'histoire d'Angleterre, par Durdent, deuxième édit.</p><p>Beautés de Buffon, ou choix des morceaux de ses œuvres propres à inspirer la religion, la morale et la vertu, publié par madame Dufresnoy</p><p>Beautés de l'histoire de la Chine, du Japon et des Tartares, par F. M. N. de Beaumont</p><p>Beautés de l'histoire des croisades et des différens ordres religieux et militaires qui sont nés, depuis leur origine jusqu'à leur extinction, par M. G...</p><p>Beautés de l'histoire ecclésiatique, depuis les premiers siècles jusqu'à nos jours</p><p>Beautés de l'histoire de l'Egypte ancienne et moderne, ou précis des annales de ces peuples, par M. Nougaret</p><p>Beautés de l'histoire de l'empire germanique, ouvrage faisant suite aux Beautés de l'histoire grecque et de l'histoire romaine, par Giraud</p><p>Beautés de l'histoire des Espagnes, par madame D..., deuxième édition</p><p>Beautés ou époques et faits mémorables de l'histoire de France, par Durdent,</p><p>Beautés de l'histoire grecque, par Durdent, troisième édition revue et augmentée</p><p>Beautés de l'histoire de Hollande et des Pays-Bas, deuxième édition, revue et corrigée, par Marchand de Beaumont</p><p>Beautés de l'histoire de l'Indostan et des Indous</p><p>Beautés de l'histoire d'Italie, par Giraud, deuxième édition</p><p>Beautés de la Marine, ou traits les plus curieux concernant les marins voyageurs et militaires des temps modernes, par Ant. Caillot (le <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57585965">tome 2</a> est édité par Delaunay, libraire, Palais-Royal, 1823)<br /></p><p>Beautés et merveilles de la nature en France, ou description de ce que la France a de curieux et d'intéressant sous le rapport de l'histoire naturelle, par J.-B. Depping, quatrième édition</p><p>Beautés de la morale chrétienne, par M. de Propiac</p><p>Beautés historiques, chronologiques, politiques et critiques de la ville de Paris, depuis le commencement de la monarchie jusqu'au 1er juin 1820, par de Propiac</p><p>Beautés de l'histoire du Pérou, ou tableau des événements, etc., etc. par M. de Propiac, Paris 1824</p><p>Beautés de l'histoire de la perse depuis Cyrus jusqu'à nos jours</p><p>Beautés de l'histoire du Portugal, par Durdent</p><p>Beautés de l'histoire romaine, cinquième édition, revue, corrigée et augmentée, par Ph.</p><p>Beautés ou époques et faits mémorables de l'histoire de Russie, par J. Durdent</p><p>Beautés de l'histoire sainte</p><p>Beautés de l'histoire de la suisse, par M. le chevalier de Propiac</p><p>Beautés de l'histoire des trois royaumes du nord, Suède, Danemarck et Norvège, par Durdent</p><p>Beautés de l'histoire de la Turquie, par Durdent, deuxième édition revue et corrigée</p><p>Beautés de l'histoire des voyages les plus fameux autour du monde et dans les deux hémisphères</p><p>Beaux traits du jeune âge, par ville</p><p>Berquin (le) anglais, ou le nouvel ami des enfans, par Bertin</p><p>Bibliothèque d'Arthur, ou petite nouvelle pour le premier âge</p><p>Buffon des enfants (petit), ou extrait d'histoire naturelle sur les quadrupèdes, poissons, oiseaux, etc.</p><p>Collège incendié (le), ou les écoliers en voyage, par madame J. de Lafaye</p><p>Comte de Valmont, ou les égaremens de la raison, par l'abbé Gérard, 14e édition, Paris, 1821</p><p>Le cabinet du jeune naturaliste, ou tableaux intéressans de l'histoire des animaux, offrant la description de la nature, ... deuxième édition, ... imprimés par M. Crapelet, Paris 1822</p><p>Clef des connaissances utiles à la jeunesse, contenant un abrégé de la fable, un traité de la sphère, l'explication des différens systèmes du monde : des astres, des planètes, des comètes, du tonnerre, des éclaires et de l'arc-en-ciel, description géographique et topographique de la Terre, etc.; par Pierre Colau, ... Paris 1818</p><p>Le parfait notaire, ou la science des notaires, par A. J. Massé. Paris 1821, 42 fr.</p><p>Nouveau dictionnaire géographique de toutes les parties du monde, par Vosgien; nouvelle édition ... 1823</p><p>Dictionnaire de l'Académie française, Paris 1822, 36 fr.</p><p>Eraste, ou l'ami de la jeunesse, ... par l'abbé Filassier, ... Paris, 1823</p><p>Histoire abrégée de l'inquisition d'Espagne; par Léonard Gallois. Paris, 1824, troisième édition <span style="font-size: xx-small;">(nota on trouve sur le net les renseignements suivants pour cette troisième édition : A Paris, chez Chasseriau, libraire, rue neuve-des-petits-champts, n°5 - 1824; la quatrième édition est chez Peytieux, galerie Delorme n°11 et 13 et Corneille, rue de la feuillade, n°4, toujours en 1824)</span><br /></p><p>La Jérusalem délivrée, traduite en vers français par Baour-Lormian, deuxième édition. Paris, 1822</p><p>-- le même ouvrage; 3 vol. ... Paris, 1822</p><p>Manuel des gardes-champêtres, par Rondonneau; 1822</p><p>Manuel du limonadier, du confiseur et du distillateur</p><p>Manuel du marchand de bois, ou tarif général pour la réduction de toutes sortes de bois carrés, d'échantillons, bâtards ou en grume; sixième édition, revue et augmentée, par D. J. Tremblay, de toute la partie qui concerne les nouvelles mesures;</p><p>Manuel des notaires, par Goux, quatrième édition</p><p>Manuel du peintre, du doreur et du vernisseur, par Riffaut</p><p>Manuel de physique, ou élémens de cette science, mis à la portée des gens du monde et des étudians, Paris, 1824</p><p>Manuel du jardinier, ou l'art de cultiver toutes sortes de jardins, par M. Bailly, élève de M. Thours</p><p>Manuel du vigneron français, ou l'art de cultiver la vigne, et de faire les vins et eaux-de-vie, par M. Thubault, 1824</p><p>Manuel des gardes-malades et des personnes qui veulent les soigner elle-mêmes, par le docteur Morin, 1824</p><p>Manuel des banquiers, agens de change, etc., par Minon</p><p>Manuel, ou trésor du bouvier et des bergers; suivi du guide du maréchal expert, par Cervier, maréchal expert; 1821</p><p>Manuel du chasseur, suivi d'un traité sur la pêche</p><p>Manuel du canonnier; nouvelle édition, 1821</p><p>Manuel des clercs de notaires</p><p>Manuel du cuisinier et de la cuisinière, par Cardelli</p><p>Manuel épistolaire à l'usage de la jeunesse, par Philippon-Lamadeleine</p><p>Œuvres complètes de Florian</p><p>Abrégé de la vie des hommes illustres de la ville de Rome</p><p>Histoire de Théodose-le-grand par Fléchier</p><p>Six nouvelles, par Mad. de Genlis,</p><p>Les bains de Paris et des principales villes du monde, ou le Neptune des dames; par Cuisin, auteur de plusieurs romans</p><p>Magasin des enfants</p><p>Lettres choisies de mesdames de Sévigné, de Grignan, de Simiane et de Maintenon</p><p>Ecole des mœurs</p><p>Histoire d'Henri IV, par Péréfixe</p><p>Histoire du vicomte de Turenne</p><p>Les trois moines</p><p>Grammaire francaise de Restaut.</p><p>Le disciple de Lhomond</p><p>Dictionnaire de morale jésuitique, ou les Jésuites jugés d'après leurs écrits, par F. FLocone t A. Bsckhaus, 1824</p><p>La belle-sœur, ou l'enfant des deux lits, par Auguste Lafontaine</p><p>Les veillées du château, par Mme Genlis, nouvelle édition</p><p>La pension de jeunes demoiselles, par mademoiselle Vanhove</p><p>Petit dictionnaire historique d'éducation à l'usage de la jeunessse</p><p>Les petit-Robinson, ou les aventures de Robinson mises à la portée de la jeunesse</p><p>Le petit charbonnier de la forêt noire, pour les enfans</p><p>Le petite Paul, ou l'éducation villageoise</p><p>Le petit Philippe, par Mme de Renneville</p><p>Le petit Savinien, ou histoire d'un jeune orphelin, par madame de Renneville, Paris 1824</p><p>Petit-Pierre, ou la famille du concierge</p><p>Le petit savant de société, contenant la manière de jouer tous les jeux dont on s'amuse en société, 4e édition</p><p>La petite Cendrillon, ou histoire d'une jeune orpheline,</p><p>La petite ménagère, ou l'éducation maternelle, par madame Dufrénoy</p><p>Les petits moralistes, ouvrage traduit de l'anglais</p><p>Les petits amais, ou bonheur et innocence</p><p>Les petits béarnais, ou leçons de morale convenables à la jeunesse, par mad. Delafaye</p><p>Les petits braves, ou les enfans courageux, etc. Paris, 1822</p><p>Le secrétaire de la cour, ou modèle de lettres, pétition, abrégé d'arithmétique</p><p>Le secrétaire de poche, suivi du pétitionnaire</p><p>----</p><p>sous presse pour paraître de suite : poésies sacrées... la jeune lyre...<br /></p><p> <br /></p><p><br /></p><p> <br /></p><p><br /></p><p> </p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p> <br /></p><p> <br /></p><p> <br /></p><p> <br /></p><p> <br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p> <br /></p><p><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimDRlzHTai4O6mlnbdEOR3DcEm5lRxDjQsuin4Yjp3wyGCQ2cUXxclPZUsACwKxcJ_7O2DY-tb0zOQC1C7eqAC2YUzkGbBVG8DDF1ycL1lta5iSXniIKCpc-xv7tyD5dO274jQiO0AHeD5K7cJ0fc2fh9bEqV83aFuAvsJgB3BgHtAE9gpw-asvk_EdOg/s413/1826%20solo.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="182" data-original-width="413" height="141" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimDRlzHTai4O6mlnbdEOR3DcEm5lRxDjQsuin4Yjp3wyGCQ2cUXxclPZUsACwKxcJ_7O2DY-tb0zOQC1C7eqAC2YUzkGbBVG8DDF1ycL1lta5iSXniIKCpc-xv7tyD5dO274jQiO0AHeD5K7cJ0fc2fh9bEqV83aFuAvsJgB3BgHtAE9gpw-asvk_EdOg/s320/1826%20solo.png" width="320" /></a></div><p><b>Seul, rue neuve Saint-Augustin (numéro 6), 1824-1825-1826</b></p><p>avis dans le <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6514511/f4.image">constitutionnel du 9 décembre 1824</a> sur Les mille et une nuits et les trois rivaux <br /></p><p>A. H. Chateauneuf, <i><span style="background-color: #04ff00;">Les trois rivaux</span> ou la fille romanesque, comédie en cinq actes, en prose,, </i>Paris,
A. Leroux (éditeur), rue neuve-Saint-Augustin, n°6, près la rue de
Richelieu, (imprimerie de Lebel, imprimeur du roi, rue d'Erfurth, n°1)
1824, accessible sur archives.org</p><p>Fourquet d'Hachette, <i>La famille de l'émigré ou le tribunal du sang. Episodes de la révolution française, </i>Paris, A. Leroux (éditeur), rue neuve-Saint-Augustin, n°6, près celle de Richelieu, 1825, vu sur <a href="https://www.furet.com/media/pdf/feuilletage/9/7/8/2/0/1/1/7/9782011742810.pdf">les furets du nord</a>, trois tomes accessibles sur <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5496291t">Gallica </a></p><p>Châtillon, <i><span style="background-color: #04ff00;">L'incognito</span>, </i>Paris, A. Leroux (éditeur), rue neuve-Saint-Augustin, n°6, près celle de Richelieu, 1825, sur <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5790024k">Gallica </a></p><p>Châtillon, <i><span style="background-color: #04ff00;">La chemise, conte et les derniers adieux du poète, élégie</span>, </i>Paris, <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4689045t/f4.image">chez A. Leroux</a>, rue neuve-Saint-Augustin, n°6, (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6202108z/f460.image">imprimerie Lebel</a>) 1825, absent de Gallica, listé comme <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5549207p/f157.image">paru</a>. Lisible en partie en <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9690542t/f297.image">annales</a>. Rapporté à l'académie des sciences, arts et belles lettres de Dijon en <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k432500m/f286.item">1825</a>.</p><p>Ch. <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7053706m/f1424.item">Pauffin</a>, <i>la jeune lyre,</i> Paris, <span style="color: red;">Alph. Leroux</span>, éditeur, rue neuve-Saint-Augustin, n°6, 1826 sur un site de vente en ligne <a href="https://www.magicbooks.fr/boutique/PAUFFIN-Cheri-La-Jeune-Lyre-p304634145">magicbooks</a> (absent de Gallica)<br /></p><p></p><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj479vuEcgCT4LAoYOT_dd6w7sYwW1A3F5BejJeRplRnmC-78hdsmCr2hL8bCiGdscy0GCRzhGDc6fF3g6rBSAp5wiYWXOvefJX_fWsX91OfV8m27a4ohciWh_WPXSrkhskXcwViqIDh8NRfXlt1f7RkXA3ZiW42sKgRvTbLHyujDzgN30KkrH8GGI_N2w/s264/Alph.png" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="137" data-original-width="264" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj479vuEcgCT4LAoYOT_dd6w7sYwW1A3F5BejJeRplRnmC-78hdsmCr2hL8bCiGdscy0GCRzhGDc6fF3g6rBSAp5wiYWXOvefJX_fWsX91OfV8m27a4ohciWh_WPXSrkhskXcwViqIDh8NRfXlt1f7RkXA3ZiW42sKgRvTbLHyujDzgN30KkrH8GGI_N2w/s16000/Alph.png" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Alph. LEROUX, éditeur 1826 sur La jeune lyre<br /></td></tr></tbody></table> <br /><p></p><p>Aristippe, <i><span style="background-color: #04ff00;">Théorie de l'art du comédien</span> ou manuel théatral</i>,
Paris, A. Leroux (éditeur), rue neuve-Saint-Augustin, n°6, près de la
rue Richelieu, (imprimerie de Carpentier-Méricourt), 1826, disponible
sur <a href="https://books.google.fr/books?id=P__GVBZamhQC&hl=fr&pg=PR1#v=onepage&q&f=false">Google Books</a> en version annotée et dans plusieurs bibliothèques numériques. </p><p>Léonard Gallois, <i>le citateur dramatique ou choix des maximes, sentences, axiomes apoththegmes et proverbes en vers contenus dans tout le répertoire du théatre français, recueillis et mis en ordre</i>, (deuxième édition, Alph. Leroux 1825 selon le miroir des spectacles, des lettres, des mœurs et des arts, <a href="https://books.google.fr/books?id=WMleAAAAcAAJ&lpg=PP520&ots=tU-AJ_1-zi&dq=le%20citateur%20dramatique%20gallois%20%22leroux%22&hl=fr&pg=PP520#v=onepage&q&f=false">numéro 921 du 24 nov 1825</a>). Nota cette deuxième édition ne semble pas être sur le net.<br /></p><p>Amélie Stréhl Berthollet de Frarière, <span style="background-color: #04ff00;"><i>Les jeunes Hélvétiens</i>,</span> Paris, A. Leroux (éditeur), rue neuve-Saint-Augustin, n°6, près celle de Richelieu, 1826, vu sur <a href="https://www.google.fr/books/edition/Les_jeunes_Helv%C3%A9tiens/cHoFYwQTLH8C?hl=fr&gbpv=0">Google Books</a><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: small;"> [ouvrage mentionné en fin de tome 3 de la famille de l'émigré]</span></span></p><p><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: x-small;"><i><a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54962942/f168.image">nota</a>
du catalogue en fin de tome 3 : "Tous les ouvrages annoncés sont
brochés : les personnes qui désireraient les avoir reliés voudront bien y
ajouter le prix des reliures, qui varira suivant le format du volume."</i></span></span></span></p><p><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: x-small;"><i>Extrait
du catalogue des livres de fonds et d'assortiment. Qui se trouvent chez
A. Leroux, Editeur à Paris, rue Neuve-Saint-Augustin, n°6, près la rue
de Richelieu; ci-devant Palais-Royal. </i></span><br /></span></span></p><p>J.-B. Trécourt, <i>Poésies sacrées</i>, Paris, A. Leroux (éditeur) ... <span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: small;">[ouvrage mentionné en <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54962942/f201.image">fin de tome 3</a> de la famille de l'émigré comme étant sous presse] et sa critique dans le <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k265214p/f2.image">Figaro du 26 juin 2826</a> :<br /></span></span></p><p><span style="font-size: x-small;">"...
les vers ou la prose rimée publiée par Leroux, rue
Neuve-Saint-Augustin, n°6. Pourtant, M. Leroux, si les muses d'église
arrivent jusqu'à la seconde édition sans charlatanisme, nous vous
conseillons en amis de ne jamais achteter de meilleurs vers, et vous y
trouverez votre bénéfice; si ce n'est aps dans l'intérêt de la
littérature, que ce soit dans le vôtre."</span></p><p><span style="font-size: x-small;"> </span><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgyd8UFnQCo_AqhfuvVn78DpXmqdzLJ-OJ9oZ4YvNdE0lsBPaCw70geYY7cVcrCr_ldB-xdUXHom-o5QciV6pRi2x9mPKBVEDhAogdjnPotavPkq6ohlQlOUHUah_eRl7-xj1ibN7tMlNWNcEDNlmiJfLvUbqS3BiY_wqv3l_T-dRk-lTj_zLtgSOLLSM/s503/1826%20d.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="148" data-original-width="503" height="94" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgyd8UFnQCo_AqhfuvVn78DpXmqdzLJ-OJ9oZ4YvNdE0lsBPaCw70geYY7cVcrCr_ldB-xdUXHom-o5QciV6pRi2x9mPKBVEDhAogdjnPotavPkq6ohlQlOUHUah_eRl7-xj1ibN7tMlNWNcEDNlmiJfLvUbqS3BiY_wqv3l_T-dRk-lTj_zLtgSOLLSM/s320/1826%20d.png" width="320" /></a></div><p><b>Avec Constant-Chantpie (co-éditeur) et Béchet aîné libraire, galerie de bois du Palais-Royal (n. 263 et 264) en 1826</b></p><p>Antoine Caire-Morand, <i>la science des pierres précieuses</i>, Paris, Leroux et Chantpie, 1826, cité dans sa première édition par dans le document suivant de <a href="https://www.persee.fr/doc/versa_1285-8412_2014_num_17_1_938">persee.fr</a> (note n°6), non trouvé sur internet dans cette édition initiale</p><p> </p><p>François Guide, <i>Epitre sur l'état actuel de la littérature</i>, Paris, Leroux et Chantpie (éditeurs) Béchet ainé (libraire), 1826, sur le site de la <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k62079674">BnF</a></p><p><br /></p><p>Louis-Benoît Picard et Edouard Mazères, <i>Héritage et mariage, comédie en trois actes et en prose</i>, Paris, A. Leroux et C. Chantpie (éditeurs) Béchet ainé (libraire), 1826, sur le <a href="https://wdc.contentdm.oclc.org/digital/collection/Restoration/id/12613">site</a></p><p><br /></p><p>Guizot, <i>Histoire de la révolution d'Angleterre</i>, Paris, A. Leroux et C. Chantpie (éditeurs) Béchet ainé (libraire), 1826, tome 1 sur le site <a href="https://books.google.fr/books?id=ZVwVAAAAQAAJ&dq=Histoire%20de%20la%20R%C3%A9volution%20d%E2%80%99Angleterre%20depuis%20l%E2%80%99av%C3%A8nement%20de%20Charles%201er%2C%20jusqu%E2%80%99%C3%A0%20la%20restauration%20de%20Charles%20II.%201%C3%A8re%20partie&hl=fr&pg=PP9#v=onepage&q=r%C3%A9vol&f=false">Google Books</a> ; le tome 2 sera publié par <a href="https://www.google.fr/books/edition/Histoire_de_la_r%C3%A9volution_d_Angleterre/dFwVAAAAQAAJ?hl=fr&gbpv=0">Pichon-Béchet en 1827</a></p><p><br /></p><p>Vicomte d'Arlincourt, <i>Le siège de Paris, tragédie en 5 actes</i>, Paris, A. Leroux et Constant-Chantpie (éditeurs) Béchet ainé (libraire), 1826, sur le site de la <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97519825">BnF</a></p><p><br /></p><p>Mme Guizot, <i>Education domestique ou lettres de famille sur l'éducation</i>, Paris, A. Leroux et Constant-Chantpie (éditeurs) Béchet ainé (libraire), 1826, sur le site de la BnF <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k28777t">tome 1</a> et <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k28777t">tome 2</a>, dont une revue est disponible sur le site <a href="https://education.persee.fr/doc/revpe_2021-4111_1883_num_2_1_1518">persee</a>.</p><p><br /></p><p>Benjamin Constant, <i>De la religion considérée dans sa source, ses forces et ses développements</i>, Paris, A. Leroux et C. Chantpie, Béchet Libraire, 1826 sur <a href="https://books.google.fr/books?id=Q3gRAAAAYAAJ&hl=fr&pg=PR3#v=onepage&q&f=false">Google Books</a>, trois tomes</p><p><br /></p><p>Joseph-Isidore Samson, <i>la Belle-mère et le gendre, comédie en trois actes, en vers</i>, Paris, A. Leroux et Const<span>ant </span>Chantpie, 1826 sur <a href="https://books.google.fr/books?id=eqG7rKKTQ68C&hl=fr&pg=PP1#v=onepage&q&f=false">Google Books</a>, et vu sur le Corsaire (ci-dessous)</p><p><br /></p><p>M. André, <i>le tremblement de terre de Lisbonne, tragédie en cinq actes</i>,
Paris, A. Leroux et Constant-Chantpie, 1826 dont le véritable auteur
est mentionné en page32
https://atlante.univ-lille.fr/data/images/_articles/ATLANTE_1_DEF.pdf
mais dont la réédition par Leroux ne semble pas disponible sur internet
(ouvrage antérieur à 1805)</p><p><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWToE5sdc-2Bo9PHG4jbZ27DseQlTqExWPUH6VgR4STr_w-OtHxeEw9E7qEOOHsIW0WGBj8lG6avuSu-4myTPKGD3fnLHMX3dzWexmpOMBMyTZtciMDgJwGb7nHx2rtj2x7cbsQ78ZQHdwOnnUWC5UYOieMWz0wbuvmElDmG6MmZELdgEIt0LInKQp4V0/s296/1833-1.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="53" data-original-width="296" height="53" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWToE5sdc-2Bo9PHG4jbZ27DseQlTqExWPUH6VgR4STr_w-OtHxeEw9E7qEOOHsIW0WGBj8lG6avuSu-4myTPKGD3fnLHMX3dzWexmpOMBMyTZtciMDgJwGb7nHx2rtj2x7cbsQ78ZQHdwOnnUWC5UYOieMWz0wbuvmElDmG6MmZELdgEIt0LInKQp4V0/s1600/1833-1.png" width="296" /></a></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgisqyIai-DzfcxBplrx1EBduWbCWy3wbHsYfHeKGbiKHcP1I-MwMDJpJAlTR_7j1mjPqiZZa9EN3Jbn50IL4mU7LK5r5c-sAaZ9cDyes7_V0LOk-cq_0X8QWISmjIFW2Pf8urydBUtTeEpb_G7y0mLBamsDQijUxWpHzWbJNrIC_0BLPBBL2LmfxFnYQY/s636/1833-2.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="242" data-original-width="636" height="122" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgisqyIai-DzfcxBplrx1EBduWbCWy3wbHsYfHeKGbiKHcP1I-MwMDJpJAlTR_7j1mjPqiZZa9EN3Jbn50IL4mU7LK5r5c-sAaZ9cDyes7_V0LOk-cq_0X8QWISmjIFW2Pf8urydBUtTeEpb_G7y0mLBamsDQijUxWpHzWbJNrIC_0BLPBBL2LmfxFnYQY/s320/1833-2.png" width="320" /></a></div><p><b>Seul, en 1833, sous le patronyme de Leroux-Dufié, à la raffinerie de sucre, rue blanche n. 17, chaussée d'Antin</b></p><p>Antoine Caire-Morand, <i>la science des pierres précieuses</i>,
revue, corrigée et mise en ordre et publiée par Leroux-Dufié, 2ième
édition, Paris, l'éditeur, à la raffinerie de sucre, rue blanche n. 17,
chaussée d'Antin, (imprimeur-libraire Carpentier-Méricourt), 1833 sur
le site de la <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6303316r">BnF</a></p><p><br /></p><p><b>Avec Constant-Chantpie (co-éditeur) suite au rachat du catalogue Béchet aîné libraire, galerie de bois du Palais-Royal en 1826</b></p><p>L.
Castel, mille et un jour contes persans, Paris, A. Leroux et Constant
Chantpie (éditeurs) Béchet ainé (libraire), 1826, sur le <a href="https://france-estimations.fr/estimation-livre-manuscrit-mille-et-un-jour/">site de vente</a></p><p><br /></p><p><br /></p><p>Constant-Chantpie seul : M. L. P. Vieillot et M. P. Oudart, <span style="background-color: #04ff00;"><i>La galerie des oiseaux</i></span>, Paris, Constant-Chantpie, éditeur, rue Sainte-Anne, n°20, 1825 accessible sur le site de la BnF (<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58007181">tome 1</a> et la <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k10432353" target="_blank">tome 2)</a>. <span style="color: red;">Nota : cet ouvrage est listé dans <i>Salon de 1824</i> donc il doit exister une édition par A. Leroux, en 1824 avant sa reprise (en 1825) par Chantpie, son futur associé.</span><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><span style="font-size: x-small;">Vu dans la presse : journal <i>Le corsaire</i> :</span></p><p></p><ul style="text-align: left;"><li><span style="font-size: x-small;">Le drapeau blanc du <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4923635q/f4.image">30 juin 1823</a> pour Promenade à Sainte-Pélagie<br /></span></li><li><span style="font-size: x-small;">Edition du <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4689045t/f4.image">14 juillet 1825</a> cite La chemise <br /></span></li><li><span style="font-size: x-small;">Edition du <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4689065k/f4.image">31 août 1825</a>, Leroux est cité comme éditeur pour la vente de l'ouvrage le censeur dramatique de Léonard <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k205360r/f972.item">Gallois</a></span></li><li><span style="font-size: x-small;">Edition du <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4689088k/f3.image">8 novembre 1825</a> cite la théorie de le l'art du comédien <br /></span></li><li><span style="font-size: x-small;">La belle-mère et le gendre page 4 du <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4688500n">corsaire</a> du
09 mai 1826 (en page 4) il semble qu'il y ait une coquille dans
l'article, lire Education domestique au lieu d'économie domestique, lire
Mme Guizot et non M. Guizot</span></li><li><span style="font-size: x-small;">Education domestique ou lettres de famille sur l'éducation page 2 du <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k46885138">corsaire</a> du 25 mai 1826</span></li><li><span style="font-size: x-small;">Tremblement de terre de Lisbonne de maître André et les jeunes hélvétiens <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4688532m">pages 3 et 4 du corsaire</a> du 19 juin 1826</span></li></ul><p></p><p><span style="font-size: x-small;">selon
l'édition du Corsaire du 09 mai 1826 : au nouveau magasin que les
libraires Leroux et Constant Chantpie, éditeurs de l'ouvrage, ont ouvert
au Palais-Royal, galerie de bois, n. 263 et 264.</span></p><p><span style="font-size: x-small;">Cette information concorde avec celles de l'acte de mariage de mai 1826</span></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p>Les images reproduites sont issues du site Gallica de la BnF, de Google Books et des archives nationales.</p><p>(nota L.G. Michaud, imprimeur du roi, rue des Bons-Enfans en <a href="https://books.google.fr/books?id=eD9hAAAAcAAJ&hl=fr&pg=PP9#v=onepage&q&f=false">1814</a>; <a href="http://histoire-bibliophilie.blogspot.com/2017/03/">Ladvocat</a>, libraire du duc de Chartres en <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9610773v.texteImage">1824</a>; chez <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k63731783/">François</a>, libraire galerie de bois 202 en 1822; à la librairie ancienne et moderne, galerie de bois 263-264 en <a href="https://books.google.fr/books?id=UhEwAAAAMAAJ&hl=fr&pg=PA3#v=onepage&q&f=false">1827</a>) projet <a href="https://francearchives.gouv.fr/fr/findingaid/7de3d9db48df28f69fca879496a83abb191fbda3">DEF</a>; brevet d'imprimeur libraire page <a href="https://cnum.cnam.fr/pgi/redir.php?onglet=c&ident=8XA229">46-47</a></p>faillite <a href="https://www.retronews.fr/journal/journal-du-commerce/24-avril-1823/1135/3437423/4">24 avril 1823</a> Belliard rue Croix des petits champs 54 Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-38078493801219367252023-12-30T12:59:00.000-08:002024-01-06T05:54:52.014-08:00Leroux éditeur-libraire<p> ... et les livres.</p><p>Nota : cet article en version 2 a fait l'objet de rajouts suite à une recherche internet sur d'autres mots clefs. Il fait également l'objet d'une simplification en ne listant que quelques unes des œuvres éditées ou vendues par A. Leroux.<br /></p><p><br /></p><p>Le 7 mai 1826, Alphonse Jean Baptiste Leroux est qualifié d'éditeur-libraire sur son acte de mariage (MC/ET/LXXVI/668). Il est domicilié au 6 rue neuve Saint-Augustin dans le 2ième arrondissement.</p><p>Sa dot comprend "les marchandises composant le fond de commerce de librairie qu'il exerce et fait valoir en société avec M. Constant-Chantpie au Palais-Royal", ainsi que "le fond de librairie qu'il possède seul rue neuve St-Augustin, n°6 et qui doit être réuni incessamment à celui du Palais Royal", pour un montant de 45 750 francs.</p><p>Son associé Constant-Chantpie est présent pour le contrat de mariage.</p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgd9X8AxGwbDendLHnYmlOiHzib6txcllQc7kF_zFtDc6KHgjbL4cQ4qhhD9cRah6SJnaEp9M70OlpW0pKnVFAJkLsf96dTm9GAwZZt7UMcFQZlBjrSGImSvebNkZTsJGfY3qilVDZ0RZ6MUmZKWVF1mOB-_9HBDqnjU51QvKFuIY6utZitMbrfyGpmsts/s666/1826M.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="125" data-original-width="666" height="75" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgd9X8AxGwbDendLHnYmlOiHzib6txcllQc7kF_zFtDc6KHgjbL4cQ4qhhD9cRah6SJnaEp9M70OlpW0pKnVFAJkLsf96dTm9GAwZZt7UMcFQZlBjrSGImSvebNkZTsJGfY3qilVDZ0RZ6MUmZKWVF1mOB-_9HBDqnjU51QvKFuIY6utZitMbrfyGpmsts/w400-h75/1826M.png" width="400" /></a></div><br /><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi6hVIS0eKGuNJTEpDe8qyR_tDG87QG7SyOLSY8wC2xGc0gvo4oVINTT4ZbL-DC9olZCYoANascQaPEuRVbkRnfXKHCB3grzvGEcrohTrL2OXBxX1ufSE6PPoQ_0A9vIkQGbqglWYJZmsF0QS7kpIBwaflC21jIobkporfj4nFTx61Xa79VynIbEF5pAP4/s571/Chantpie.png" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="39" data-original-width="571" height="28" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi6hVIS0eKGuNJTEpDe8qyR_tDG87QG7SyOLSY8wC2xGc0gvo4oVINTT4ZbL-DC9olZCYoANascQaPEuRVbkRnfXKHCB3grzvGEcrohTrL2OXBxX1ufSE6PPoQ_0A9vIkQGbqglWYJZmsF0QS7kpIBwaflC21jIobkporfj4nFTx61Xa79VynIbEF5pAP4/w400-h28/Chantpie.png" width="400" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">acte de mariage Leroux Dufié du 7 mai 1826 ET LXXVI</td></tr></tbody></table><p><br /></p><p>La toile permet de retrouver quelques livres et documents attribués à l'éditeur Leroux et ainsi de suivre sa période de libraire. Il est répertorié sous diverses appellations (A. Leroux, Alph. Leroux) mais c'est bien Alphonse Leroux. Il change au moins deux fois d'adresses.<br /></p><p>La seule mention trouvée sur son prénom figure en note dans l'ouvrage <i>Les divorces anglais</i> (page 224 du second tome) :</p><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgeABrDBHOrmlDDexnwnzFc82fmMFMKDTDAYQ1yyr3Z-dkDpiUZ96uKNfdfRAQs2thNtMO_4xGeFvf_AvBLDUk8sjpJarc_f-Jjcb8KZAfnb9F6ML1CelLeQwZHm7HEfhmFnOSJ3glNOKRQZK2Cw7zx5njGmIJWCUl99Bj2kuyOHyWMSVQHZsKtNX8yiFk/s455/Alphonse.png" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="121" data-original-width="455" height="106" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgeABrDBHOrmlDDexnwnzFc82fmMFMKDTDAYQ1yyr3Z-dkDpiUZ96uKNfdfRAQs2thNtMO_4xGeFvf_AvBLDUk8sjpJarc_f-Jjcb8KZAfnb9F6ML1CelLeQwZHm7HEfhmFnOSJ3glNOKRQZK2Cw7zx5njGmIJWCUl99Bj2kuyOHyWMSVQHZsKtNX8yiFk/w400-h106/Alphonse.png" width="400" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Alphonse Leroux<br /></td></tr></tbody></table><br /><p>Sur <i>les mille et une nuits</i> et <i>les trois rivaux</i> (1824), <i>la famille de l'émigré</i> (1825) ainsi que sur <i>les Helvétiens</i> et <i>Théorie de l'art du comédien </i>(1826) apparaît le monogramme LA :<br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhJuysqyS6IOG2eEQOPO9DDOcmeNg0LyCzfo_3ypAE8V3gVV1-5CA4Z3PKkfRfN46agaLmR5LkY22hdhUgpwqZh35muBjXtmyPFn2cUPvc9KV3fJGi-LMSyrkFCl1X_xwZNS7h4oi6ipEJsf3gT9mrORnNFCS2PN8zETWegi_AgdOSzTsIdgmce5jyBorg/s128/calli.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="117" data-original-width="128" height="117" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhJuysqyS6IOG2eEQOPO9DDOcmeNg0LyCzfo_3ypAE8V3gVV1-5CA4Z3PKkfRfN46agaLmR5LkY22hdhUgpwqZh35muBjXtmyPFn2cUPvc9KV3fJGi-LMSyrkFCl1X_xwZNS7h4oi6ipEJsf3gT9mrORnNFCS2PN8zETWegi_AgdOSzTsIdgmce5jyBorg/s1600/calli.png" width="128" /></a></div><br /><p>L'association avec Chantpie donnera naissance à un autre monogramme sur <i>le siège de Paris</i> ainsi que sur <i>la belle-mère et le gendre,</i> CC AL :<br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhJuiMPrutIP94KR0g5cRicdqxHQ18Ake-hkOT3-Xj_01_C92X3RqRLxeW-IuJKfF0M19-E79u0DxBLUeM2xQs4MsvNAfVred1_iBJXh_nTuEOjo52ZKYOX1HwhCT_AqX8rwXZsDfB6uz8nRXa5WtViP254e0eRMDz-hoI7JCDSAzazPZBR7rrA2hybuNw/s167/mono2.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="167" data-original-width="124" height="167" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhJuiMPrutIP94KR0g5cRicdqxHQ18Ake-hkOT3-Xj_01_C92X3RqRLxeW-IuJKfF0M19-E79u0DxBLUeM2xQs4MsvNAfVred1_iBJXh_nTuEOjo52ZKYOX1HwhCT_AqX8rwXZsDfB6uz8nRXa5WtViP254e0eRMDz-hoI7JCDSAzazPZBR7rrA2hybuNw/s1600/mono2.png" width="124" /></a></div><br /><p><br /></p><p><br /></p><p>Voici les adresses de la librairie de Leroux et quelques particularités.<br /></p><p><br /></p><p></p><div style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiudo1j8niTNYYNfbEkgZGJLU6rTjnJBGTnvhGjnzsnLuPHXs4EOLhKd8brpzAQpeJCgE9aWnz0yCFgOndmj8IVamE4LfZXjgvT77U_Sqo69ZWTsSXgBXzI3mUizVQ9etdcwmVEvXUQ1I6sc5_fIenI52rDGtOOKz4_PuhbUxpe0Yb7nay0u1TqAFtp-vc/s573/1822.png"><img border="0" data-original-height="41" data-original-width="573" height="23" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiudo1j8niTNYYNfbEkgZGJLU6rTjnJBGTnvhGjnzsnLuPHXs4EOLhKd8brpzAQpeJCgE9aWnz0yCFgOndmj8IVamE4LfZXjgvT77U_Sqo69ZWTsSXgBXzI3mUizVQ9etdcwmVEvXUQ1I6sc5_fIenI52rDGtOOKz4_PuhbUxpe0Yb7nay0u1TqAFtp-vc/s320/1822.png" width="320" /></a></div><b>Libraire à la galerie de bois du Palais-Royal, au 202, pour le tableau de 1822. A. Leroux fait appel aux services d'au moins deux imprimeurs: Carpentier-Méricourt et Constant-Chantpie; C'est avec ce dernier qui il s'associera en 1826 au sein d'une société d'édition.<br /></b><p></p><p><i>tableau figuratif de la chambre des députés pour la session de 1822</i>, <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8441999q">A. Leroux</a> avec <a href="http://histoire-bibliophilie.blogspot.com/2014/04/la-boutique-desprit-des-dentu.html">Dentu</a></p><p><br /></p><p><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjBUW6JKx0mQKKiAvbTcCcMR1d_QL0lYTMJGJc7nyoBMbVXvYfVsAgGOCrDIziznM3lJ4zI5O7GfzXku6Eu5cXttrD4N9tOTC6rkjykH488qIyuVTIzpeTJ57g1PSNgeFHe0wZQTJfDTVwEtC8bRasfvQP8EEhbo6WKBYRrpihzrDZe3w_yB7ywM8Eni-E/s647/1824.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="202" data-original-width="647" height="100" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjBUW6JKx0mQKKiAvbTcCcMR1d_QL0lYTMJGJc7nyoBMbVXvYfVsAgGOCrDIziznM3lJ4zI5O7GfzXku6Eu5cXttrD4N9tOTC6rkjykH488qIyuVTIzpeTJ57g1PSNgeFHe0wZQTJfDTVwEtC8bRasfvQP8EEhbo6WKBYRrpihzrDZe3w_yB7ywM8Eni-E/s320/1824.png" width="320" /></a></div><p><b>Seul, à la galerie de bois du Palais-Royal (au numéro 202), 1822-1823-1824</b></p><p>A. H. Chateauneuf, <i>John Bull ou le coin du feu d'une famille anglaise, comédie en trois actes, </i>Paris, A. Leroux, éditeur, Palais-Royal galerie de bois, n. 202, (imprimerie de Constant-Chantpie)1822, sur <a href="https://books.google.fr/books?id=AIhJAAAAcAAJ&hl=fr&pg=PR3#v=onepage&q&f=false" target="_blank">Google Books</a> <span style="font-size: x-small;">"cette comédie se vend deux francs, chez l'auteur, rue du Dauphin, n°3 A. Leroux, Palais-Royal, galerie de Bois, n°202" <span style="font-size: small;">[est mentionné comme à paraître le 20 septembre dans l'édition des divorces anglais] </span></span><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: small;">[est mentionné en note de bas de page dans Londres au dix-neuvième siècle]</span></span></p><p><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: small;"></span></span></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: small;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0fkBNWeqFSsC-L4d9QsTOFiTk-nTTWqnsBCLUIQhadZyT7aXM8amUB72iGNGhz_pNW98R1RSn9NHwoDTPoT_Qv5uuk9f5NleitfjXdsJQOa3-auX0GCcqEFY2sqkhbmYpsSjoeoUYeSmMvFAQ8kVO28WvGfeyFOS0MuTcsiCG9drq1oX8EO0uVy0JRlY/s482/mention.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="55" data-original-width="482" height="46" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi0fkBNWeqFSsC-L4d9QsTOFiTk-nTTWqnsBCLUIQhadZyT7aXM8amUB72iGNGhz_pNW98R1RSn9NHwoDTPoT_Qv5uuk9f5NleitfjXdsJQOa3-auX0GCcqEFY2sqkhbmYpsSjoeoUYeSmMvFAQ8kVO28WvGfeyFOS0MuTcsiCG9drq1oX8EO0uVy0JRlY/w400-h46/mention.png" width="400" /></a></span></span></div><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: small;"><u>mention en début d'ouvrage</u> : tous les exemplaires devront être signés de M. A. Leroux, libraire, ou seront saisis comme contrefaits. <br /></span></span><p></p><p>Leroux édite de nombreux ouvrages de M. de Chateauneuf, <i>Histoire des grands capitaines</i>, <i>Londres au dix-neuvième siècle, ou l'école du scandale, tragédie en cinq actes, en prose</i>, Paris, A. Leroux, éditeur, Palais-Royal galerie de bois, n. 202, (imprimerie de Carpentier-Méricourt) 1824, sur le site de la <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5758323k" target="_blank">BnF</a> (cet ouvrage est listé comme ouvrage nouveau dans <i>Salon de 1824</i>) </p><p><i>Les divorces anglais ou procès en adultère jugés par le banc du roi et la cour ecclésiastique d'Angleterre, </i>Paris, chez A. Leroux, éditeur, Palais-Royal galerie de bois, n. 202, 1822, sur <a href="https://www.google.fr/books/edition/Les_Divorces_anglais_ou_proc%C3%A8s_en_adult/QrxCAAAAcAAJ?hl=fr&gbpv=0" target="_blank">Google Books pour le volume 2 é</a>dition 1822 et édition <a href="https://books.google.fr/books?id=r-s7AQAAMAAJ&hl=fr&pg=PR3#v=onepage&q&f=false">1823</a> du volume 1 (le <a href="https://books.google.fr/books?id=OLxCAAAAcAAJ&hl=fr&pg=PP5#v=onepage&q&f=false">volume 1</a> datant de 1821 est chez un autre éditeur, rue des fossés-Montmartre, n°9) en trois volumes. Nota le volume 2 d'A. Leroux est imprimé par Constant-Chantpie, rue Sainte-Anne, n.20. Le <a href="https://www.google.fr/books/edition/Les_divorces_anglais_ou_proc%C3%A8s_en_adult/9PVWAAAAcAAJ?hl=fr&gbpv=1&dq=%22des+divorces+anglais%22&pg=RA2-PA224&printsec=frontcover">tome 3</a> de 1822 est chez Pélicier, A. Leroux, Ponthieu, Verdière et Béchet (<a href="https://www.google.fr/books/edition/_/Q7xCAAAAcAAJ?hl=fr&gbpv=0">tome 3</a>). Les trois volumes en un fichier <a href="https://books.google.fr/books?id=r-s7AQAAMAAJ&hl=fr&pg=PR1#v=onepage&q&f=false">Google Books</a>. <br /></p><p>Nota en page 224 du tome 2 il est fait référence à un ouvrage sous presse à paraître le 30 juillet chez <b>Alphonse Leroux</b>, au Palais-Royal. <br /></p><p><span style="font-size: x-small;">Ouvrage piquant pour les jurisconsultes et les gens du monde, utile aux maris dans l'attaque, aux femmes dans la défense, avec des notes critiques où l'on oppose les mœurs des deux nations et la conduite des dames anglaises avec leurs prétentions d'être plus réservées que les femmes du continent.</span></p><p><span style="font-size: x-small;"><u>Note intégrée dans la réédition Leroux du volume 1</u> : Le premier et le second volumes ayant été vendus avant que le troisième parût, on en donne une nouvelle édition conforme à la première; cela a paru plus honnête que d'annoncer une édition refondue et considérablement augmentée, pour faire acheter la seconde et laisser le regret d'avoir acquis la première. </span><br /></p><p>N. <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5549207p/f157.image">Châtillon</a>, <i>Le duelliste, poëme élégiaque</i>, Paris, A. Leroux, éditeur, Palais-Royal galerie de bois, n° 202, (imprimerie de Constant-Chantpie, rue Sainte-Anne, n°20) 1823 sur le site <a href="https://books.google.fr/books?id=KY5t6q9TOcEC&hl=fr&pg=PA3#v=onepage&q&f=false">Google Books</a>. <a href="https://théâtre-documentation.com/content/ch%C3%A2tillon-claude-nicolas">Palmes académiques d'Arras</a>. Nota : Châtillon passe de Ponthieu <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5789885j">1821</a> à Leroux à partir de sa deuxième œuvre.<br /></p><p>J. F. Simonot, <i>Résumé de l'histoire d'Espagne jusqu'à nos jours</i>, 2ième édition revue et corrigéée, Paris, A. Leroux, éditeur, Palais-Royal galerie de bois, n° 202, (imp. de Constant-Chantpie) 1823 sur le site de la <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k58007181" target="_blank">BnF</a>, avec un avis de l'éditeur en préface, mentionnant la première édition six semaines avant. (cet ouvrage est listé comme ouvrage nouveau dans <i>Salon de 1824</i>).</p><p><span style="font-size: x-small;">Avis de l'éditeur. On n'a pas toujours le temps ou la volonté de lire les nombreux volumes dont se compose l'histoire de plusieurs peuples modernes. de là le besoin des abrégés qui offrent, dans un cadre peu étendu, le tableau rapide de la vie politique d'une nation, et font connaître sa législation, ses mœurs et son caractère. Ce travail manquait pour l'Espagne, qui excite aujourd'hui un si vif et si juste intérêt. Le <i>Résumé</i> que nous avons publié, il y a environ six semaines, remplit cette lacune. La rapidité avec laquelle la première édition s'est écoulée est la preuve inconstestable d'un succès dont nous ne pouvons qu'être flattés. L'accueil que le public a fait à cet ouvrage, et le compte avantageux qu'en ont rendu plusieurs journaux, sont notre première récompense.</span></p><p><span style="font-size: x-small;">La seconde édition que nous publions aujourd'hui, sous un autre format, a déjà reçu quelques perfectionnements, si come on a bien voulu le reconnaître, le <i>Résumé de l'Histoire d'Espagne</i> offre une lecture agréable, et n'a pas la sécheresse qui est l'écueil ordinaire des abrégés, nous pouvons compter sur de nouveaux suffrages, et nous travaillerons à le rendre toujours de plus en plus digne d'occuper une place dans les bibliothèques.</span><br /></p><p>Ferdinand Flocon et Marie Aycard, <i>Salon de 1824</i>, Paris, A. Leroux, éditeur, Palais-Royal galerie de bois, n. 202, 1824 sur le site <a href="https://www.furet.com/media/pdf/feuilletage/9/7/8/2/0/1/2/7/9782012745155.pdf">furet.com</a></p><p>Mention : <span style="font-size: x-small;">Les lettres, avis et réclamations doivent être adressé, franc de port, à M. Leroux, éditeur.</span><br /></p><p><i>Les mille et une nuits, contes arabes, traduits par Galland</i>, Paris, A. Leroux, éditeur, Palais-Royal galerie de bois, n. 202, (Versailles, de l'impirmerie de Vitry) 1824, tome premier sur 8 volumes sur le site de la <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1413748k" target="_blank">BnF</a> "<span style="color: red;">LA</span>" (cet ouvrage est listé comme étant en souscription dans <i>Salon de 1824</i>)</p><p><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimDRlzHTai4O6mlnbdEOR3DcEm5lRxDjQsuin4Yjp3wyGCQ2cUXxclPZUsACwKxcJ_7O2DY-tb0zOQC1C7eqAC2YUzkGbBVG8DDF1ycL1lta5iSXniIKCpc-xv7tyD5dO274jQiO0AHeD5K7cJ0fc2fh9bEqV83aFuAvsJgB3BgHtAE9gpw-asvk_EdOg/s413/1826%20solo.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="182" data-original-width="413" height="141" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEimDRlzHTai4O6mlnbdEOR3DcEm5lRxDjQsuin4Yjp3wyGCQ2cUXxclPZUsACwKxcJ_7O2DY-tb0zOQC1C7eqAC2YUzkGbBVG8DDF1ycL1lta5iSXniIKCpc-xv7tyD5dO274jQiO0AHeD5K7cJ0fc2fh9bEqV83aFuAvsJgB3BgHtAE9gpw-asvk_EdOg/s320/1826%20solo.png" width="320" /></a></div><p><b>Seul, rue neuve Saint-Augustin (numéro 6), 1824-1825-1826</b></p><p>avis dans le <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6514511/f4.image">constitutionnel du 9 décembre 1824</a> sur Les mille et une nuits et les trois rivaux <br /></p><p>A. H. Chateauneuf et Châtillon suivent Leroux dans sa nouvelle adresse avec respectivement <i>Les trois rivaux ou la fille romanesque, comédie en cinq actes, en prose</i>, <i>La famille de l'émigré ou le tribunal du sang. Episodes de la révolution française, </i>et <i>L'incognito,</i><i>La chemise, conte et les derniers adieux du poète, élégie,</i></p><p>Ch. <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7053706m/f1424.item">Pauffin</a>, <i>la jeune lyre,</i> Paris, <span>Alph. Leroux</span>, éditeur, rue neuve-Saint-Augustin, n°6, 1826 sur un site de vente en ligne <a href="https://www.magicbooks.fr/boutique/PAUFFIN-Cheri-La-Jeune-Lyre-p304634145">magicbooks</a> (absent de Gallica)<br /></p><p></p><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj479vuEcgCT4LAoYOT_dd6w7sYwW1A3F5BejJeRplRnmC-78hdsmCr2hL8bCiGdscy0GCRzhGDc6fF3g6rBSAp5wiYWXOvefJX_fWsX91OfV8m27a4ohciWh_WPXSrkhskXcwViqIDh8NRfXlt1f7RkXA3ZiW42sKgRvTbLHyujDzgN30KkrH8GGI_N2w/s264/Alph.png" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="137" data-original-width="264" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj479vuEcgCT4LAoYOT_dd6w7sYwW1A3F5BejJeRplRnmC-78hdsmCr2hL8bCiGdscy0GCRzhGDc6fF3g6rBSAp5wiYWXOvefJX_fWsX91OfV8m27a4ohciWh_WPXSrkhskXcwViqIDh8NRfXlt1f7RkXA3ZiW42sKgRvTbLHyujDzgN30KkrH8GGI_N2w/s16000/Alph.png" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Alph. LEROUX, éditeur 1826 sur La jeune lyre<br /></td></tr></tbody></table> <br /><p></p><p>Aristippe, <i>Théorie de l'art du comédien ou manuel théatral</i>, Paris, A. Leroux (éditeur), rue neuve-Saint-Augustin, n°6, près de la rue Richelieu, (imprimerie de Carpentier-Méricourt), 1826, disponible sur <a href="https://books.google.fr/books?id=P__GVBZamhQC&hl=fr&pg=PR1#v=onepage&q&f=false">Google Books</a> en version annotée et dans plusieurs bibliothèques numériques. </p><p>Nota en fin de livre scanné, le propriétaire du livre a inscrit ses commentaires. Et précédemment, à la mention :</p><p>La promptitude avec laquelle cet Ouvrage a été imprimé a été cause de quelques fautes auxquelles le Lecteur pourra suppléer facimement.</p><p>Le propriétaire rajoute un grand Dieu! (neuf francs, grand Dieu?)<br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFw5eUztmslW7N-ZQww6HmmtgfTwl0nL03692hTUY3RbOdaXMf4wpd_TXhmIZxtvaG0QAlaKEthdaVGjGJ-PHfRcbE7lIP8m319uV_vwX8sLWTFiHr4NnUdYSGoQ0BX3rSmowvmk_s5IGODevAhjCMA81emxvzYRNyf3bgtmsPWgoa_wvfSbxF22_3n0g/s632/gd.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="146" data-original-width="632" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjFw5eUztmslW7N-ZQww6HmmtgfTwl0nL03692hTUY3RbOdaXMf4wpd_TXhmIZxtvaG0QAlaKEthdaVGjGJ-PHfRcbE7lIP8m319uV_vwX8sLWTFiHr4NnUdYSGoQ0BX3rSmowvmk_s5IGODevAhjCMA81emxvzYRNyf3bgtmsPWgoa_wvfSbxF22_3n0g/s16000/gd.png" /></a></div><br /><p><br /></p><p>Amélie Stréhl Berthollet de Frarière, <i>Les jeunes Hélvétiens</i>, Paris, A. Leroux (éditeur), rue neuve-Saint-Augustin, n°6, près celle de Richelieu, 1826, vu sur <a href="https://www.google.fr/books/edition/Les_jeunes_Helv%C3%A9tiens/cHoFYwQTLH8C?hl=fr&gbpv=0">Google Books</a><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: small;"> [ouvrage mentionné en fin de tome 3 de la famille de l'émigré]</span></span></p><p><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: x-small;"><i><a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54962942/f168.image">nota</a> du catalogue en fin de tome 3 : "Tous les ouvrages annoncés sont brochés : les personnes qui désireraient les avoir reliés voudront bien y ajouter le prix des reliures, qui variera suivant le format du volume."</i></span></span></span></p><p><span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-size: x-small;"><i>Extrait du catalogue des livres de fonds et d'assortiment. Qui se trouvent chez A. Leroux, Editeur à Paris, rue Neuve-Saint-Augustin, n°6, près la rue de Richelieu; ci-devant Palais-Royal. </i></span><br /></span></span></p><p>J.-B. Trécourt, <i>Poésies sacrées</i>, Paris, A. Leroux (éditeur) ... <span style="font-size: x-small;"><span style="font-size: small;">[ouvrage mentionné en <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54962942/f201.image">fin de tome 3</a> de la famille de l'émigré comme étant sous presse] et sa critique dans le <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k265214p/f2.image">Figaro du 26 juin 2826</a> :<br /></span></span></p><p><span style="font-size: x-small;">"... les vers ou la prose rimée publiée par Leroux, rue Neuve-Saint-Augustin, n°6. Pourtant, M. Leroux, si les muses d'église arrivent jusqu'à la seconde édition sans charlatanisme, nous vous conseillons en amis de ne jamais achteter de meilleurs vers, et vous y trouverez votre bénéfice; si ce n'est aps dans l'intérêt de la littérature, que ce soit dans le vôtre."</span></p><p><span style="font-size: x-small;"> </span><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgyd8UFnQCo_AqhfuvVn78DpXmqdzLJ-OJ9oZ4YvNdE0lsBPaCw70geYY7cVcrCr_ldB-xdUXHom-o5QciV6pRi2x9mPKBVEDhAogdjnPotavPkq6ohlQlOUHUah_eRl7-xj1ibN7tMlNWNcEDNlmiJfLvUbqS3BiY_wqv3l_T-dRk-lTj_zLtgSOLLSM/s503/1826%20d.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="148" data-original-width="503" height="94" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhgyd8UFnQCo_AqhfuvVn78DpXmqdzLJ-OJ9oZ4YvNdE0lsBPaCw70geYY7cVcrCr_ldB-xdUXHom-o5QciV6pRi2x9mPKBVEDhAogdjnPotavPkq6ohlQlOUHUah_eRl7-xj1ibN7tMlNWNcEDNlmiJfLvUbqS3BiY_wqv3l_T-dRk-lTj_zLtgSOLLSM/s320/1826%20d.png" width="320" /></a></div><p><b>Avec Constant-Chantpie (co-éditeur) et Béchet aîné libraire, galerie de bois du Palais-Royal (n. 263 et 264) en 1826</b></p><p>Antoine Caire-Morand, <i>la science des pierres précieuses</i>, Paris, Leroux et Chantpie, 1826, cité dans sa première édition par dans le document suivant de <a href="https://www.persee.fr/doc/versa_1285-8412_2014_num_17_1_938">persee.fr</a> (note n°6), non trouvé sur internet dans cette édition initiale</p><p> </p><br /><p><br /></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWToE5sdc-2Bo9PHG4jbZ27DseQlTqExWPUH6VgR4STr_w-OtHxeEw9E7qEOOHsIW0WGBj8lG6avuSu-4myTPKGD3fnLHMX3dzWexmpOMBMyTZtciMDgJwGb7nHx2rtj2x7cbsQ78ZQHdwOnnUWC5UYOieMWz0wbuvmElDmG6MmZELdgEIt0LInKQp4V0/s296/1833-1.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="53" data-original-width="296" height="53" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhWToE5sdc-2Bo9PHG4jbZ27DseQlTqExWPUH6VgR4STr_w-OtHxeEw9E7qEOOHsIW0WGBj8lG6avuSu-4myTPKGD3fnLHMX3dzWexmpOMBMyTZtciMDgJwGb7nHx2rtj2x7cbsQ78ZQHdwOnnUWC5UYOieMWz0wbuvmElDmG6MmZELdgEIt0LInKQp4V0/s1600/1833-1.png" width="296" /></a></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgisqyIai-DzfcxBplrx1EBduWbCWy3wbHsYfHeKGbiKHcP1I-MwMDJpJAlTR_7j1mjPqiZZa9EN3Jbn50IL4mU7LK5r5c-sAaZ9cDyes7_V0LOk-cq_0X8QWISmjIFW2Pf8urydBUtTeEpb_G7y0mLBamsDQijUxWpHzWbJNrIC_0BLPBBL2LmfxFnYQY/s636/1833-2.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="242" data-original-width="636" height="122" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgisqyIai-DzfcxBplrx1EBduWbCWy3wbHsYfHeKGbiKHcP1I-MwMDJpJAlTR_7j1mjPqiZZa9EN3Jbn50IL4mU7LK5r5c-sAaZ9cDyes7_V0LOk-cq_0X8QWISmjIFW2Pf8urydBUtTeEpb_G7y0mLBamsDQijUxWpHzWbJNrIC_0BLPBBL2LmfxFnYQY/s320/1833-2.png" width="320" /></a></div><p><b>Seul, en 1833, sous le patronyme de Leroux-Dufié, à la raffinerie de sucre, rue blanche n. 17, chaussée d'Antin (son domicile)<br /></b></p><p>Antoine Caire-Morand, <i>la science des pierres précieuses</i>, revue, corrigée et mise en ordre et publiée par Leroux-Dufié, 2ième édition, Paris, l'éditeur, à la raffinerie de sucre, rue blanche n. 17, chaussée d'Antin, (imprimeur-libraire Carpentier-Méricourt), 1833 sur le site de la <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6303316r">BnF</a></p><p><br /></p><p><b>Avec Constant-Chantpie (co-éditeur) suite au rachat du catalogue Béchet aîné libraire, galerie de bois du Palais-Royal en 1826</b></p><p>L. Castel, mille et un jour contes persans, Paris, A. Leroux et Constant Chantpie (éditeurs) Béchet ainé (libraire), 1826, sur le <a href="https://france-estimations.fr/estimation-livre-manuscrit-mille-et-un-jour/">site de vent</a></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p>Vu dans la presse : journal <i>Le corsaire</i> :</p><p></p><ul style="text-align: left;"><li>Le drapeau blanc du <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4923635q/f4.image">30 juin 1823</a> pour Promenade à Sainte-Pélagie<br /></li><li>Edition du <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4689045t/f4.image">14 juillet 1825</a> cite La chemise <br /></li><li>Edition du <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4689065k/f4.image">31 août 1825</a>, Leroux est cité comme éditeur pour la vente de l'ouvrage le censeur dramatique de Léonard <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k205360r/f972.item">Gallois</a></li><li>Edition du <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4689088k/f3.image">8 novembre 1825</a> cite la théorie de le l'art du comédien <br /></li><li>La belle-mère et le gendre page 4 du <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4688500n">corsaire</a> du 09 mai 1826 (en page 4) il semble qu'il y ait une coquille dans l'article, lire Education domestique au lieu d'économie domestique, lire Mme Guizot et non M. Guizot</li><li>Education domestique ou lettres de famille sur l'éducation page 2 du <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k46885138">corsaire</a> du 25 mai 1826</li><li>Tremblement de terre de Lisbonne de maître André et les jeunes hélvétiens <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4688532m">pages 3 et 4 du corsaire</a> du 19 juin 1826</li></ul><p></p><p>selon l'édition du Corsaire du 09 mai 1826 : au nouveau magasin que les libraires Leroux et Constant Chantpie, éditeurs de l'ouvrage, ont ouvert au Palais-Royal, galerie de bois, n. 263 et 264.</p><p>Cette information concorde avec celles de l'acte de mariage de mai 1826</p><p><br /></p><p><b>Les notices que l'on trouve sur internet sont partielles :</b></p><p>Celle d'A. Leroux sur le site de la <a href="https://data.bnf.fr/18019901/a__leroux/">BnF</a> qui ne liste que le tableau des députés de 1822: <span style="background-color: #f0f0f0; font-family: "Roboto Condensed"; font-size: 14px;">Attesté à Paris en 1822, se qualifiant de libraire, successeur du libraire François, et exerçant sans brevet. Associé à l'imprimeur-libraire parisien Jean-Baptiste Constant-Chantpie (1786-1858), il diffuse en juin 1826 un catalogue du fonds de François Béchet (1778-1844) sous la raison "A. Leroux et Constant-Chantpie", fonds qu'ils viennent d'acquérir en mars de la même année, mais dont la vente est finalement annulée (cf. catalogue imprimé BnF [8-Q10B-3042). Ne semble plus en activité après 1826</span></p><p>Celle de <a href="https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb15016803r">Béchet</a> mentionne le rachat du catalogue par Leroux et J.B. Constant-Chantpie</p><p>Celles de <a href="http://www.archivesnationales.culture.gouv.fr/chan/chan/pdf/sm/F18(I)14-16,18,22,25%20A-C.pdf">Chantpie</a> dont <a href="https://data.bnf.fr/14651084/jean-baptiste_constant-chantpie/">BnF</a> ne mentionne pas l'association Leroux</p><p><br /></p><p><br /></p><p>Remarque : sur le tableau des députés de 1822 figure le baron Delessert (avec une occurence en Dellessert), forcément concurrent de la belle-famille d'Alphonse JB Leroux; Wikipedia indique pour Benjamin Delessert : </p><p><span face="sans-serif" style="background-color: white; color: #202122; font-size: 14px;">En </span><span style="font-family: inherit;">1801</span><span face="sans-serif" style="background-color: white; color: #202122; font-size: 14px;">, il fonde à </span>Passy<span face="sans-serif" style="background-color: white; color: #202122; font-size: 14px;">, en contrebas de l'actuelle </span>rue Raynouard<span face="sans-serif" style="background-color: white; color: #202122; font-size: 14px;">, près du </span>parc de Passy<span face="sans-serif" style="background-color: white; color: #202122; font-size: 14px;">, une filature de coton qu’il transforme rapidement en raffinerie dédiée au </span><a class="mw-redirect" href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Sucre_de_canne" style="background: rgb(255, 255, 255); color: #3366cc; font-family: sans-serif; font-size: 14px; overflow-wrap: break-word; text-decoration-line: none;" title="Sucre de canne">sucre de canne</a><span face="sans-serif" style="background-color: white; color: #202122; font-size: 14px;"> importé d’</span><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/France_d%27outre-mer" style="background: rgb(255, 255, 255); color: #3366cc; font-family: sans-serif; font-size: 14px; overflow-wrap: break-word; text-decoration-line: none;" title="France d'outre-mer">Outre-mer</a><span face="sans-serif" style="background-color: white; color: #202122; font-size: 14px;">, et en </span><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/1812" style="background: rgb(255, 255, 255); color: #3366cc; font-family: sans-serif; font-size: 14px; overflow-wrap: break-word; text-decoration-line: none;" title="1812">1812</a><span face="sans-serif" style="background-color: white; color: #202122; font-size: 14px;"> (au 14 </span><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Avenue_du_Pr%C3%A9sident-Kennedy" style="background: rgb(255, 255, 255); color: #3366cc; font-family: sans-serif; font-size: 14px; overflow-wrap: break-word; text-decoration-line: none;" title="Avenue du Président-Kennedy">quai de Passy</a><span face="sans-serif" style="background-color: white; color: #202122; font-size: 14px;">) une fabrique de </span><a href="https://fr.wikipedia.org/wiki/Betterave_sucri%C3%A8re" style="background: rgb(255, 255, 255); color: #3366cc; font-family: sans-serif; font-size: 14px; overflow-wrap: break-word; text-decoration-line: none;" title="Betterave sucrière">sucre de betterave</a><span face="sans-serif" style="background-color: white; color: #202122; font-size: 14px;"> où il introduit des procédés nouveaux, puis bientôt une vingtaine d’autres établissements du même genre dans différentes régions françaises.</span></p><p><br /></p><p>Les images reproduites sont issues du site Gallica de la BnF, de Google Books et des archives nationales.</p><p>(nota L.G. Michaud, imprimeur du roi, rue des Bons-Enfans en <a href="https://books.google.fr/books?id=eD9hAAAAcAAJ&hl=fr&pg=PP9#v=onepage&q&f=false">1814</a>; <a href="http://histoire-bibliophilie.blogspot.com/2017/03/">Ladvocat</a>, libraire du duc de Chartres en <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9610773v.texteImage">1824</a>; chez <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k63731783/">François</a>, libraire galerie de bois 202 en 1822; à la librairie ancienne et moderne, galerie de bois 263-264 en <a href="https://books.google.fr/books?id=UhEwAAAAMAAJ&hl=fr&pg=PA3#v=onepage&q&f=false">1827</a>) projet <a href="https://francearchives.gouv.fr/fr/findingaid/7de3d9db48df28f69fca879496a83abb191fbda3">DEF</a>; brevet d'imprimeur libraire page <a href="https://cnum.cnam.fr/pgi/redir.php?onglet=c&ident=8XA229">46-47</a></p><p>faillite <a href="https://www.retronews.fr/journal/journal-du-commerce/24-avril-1823/1135/3437423/4">24 avril 1823</a> Belliard rue Croix des petits champs 54 <br /></p>Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-71769080025633237982023-12-29T06:21:00.000-08:002023-12-29T06:21:53.110-08:00Légion d'honneur retirée... en 1895<p> Hasard, en cherchant un patronyme dans la base Léonore des décorés de la légion d'honneur, une pièce inhabituelle d'un dossier attire mon œil :</p><p>"Une commission d'enquête à l'effet de juger la conduite de l'intéressé", ancien préfet, "inculpé de s'être marié avec une femme qui avait fait sa fortune dans l'exploitation de maisons de tolérance". La décision sera prise de lui retirer la légion d'honneur en 1895 soit 15 ans après sa nommination dans l'ordre.</p><p>Consultable en ligne : https://www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr/ui/notice/5547</p>Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-19039584371348108632023-11-21T09:22:00.000-08:002023-11-21T09:24:41.728-08:00Pélerinage 2023<p><span style="background-color: white; color: #222222; font-family: inherit;">Vingt-cinquième année de pratique de généalogie familiale. Je me devais de faire un pèlerinage sur la terre de mes ayeux, n'ayant eu que de simples échanges par courrier avec les mairies des communes du Nord à la fin des années 90. E</span>t n'ayant pas mis les pieds dans le Nord depuis des lustres.</p><p></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: inherit;"><span style="background-color: white; color: #222222;">Au programme recueillement et photographie des sépultures des grands-parents dans le Cambrésis ainsi que des s</span></span><span style="font-family: inherit;"><span style="background-color: white; color: #222222;">épultures des arrières-grands parents et des trisayeux (à Orchies).</span></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: inherit;"><br style="background-color: white; color: #222222;" /><span style="background-color: white; color: #222222;">Ô surprise, toutes les sépultures sont très bien entretenues.</span><br style="background-color: white; color: #222222;" /><span style="background-color: white; color: #222222;">A Orchies, je note une inscription en tout point semblable à celle du cimetière de Montmartre : Famille Leroux. Coïncidence ou tradition ?</span><br style="background-color: white; color: #222222;" /><span style="background-color: white; color: #222222;">Sur le côté de cette chapelle, deux lettres entrelacées, TL pour Taveau Leroux... C'est inattendu pour moi, et beau.</span><br style="background-color: white; color: #222222;" /><span style="background-color: white; color: #222222;">A l'intérieur, toutes les plaques mémorielles sont uniformes et semblent dater de la même époque. Certainement un souhait d'Alain ou de Robert.</span><br style="background-color: white; color: #222222;" /><span style="background-color: white; color: #222222;">En quittant les lieux, j'ai noté un détail et suis revenu sur mes pas pour prendre un cliché panoramique en clin d'œil.</span><br style="background-color: white; color: #222222;" /><br style="background-color: white; color: #222222;" /><span style="background-color: white; color: #222222;">J'ai pu coupler ce pèlerinage avec une visite avunculaire à Loos.</span><br style="background-color: white; color: #222222;" /><br style="background-color: white; color: #222222;" /><span style="background-color: white; color: #222222;">Ce poste est dédié à ma cousine généalogiste de cœur, Bernadette, qui s'est éteinte en juin 2023, peu avant mon pèlerinage et bien trop tôt.</span></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: inherit;"><span style="background-color: white; color: #222222;"><br /></span></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: inherit;"><span style="background-color: white; color: #222222;"><br /></span></span></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: inherit;"></span></p><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjwUR2asiX3i0nXFsOqLUvkQFR9B_1YMNo_g9XO22xQ9_0nPsSc90rYq-HbLS68aOcomA0jV4rqXi7NbaKfOQyuYr54tQL3eeIWctzaQaxn_i-GC3KmT5Gnz3VBI-QmkQhfr37WVInecDYI90mFXb-ufAKz5epVDKNeVt3hSElY-QummF953XTydaXDuXA/s1200/AWGT%20Masc.JPG" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="676" data-original-width="1200" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjwUR2asiX3i0nXFsOqLUvkQFR9B_1YMNo_g9XO22xQ9_0nPsSc90rYq-HbLS68aOcomA0jV4rqXi7NbaKfOQyuYr54tQL3eeIWctzaQaxn_i-GC3KmT5Gnz3VBI-QmkQhfr37WVInecDYI90mFXb-ufAKz5epVDKNeVt3hSElY-QummF953XTydaXDuXA/w400-h225/AWGT%20Masc.JPG" width="400" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Des noms familiers</td></tr></tbody></table><span style="font-family: inherit;"><br /><span style="background-color: white; color: #222222;"><br /></span></span><p></p><p style="text-align: left;"><span style="font-family: inherit;"></span></p><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjhqszgvN7ZLd0n1fnaLF_peWE2rvygWnx56v7bt48EI5B6rf9Fjn0LzyUesleSYw6cgeXVoSDjivLFK4ZOoOsXCYlr3WRdBquHzY26DRj4beos2jBvhnW0Xh-whrnow3fpnmMckt1l2E5sVm8O5Wb1xWQd37yavOurPXyRRkDkm0LfRuqDwhC-bzK21n4/s1200/AWGT%20LRX.JPG" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="676" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjhqszgvN7ZLd0n1fnaLF_peWE2rvygWnx56v7bt48EI5B6rf9Fjn0LzyUesleSYw6cgeXVoSDjivLFK4ZOoOsXCYlr3WRdBquHzY26DRj4beos2jBvhnW0Xh-whrnow3fpnmMckt1l2E5sVm8O5Wb1xWQd37yavOurPXyRRkDkm0LfRuqDwhC-bzK21n4/w225-h400/AWGT%20LRX.JPG" width="225" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Une tombe fleurie</td></tr></tbody></table><span style="font-family: inherit;"><br /><br /></span><p></p><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-family: inherit;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgON33d6Cpau-yytcUB1iNVPkeEaz9R0wmT8-lgbVMbwPSi2ADOnttcL2VJQ7-Hc6MwbOpAzGJoEy5R6Mt93ZT4bpcbg92GhMORfkwPmYwZoZdd4zzHKrXrHobpBOyyCbsPaEJ-n7f86l75_e6d9FsQtj-wgqtQ4fvqYwU0NJO-aiMyCp38yqRSOCAbPFw/s1200/AWGT%20LRX2.JPG" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="676" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgON33d6Cpau-yytcUB1iNVPkeEaz9R0wmT8-lgbVMbwPSi2ADOnttcL2VJQ7-Hc6MwbOpAzGJoEy5R6Mt93ZT4bpcbg92GhMORfkwPmYwZoZdd4zzHKrXrHobpBOyyCbsPaEJ-n7f86l75_e6d9FsQtj-wgqtQ4fvqYwU0NJO-aiMyCp38yqRSOCAbPFw/s320/AWGT%20LRX2.JPG" width="180" /></a></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-family: inherit;"><br /></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-family: inherit;"><br /></span></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><span style="font-family: inherit;"><br /></span></div><span style="font-family: inherit;"><br /></span><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiFa8c-IAr7BAZeHAjrJDe0iR4hVtP27gG1YOho3COGlpmhAgzdnJ_aN12qs34muCRO5BNdoFtjwU11Ls08eTs5xh1ofCwgv2G8V7_BFA0cascc8THN2dsE3qMGIM790FfojT_d5PyF-0JWuxI58MnJESq_ANFKCBMITuinl0Hvnl5fuXOduAAtF02olWY/s1200/AWGT%20CARREM.JPG" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="676" data-original-width="1200" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiFa8c-IAr7BAZeHAjrJDe0iR4hVtP27gG1YOho3COGlpmhAgzdnJ_aN12qs34muCRO5BNdoFtjwU11Ls08eTs5xh1ofCwgv2G8V7_BFA0cascc8THN2dsE3qMGIM790FfojT_d5PyF-0JWuxI58MnJESq_ANFKCBMITuinl0Hvnl5fuXOduAAtF02olWY/w640-h360/AWGT%20CARREM.JPG" width="640" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Le carré des sépultures militaires (cimetière d'Awoingt)<br /><br /><br /></td></tr></tbody></table><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvuY2tOSAQ-Z5emo14N_jn8koJcN1gQFMoFHOKmoofL79Qc4_x40hkfiELlvvaLn40aGZZ9YltMS5s_XjX_yP7e1cJRpSGif_XekB-3f_OMUhZnF0tSP5hWBWTj9yQrQn1MJ0lcDhQW85BFsULG5ByHBSwJ2-toBauy1EZrw3fyUd1mCbwsH9ccE35MCk/s1200/AWGT%20maison.JPG" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="676" data-original-width="1200" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjvuY2tOSAQ-Z5emo14N_jn8koJcN1gQFMoFHOKmoofL79Qc4_x40hkfiELlvvaLn40aGZZ9YltMS5s_XjX_yP7e1cJRpSGif_XekB-3f_OMUhZnF0tSP5hWBWTj9yQrQn1MJ0lcDhQW85BFsULG5ByHBSwJ2-toBauy1EZrw3fyUd1mCbwsH9ccE35MCk/w400-h225/AWGT%20maison.JPG" width="400" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Une maison de village - rue principale (Cambrésis)</td></tr></tbody></table><br /><span style="font-family: inherit;"><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQSnmftIClIacp2MMVX7TCqQzUyfffTKIgSBBqREoR2psHv0k3ntCclKzL6A6KymUU6qjgQS7kipnan1VnVqOwKyvAbJ9_in65KVFX-DBfXTjKy3ajZ4HhuKpnCOjKVonBn6ZhlTrId-zQsH7CQ5W7QIPN7DBluMuM2JGQOZn8YaKGqi9Nq-WtLi3_Ka0/s1200/AWGT%20Dem.JPG" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="676" data-original-width="1200" height="225" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjQSnmftIClIacp2MMVX7TCqQzUyfffTKIgSBBqREoR2psHv0k3ntCclKzL6A6KymUU6qjgQS7kipnan1VnVqOwKyvAbJ9_in65KVFX-DBfXTjKy3ajZ4HhuKpnCOjKVonBn6ZhlTrId-zQsH7CQ5W7QIPN7DBluMuM2JGQOZn8YaKGqi9Nq-WtLi3_Ka0/w400-h225/AWGT%20Dem.JPG" width="400" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">rue du docteur Calmette</td></tr></tbody></table><br /><span style="font-family: inherit;"><br /></span></div><div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEixw6jJukFLuct6_shKNgL4Eyx80zT602c53qQf7vt3Wv96co_x-lWmmhcpeH8OnGWPxDKAjkXel0043xndMHH3Z4HdOgXQpBui4eo95tA68mQGfJGVQ75Pg7FKYFIC7cFsTBakbmZU1g80Dw6tECfXFxGCebehd-kvo3pmJ1cpoWJ69M_SZAnMzXTOWiw/s1200/ORCH%20cim1.JPG" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="676" height="640" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEixw6jJukFLuct6_shKNgL4Eyx80zT602c53qQf7vt3Wv96co_x-lWmmhcpeH8OnGWPxDKAjkXel0043xndMHH3Z4HdOgXQpBui4eo95tA68mQGfJGVQ75Pg7FKYFIC7cFsTBakbmZU1g80Dw6tECfXFxGCebehd-kvo3pmJ1cpoWJ69M_SZAnMzXTOWiw/w360-h640/ORCH%20cim1.JPG" width="360" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Cimetière d'Orchies FAMILLE LEROUX</td></tr></tbody></table><span style="font-family: inherit;"><br /></span></div><div><span style="font-family: inherit;"><br /></span></div><div><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUxDlgxBc_E5Qgf4lvYNCNVVls4-KIcuv6Wm4FMXGCAfLx1-0dWn0q2l1cTylRhHAFTaZUczC2XhBrQJ0xW-ShYGNenhpkFUtTg4JmcFK1DA7kaWqAGAcvax1rWq6OiHutsfYZsYaWRKARqhB3HZItqj6z2-6Yrqap868L7OHb-uHNrClWiphPwzMgx6o/s1200/ORCH%20cim2.JPG" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="676" height="400" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiUxDlgxBc_E5Qgf4lvYNCNVVls4-KIcuv6Wm4FMXGCAfLx1-0dWn0q2l1cTylRhHAFTaZUczC2XhBrQJ0xW-ShYGNenhpkFUtTg4JmcFK1DA7kaWqAGAcvax1rWq6OiHutsfYZsYaWRKARqhB3HZItqj6z2-6Yrqap868L7OHb-uHNrClWiphPwzMgx6o/w225-h400/ORCH%20cim2.JPG" width="225" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">T et L entrelacé sur le côté droit<br /></td></tr></tbody></table><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjBtr6dqux6QteVjrN9UEiQqbFki_Peh0VvLJnoLWqHwO2_ROvKej8i_DTs9WsA69IqBdEmvhIgr5gByS_DrpV8PHRZ1JO3uGd1XJZzUtgwiRMyp0pz5JX1WfTzBW9fM-Ip44hDl2NVqW85Gi4h0JPWmRgZ6wn_PGkoEKunuey7Vn6wg7T4HyV8auHP2PY/s1200/ORCH%20cim3.JPG" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="676" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjBtr6dqux6QteVjrN9UEiQqbFki_Peh0VvLJnoLWqHwO2_ROvKej8i_DTs9WsA69IqBdEmvhIgr5gByS_DrpV8PHRZ1JO3uGd1XJZzUtgwiRMyp0pz5JX1WfTzBW9fM-Ip44hDl2NVqW85Gi4h0JPWmRgZ6wn_PGkoEKunuey7Vn6wg7T4HyV8auHP2PY/s320/ORCH%20cim3.JPG" width="180" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEissNr_ISJGFxDTr60hUUZa1kSD6vwohb8vwpUlv50nLQrn8AFQUYIAs_FExaaO99SDj-bPuirbQbsMwD1sVKH-ZGEZJvfKFBKfnqZhlK6LIUmnuWakOqExAkt3QfYCqfEHEcmAqN8ZD-2xfGOX2cLMQTRzwyQBRrzLP6IUsFyvtr5xa0alZOIiT1OHTLo/s640/DSC_0584.JPG" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="640" data-original-width="480" height="200" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEissNr_ISJGFxDTr60hUUZa1kSD6vwohb8vwpUlv50nLQrn8AFQUYIAs_FExaaO99SDj-bPuirbQbsMwD1sVKH-ZGEZJvfKFBKfnqZhlK6LIUmnuWakOqExAkt3QfYCqfEHEcmAqN8ZD-2xfGOX2cLMQTRzwyQBRrzLP6IUsFyvtr5xa0alZOIiT1OHTLo/w150-h200/DSC_0584.JPG" width="150" /></a></div><br /></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg6n521UTnGTpUvrxqnI2S_yM5fJGwn5IzXrWwcmQKnIp_yYUOi4xoaFGMKz6874pBQSZVvKqQsqx9V5vtgIzuZeghyphenhyphenKBW3DoByONkDzHtjvpi3sk64NtzQZXxuuG8lgZ2oTi98MKr-r0_vUwWtCmAOGtReoG2HRFGd_NwvK5YBsiGsYXRLCQRPLMun_cs/s1200/ORCH%20cim4.JPG" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="676" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg6n521UTnGTpUvrxqnI2S_yM5fJGwn5IzXrWwcmQKnIp_yYUOi4xoaFGMKz6874pBQSZVvKqQsqx9V5vtgIzuZeghyphenhyphenKBW3DoByONkDzHtjvpi3sk64NtzQZXxuuG8lgZ2oTi98MKr-r0_vUwWtCmAOGtReoG2HRFGd_NwvK5YBsiGsYXRLCQRPLMun_cs/s320/ORCH%20cim4.JPG" width="180" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi5NM26OFWZ3jFRZX5AVWjSyv5QRgzqucCDfPTZLdhBWAt5Dw_vQmooO9Z1LgN7Dc2WPFQiZP04bF0SnqH9VoRQ3g5yhJ8nMoTtdL6ZM2hDJSsiRJfqkNSEKX5dkt4RUN6etMAx9l1Emq4eA0U5leo_fuUyl9mUQj-H_bUW6sXaWrHxlD37ixlBiX1YT4Y/s1200/ORCH%20cim5.JPG" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="676" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi5NM26OFWZ3jFRZX5AVWjSyv5QRgzqucCDfPTZLdhBWAt5Dw_vQmooO9Z1LgN7Dc2WPFQiZP04bF0SnqH9VoRQ3g5yhJ8nMoTtdL6ZM2hDJSsiRJfqkNSEKX5dkt4RUN6etMAx9l1Emq4eA0U5leo_fuUyl9mUQj-H_bUW6sXaWrHxlD37ixlBiX1YT4Y/s320/ORCH%20cim5.JPG" width="180" /></a></div><br /><div><br /><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHKFY_3dd3NzdGCsJ1c0fYFjkOOAu1F_ciKEJrWQheJWJN5w2sMgrh7Wle5hG6ppAtDqsqdU5QefaI7DjcA1iv6O0tndd4kU4fZTB9m8bi1W-GxlV7xrYOWwf3oWMWwhVhoSYK7CbQ80LRRSZBtEAJN9kRAFZdR1NdeLTMsNsjVp1mSQJCptwC1joUJiQ/s1200/ORCH%20cim7.JPG" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="676" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiHKFY_3dd3NzdGCsJ1c0fYFjkOOAu1F_ciKEJrWQheJWJN5w2sMgrh7Wle5hG6ppAtDqsqdU5QefaI7DjcA1iv6O0tndd4kU4fZTB9m8bi1W-GxlV7xrYOWwf3oWMWwhVhoSYK7CbQ80LRRSZBtEAJN9kRAFZdR1NdeLTMsNsjVp1mSQJCptwC1joUJiQ/s320/ORCH%20cim7.JPG" width="180" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjDHRNQaV0l6sV2K3qbztmmHeK4gEcahrovsmenxLUzi3xmm3lvWOQpfdr7NeZEcp0kPO0kYrVwDNwuVOC66QEDZSI3obUCjNcL69odbvKK86NTwDgkvGH3-V-GA74aEoz8WPbV7-ADGeW19ZQ89Zvat8Ll9wpyrU9n377SWNHzsXKNS-QsSe9IdiNbTKY/s1200/ORCH%20cim6.JPG" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="676" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjDHRNQaV0l6sV2K3qbztmmHeK4gEcahrovsmenxLUzi3xmm3lvWOQpfdr7NeZEcp0kPO0kYrVwDNwuVOC66QEDZSI3obUCjNcL69odbvKK86NTwDgkvGH3-V-GA74aEoz8WPbV7-ADGeW19ZQ89Zvat8Ll9wpyrU9n377SWNHzsXKNS-QsSe9IdiNbTKY/s320/ORCH%20cim6.JPG" width="180" /></a></div></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br /></div><div><br /></div><br /><br /><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2t4Ud7RNHtvP1ZDFOmFc3dhWTuYtzMaLk_mGku031QHYT1ERCXYD8ObxKDIHzdRW2_0ptWoaHh1sAzd2VqwxLSQfDTeA3AT7TdYBIsf5T5ifx0bOkSMO29n-NNUfuDcczJTZZrplUsqw8cNfJyUeBFpJCx6Z8ig9Zo2O1RtloZWHLb96ORBP0sEr9yIs/s2067/ORCH%20cim8.JPG" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="1534" data-original-width="2067" height="237" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj2t4Ud7RNHtvP1ZDFOmFc3dhWTuYtzMaLk_mGku031QHYT1ERCXYD8ObxKDIHzdRW2_0ptWoaHh1sAzd2VqwxLSQfDTeA3AT7TdYBIsf5T5ifx0bOkSMO29n-NNUfuDcczJTZZrplUsqw8cNfJyUeBFpJCx6Z8ig9Zo2O1RtloZWHLb96ORBP0sEr9yIs/s320/ORCH%20cim8.JPG" width="320" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Palmes ONM</td></tr></tbody></table><br /><br /><span style="font-family: inherit;"><br /></span></div><br /><br /><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjsEE5eQXEkJUE9AZIISy6NJBiK05tV53J0e5P12EMTJdG3gTDlNTlyJLm-7dlte9NDBssWXdQU8R2qSMLE7EWg92c0-aIVFxvrmlRFqx44iV06jJe5LSqA9-9FgITCCoBw9k17z8gEJ4GByRMrrTX2T_LpHIlrYzYKDU1lx3dGWLCQGrodCJZJ3iRRaSg/s2019/_20231121_171831.JPG" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="2019" data-original-width="1347" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjsEE5eQXEkJUE9AZIISy6NJBiK05tV53J0e5P12EMTJdG3gTDlNTlyJLm-7dlte9NDBssWXdQU8R2qSMLE7EWg92c0-aIVFxvrmlRFqx44iV06jJe5LSqA9-9FgITCCoBw9k17z8gEJ4GByRMrrTX2T_LpHIlrYzYKDU1lx3dGWLCQGrodCJZJ3iRRaSg/s320/_20231121_171831.JPG" width="213" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Palmes Légion d'honneur</td></tr></tbody></table><br /><div><span style="font-family: inherit;"><br /></span><table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><tbody><tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKtAgU56Avjuiq8fDIcmpuWBP3vqDdqM7TbbwMeLghpecSep7tTRboaJmqt78UO2ZZIOQC8pmCcaSRjhkfSpJttv35fyIJItGvQlyKNgotVYJjFDVw0WqTIRYfj6uaTROnNl6Zu1uLdTzwxa25wJpBpGnZ8Jfr6KHBDcZUYu5E9uWvTmt2bE2zSoJXJK4/s4624/DSC_0593.JPG" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="2608" data-original-width="4624" height="360" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgKtAgU56Avjuiq8fDIcmpuWBP3vqDdqM7TbbwMeLghpecSep7tTRboaJmqt78UO2ZZIOQC8pmCcaSRjhkfSpJttv35fyIJItGvQlyKNgotVYJjFDVw0WqTIRYfj6uaTROnNl6Zu1uLdTzwxa25wJpBpGnZ8Jfr6KHBDcZUYu5E9uWvTmt2bE2zSoJXJK4/w640-h360/DSC_0593.JPG" width="640" /></a></td></tr><tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Leroux et Leroux</td></tr></tbody></table></div><br /><span style="background-color: white; color: #222222;"><br /></span></span><p></p>Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-66126932184629355762023-06-18T14:03:00.006-07:002023-06-18T14:03:54.525-07:00Totoche (suite)<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center; text-indent: 0.5in;">
<div style="text-align: left;">
suite de la <a href="https://genduffieleroux.blogspot.com/2020/01/totoche.html" target="_blank">première partie de Tochoche</a>.</div>
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<span style="text-align: start; text-indent: 0.5in;"><span style="text-align: start; text-indent: 0.5in;">LA FIÈVRE DES PRÉPARATIFS</span></span><span style="text-indent: 0.5in;"> (pages 43 à 47)</span></div>
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Un matin, je constatai dans les baraques une anormale agitation. Je m'enquis de droite et de gauche : j'appris qu'un ordre était arrivé de tenir prêts les tanks. On allait attaquer.</div>
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Sachant la gravité du mot, je fus étonné de la fièvre, presque joyeuse, qu'il avait provoquée.</div>
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Les officiers, plus spécialement chargés de la partie tactique, passaient des heures d'étude sur les plans directeurs, et les hommes, s'occupant des détails mécaniques, complétaient l'outillage des chars.</div>
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Cette opération est des plus délicates.</div>
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Comme il est impossible, en cas d'absence constatée d'une seringue à huile, d'en fabriquer une autre, on cherche à savoir, avant d'en référer en haut lieu, si le voisin n'en a pas deux.</div>
<div style="text-indent: 48px;">
Peine perdue : le voisin n'en a jamais qu'une.</div>
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Un cas de conscience se pose alors pour l'homme dépourvu de seringue. Il se demande à qui la seringue unique sera le plus utile. </div>
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N'est-ce pas à lui? Il résoud généralement la question par l'affirmative.<br />
Et si le voisin prétend reconnaître son bien dans l'outillage du premier char, le nouveau propriétaire n'a pas de peine à lui montrer sur l'outil revendiqué une marque spéciale « justement faite pour qu'on ne lui barbotte pas sa seringue » .<br />
Après quoi, le perdant se replie, mais, conservant des doutes, proclame à tout hasard que la « première batterie est une batterie de voleurs » .<br />
Quant au gagnant, il crie son indignation contre la deuxième batterie, qui voulait lui prendre sa seringue; entreprise peu étonnante dans « cette batterie de bandits » .<br />
Et quand l'heure de la soupe arrive, la batterie de bandits déjeune paisiblement avec la batterie de voleurs, comme le feraient les honnêtes gens les plus éprouvés.<br />
C'est que les consciences demeurent tranquilles : car l'État payera.<br />
Et chacun sait que s'il y a faute à voler son voisin, il est permis de voler l'État comme une simple compagnie d'assurances.<br />
L'outillage complété, l'activité générale se porta sur les inventions mécaniques. On découvrit en huit jours plus de dispositifs nouveaux que dans les deux mois précédents. Les hommes s'épiaient de char à char, en quête de nouveautés sensationnelles, et si quelque officier suggérait à son mécanicien d'adopter un système vu sur un autre char, le mécanicien souriait un peu dédaigneux :<br />
— Pensez-vous, mon lieutenant? C'est moi qui y ai montré !<br />
Puis il allait, en sifflotant, voir un peu ce qu'avait fait celui « à qui il y avait montré » .<br />
Dans ces derniers jours se révélèrent différents modes de signalisation. Il s'agissait de permettre aux commandants de groupe de causer avec leurs commandants de batterie, qui devaient à leur tour pouvoir communiquer avec leurs chefs de char.<br />
Indéniable difficulté. Il faut, pour transmettre un ordre, se faire entendre ou se faire voir, programme difficile à réaliser dans une arme que caractérisent le bruit et l'obscurité.<br />
Plusieurs systèmes furent proposés, y compris une boule d'argent qui se balançait curieusement sur une canne à pêche, et dont l'imprévu ne fut pas suffisant à enlever les votes.<br />
On choisit une méthode de fanions. On hissait des couleurs, comme dans la marine, et j'aimai de prime abord la gaîté de ces pavillons. </div>
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Lorsqu'il n'y eut plus grand'chose à inventer, on découvrit qu'il ne restait à bord d'un char que la place nécessaire à loger deux hommes. Cet obstacle, d'ailleurs, n'était pas sérieux : deux places doivent suffire à six hommes en vertu de la loi d'indéfinie compressibilité de la matière humaine.<br />
L'heure vint enfin, dans chaque groupe, de la présentation du fanion.<br />
Les hommes, qui n'excellaient pas tous dans les classes à pied, furent entraînés pendant plusieurs jours. Tous ceux qui connaissent la vie militaire savent combien il est difficile à une douzaine d'hommes, prenant un virage sur un rang, de rester alignés. Sur la douzaine, il y a l'homme de base, qui suit aveuglément son chef; il y a de bons soldats qui devraient se régler sur lui, mais qui, soucieux d'avoir la tête haute, fixent un objectif distant de deux à trois kilomètres, et sont peu sensibles aux flottements de leur voisinage immédiat. Il y a enfin les esprits forts, qui « sont venus pour f... sur les Boches, et pas pour faire le Jacques » .<br />
L'ensemble n'en finit pas moins par être excellent.<br />
La partie musicale n'avait pas été négligée. Des chœurs très satisfaisants proclamèrent pendant plusieurs jours, à tous les échos, l'indulgence de la Madelon, le tourment des mères quand leurs filles ont seize ans, et leur désir de voir flotter le plus haut possible un petit drapeau.<br />
Si blasé que je fusse, j'eus une émotion vraie à voir la belle tenue de nos appareils en bataille. Et lorsque après l'allocution, courte et forte, du commandant de groupe, les hommes défilèrent en chantant, — faute de cuivres et de grosse caisse, — je fus touché de leur crânerie.<br />
Elle répondait bien à l'appel fait à tous les cœurs avant la grande aventure, et je sentis que mes maîtres m'avaient conquis. Le sort en était jeté : je n'ergoterais pas, pour éviter le feu, sur les droits du prisonnier, et je n'exciperais pas des conventions de La Haye. Étais-je d'ailleurs un prisonnier? Déjà, je ne le croyais plus. J'étais maintenant un chien libre, et j'allais combattre avec des hommes libres.<br />
Nous pouvions partir.<br />
J'étais prêt.<br />
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<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center; text-indent: 0.5in;">
<span style="text-align: start; text-indent: 0.5in;">EN ROUTE (pages 48 à 50)</span></div>
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Je revois le matin de printemps, d'un printemps froid sans feuilles encore, où les tanks, quittèrent les hangars en colonne.<br />
On serrait des mains, on photographiait : il fallait se hâter de garder un souvenir de tous les visages.<br />
L'équipage de « Boîte de Singe <span style="text-indent: 0.5in;">» </span><span style="text-indent: 0.5in;">défila devant l'objectif : j'étais crânement assis sur le toit, souriant de ma gueule ouverte et de ma langue pendante, à côté de Gorgit.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Notre commandant veillait à l'embarquement. Il avait toujours la figure vive et claire que je lui connaissais.</span><span style="text-indent: 0.5in;">Un petit pli, seulement, pinçant la bouche, révélait le souci qu'il pouvait avoir avant le grand essai.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Les chars s'embarquèrent, sans incident, sur leur train spécial. Et nous partîmes avec la lenteur qui caractérise un train militaire. C'était bien un voyage au front, analogue à ceux que j'avais connus : le départ mouvementé, d'apparence joyeuse ; les chansons reprises en chœur, suivies</span><span style="text-indent: 0.5in;"> d'un grand désœuvrement; le repas froid qui salit les mains et les compartiments; les stations où l'on s'inquiète des bidons à remplir, de l'heure, du chemin parcouru ; puis, doucement, la nuit triste où le train s'enfonce de sa marche lente, cahotant la fatigue des hommes levés trop tôt, qui se serrent et se cou-vrent, souffrant déjà du froid, tandis qu'un lumignon, tiré d'une musette, prolonge l'agonie du soir sur leurs traits salis, silencieux et graves.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Quand je me réveillai, nous étions à la gare de débarquement.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">La file immobile des lourdes saucisses traçait au-dessus de nous les courbes de la ligne où, dans la terre, on combattait.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">C'était le front, tel qu'il est partout. Les gares qui s'étalent, monotones et larges, les gares bombardées où l'on s'attarde peu ; le paysage lugubre où tout est dévasté, où la terre, sans cesse foulée, se meurt d'une pelade immense; les collines sans gaîté parce que rien n'y fleurit plus, parce qu'elles ont cessé d'être des collines pour n'être plus que des crêtes; les routes défoncées dont les amas de boue masquent les fondrières où les chariots s'enlisent, ajoutant à l'encombrement d'un défilé sans fin; les convois tirés par des chevaux hirsutes, en sueur, qui p</span>einent, qui casser les traits; les hommes au visage morne, dont les yeux ne transmettent plus rien, ni joie ni douleur, parce qu'indifférents au monde extérieur, ils ne vivent plus qu'au dedans d'eux-mêmes.<br />
Et sur tout cela, l'ennui, l'immense ennui des paysages où rien ne distrait les yeux, où rien ne les repose, où cependant le continuel grondement des canons lointains avertit l'homme que cette tristesse n'est qu'un prélude, que la souffrance est là-bas, tout entière, qu'elle y règne sans trêve ni répit, et que cette terre maudite semble encore un asile, un Paradis terrestre à ceux qui lui reviennent... </div>
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<span style="text-align: start; text-indent: 0.5in;"><br class="Apple-interchange-newline" />AU </span><span style="text-align: start; text-indent: 0.5in;">« </span><span style="text-indent: 0.5in;">FRONT </span><span style="text-align: start; text-indent: 0.5in;">» (pages 51 à 57)</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: 0.5in;">
<br />
Le débarquement commença. Il se fit sans heurts.<br />
Les groupes se formèrent en colonne, et s'avancèrent vers le village que desservait la gare.<br />
Un tel cortège, inédit à l'époque, devait provoquer dans les rues d'un village une légitime curiosité. Fantassins, artilleurs, civils nous faisaient la haie, et j'avais sauté sur le toit du char, pour prendre ma part du succès que nous rencontrions.<br />
Si l'admiration, pensais-je, peut encore soulever le cœur de ces braves gens, n'y ai-je pas droit plus que tout autre, moi qui reviens au feu, chien, prisonnier, et volontaire, trois titres suffisants à révéler la grandeur de mon caractère?<br />
J'eus une petite déception.<br />
Un homme de mon équipage avait juché, sur l'avant du tank, une poupée ridicule, une négresse habillée, très légèrement d'ailleurs, de couleurs criardes, et tenant à la main une ombrelle déployée.<br />
Or les spectateurs, sans conteste, n'avaient d'yeux que pour elle. Je m'en serais vexé, si ma vieille expérience ne m'avait conduit à philosopher.<br />
Je réfléchis qu'au fond, on ne l'admirait pas, mais qu'on aimait le symbole qu'inconsciemment elle représentait. N'était-elle pas, juchée à l'avant du char, sous la seule protection de sa fragile ombrelle, un défi de l'insouciance aux dangers du combat?<br />
Ne lui devais-je pas aussi de voir ce qu'il y avait de pur et de familial dans ce public de soldats qui souriaient de bon cœur, peut-être en évoquant la douceur d'une chambre où des mains maladroites et potelées d'enfants se seraient tant amusées d'une si jolie négresse?<br />
J'aurais médité plus longuement encore si « Boîte de Singe <span style="text-indent: 0.5in;">»</span> , d'un arrêt brusque, ne m'avait lancé sur le sol.<br />
Une fois déposé, je feignis d'être descendu pour me dégourdir les pattes, ce qui me permit d'écouter les propos de la foule.<br />
Nos appareils n'étonnaient pas outre mesure les fantassins. Ils ne faisaient pas assez <span style="text-indent: 0.5in;">« maous </span><span style="text-indent: 0.5in;">»</span><span style="text-indent: 0.5in;"> .</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">J'entendis un colonial affirmer à son voisin que ces machines-là ne serviraient à rien, tandis que</span> l'autre admettait qu'il n'en arriverait qu'une sur cinq, mais que celle-là ferait du travail.<br />
Je me raccrochai, d'instinct, à l'idée que j'aurais peut-être la cinquième chance.<br />
Enfin, la colonne s'arrêta dans un vallonnement, les chars se disséminèrent, se masquèrent contre les avions, et nous reçûmes la visite d'un essaim d'infirmières, cantonnées dans des baraques voisines.<br />
Elles ne ressemblaient pas beaucoup aux jolies dames de la Croix-Rouge que j'avais admirées, préparant gracieusement le tilleul d'un gentil blessé, sur les gravures du camp. Les lèvres de nos visiteuses n'étaient pas aussi rouges, mais leurs nez l'étaient davantage, car il faisait très froid.<br />
Elles ne portaient ni bas de soie, ni jupes ultra-courtes, ni souliers de satin découverts.<br />
Elles avaient de fortes bottines qui, je l'avoue, s'adaptaient mieux à la boue de l'endroit que de minces souliers de bal.<br />
Et parce que je ne comprends rien, sans doute, aux choses de l'élégance, je finis par trouver que c'était mieux ainsi.<br />
Des photographies rapprochèrent les infirmières, les hommes et les tanks, puis les canonniers s'égrenèrent à la recherche d'un introuvable pinard, et des officiers s'en allèrent en reconnaissance.<br />
Nous devions partir à la nuit.<br />
J'avais donc le temps de descendre <span style="text-indent: 0.5in;">« en ville </span><span style="text-indent: 0.5in;">» </span><span style="text-indent: 0.5in;">pour tâter l'opinion. J'y courus sans demander l'avis de Gorgit.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Je ne tardai pas à rencontrer une des plus jolies chiennes qu'il m'eût été donné d'approcher dans mon existence.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Après les politesses d'usage, qu'elle subit de bonne grâce, malgré ma tenue défectueuse, elle me demanda fort aimablement </span><span style="text-indent: 0.5in;">« si j'étais dans les tanks</span><span style="text-indent: 0.5in;"> » .</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Comme je lui répondais affirmativement, elle parut surprise.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">— Quelle drôle d'idée?... Où étiez-vous donc auparavant?</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Je crus devoir lui cacher ma situation singulière, et me contentai de répondre, sans plus préciser :</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">— Dans l'infanterie.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Je vis que cette réponse, dont j'augurai un certain effet, n'en produisait guère : à peine une petite moue, légèrement supérieure. Et je sentis qu'elle avait bien des choses à me raconter, mais qu'elle cherchait à se mettre à ma portée. Je risquai timidement :</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">— </span><span style="text-indent: 0.5in;">Et vous? :</span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: left; text-indent: 0.5in;"><span style="text-indent: 0.5in;">— J'appartiens à la D. D. S. H. D. P.</span></div><div class="MsoNormal" style="text-align: left; text-indent: 0.5in;">J'ignorais ce service, je l'ignore toujours (1).</div></div>
<div>
Mais je devinai qu'il avait une importance qui me dépassait.</div>
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Et soudain, se déboutonnant (si l'expression peut convenir à une chienne), elle continua :</div>
<div>
— N'allez pas croire que j'aie à votre encontre la moindre prévention. J'ai bien au contraire la plus grande estime pour votre bravoure, et je reconnais que, sans la valeur des exécutants, le travail des Services n'aboutirait pas.</div>
<div>
« Toutefois laissez-moi vous le dire, car je ne me trompe pas à la distinction de votre physionomie, je crois funeste à l'avenir de la race d'exposer son élite à la destruction, quand la direction de la guerre nécessite tant d'intelligences, qu'il importe au surplus de retrouver plus tard pour les travaux de la paix.</div>
<div>
— Le difficile, hasardai-je, est de connaître ceux qui doivent être appelés à composer l'élite qu'il faut mettre à l'abri des coups. Chacun n'aura-t-il pas une tendance naturelle à penser que sa perte est la plus irréparable qui puisse frapper l'État?</div>
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<span style="font-size: x-small;">(1) Je le connais maintenant. Ma gracieuse interlocutrice, ayant lu ces Mémoires, m'a envoyé la traduction de ces initiales : «Direction Des Services Hors De Portée. » (Note de Totoche.) </span></div>
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<div style="text-align: left;">— Il se peut bien. Mais son classement dans l'élite ne sera pas son œuvre exclusive. Il posera candidature auprès de personnages assez haut placés pour décider d'après sa fortune, ses relations, ses influences ou son avenir politique si l'on peut prononcer en sa faveur le <i>dignus es intrare</i>.</div>
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« Le seuil franchi, l'homme d'élite jouera dans la guerre un rôle éminent que, faute de recul, les combattants n'apprécient ni avec justice, ni avec exactitude.</div>
<div>
« Je les en excuse.</div>
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« Les homards occupés à bouillir à l'américaine perdent le sang-froid et distinguent mal le mécanisme de l'affaire où ils sont engagés. Le chef au contraire a la vue d'ensemble du déjeuner où ils auront leur place et leur rang.</div>
<div>
Voilà ce qu'il faudrait leur faire comprendre. C'est difficile : mais vous devriez vous appliquer à cette bienfaisante propagande. »</div>
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Je me sentis fort ébranlé par ce discours auquel j'apercevais confusément des objections. Je n'eus pas le temps de les dégager. Un coup de sifflet fit dresser les oreilles à ma jolie interlocutrice.</div>
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— Excusez-moi, dit-elle. Le Service me réclame. </div>
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Je restai seul, perplexe, quelques instants. Mais comprenant bien vite qu'il fallait secouer mes perplexités, j'allai déposer une pierre aux pieds d'un soldat, lui faisant entendre qu'il eût à la lancer à quelque distance. Courir en jappant après une pierre, la rapporter et recommencer : il n'est pas de meilleur remède aux tentations de philosopher. </div>
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NOUS ROULONS (pages 58 à 63)</div><div><br /></div>
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Le soir venu, on se mit en route pour aller prendre des emplacements plus rapprochés du champ de bataille. Je tirai bon augure du miracle qui se produisit : je veux dire que tous les hommes, si dispersés dans l'après-midi, revinrent à l'heure voulue pour le départ.</div><div>Où allions-nous? Quelle distance avions-nous à parcourir? Serions-nous en vue de l'ennemi? Y avait-il le risque d'être bombardés?</div><div>Tous l'ignoraient autour de moi. Les plus renseignés parlaient d'une étape de dix kilomètres qui devait aboutir au bord d'une rivière.</div><div>Ce serait long, très long, car nous aurions contre nous la nuit, l'encombrement et l'ignorance de l'itinéraire. J'observais les précautions prises et notamment l'attente de l'obscurité pour sortir du ravin qui nous abritait.</div><div>Et je vis, dans le crépuscule, se former une colonne immense, comme un gigantesque serpent dont les anneaux, coupés, se ressouderaient pour refaire un tout. Devant nous s'offrait la pente du plateau que nous avions à franchir. Des soldats, échelonnés sur la côte, nous regardaient passer sans curiosité : plus de deux années de guerre pesaient sur eux et les défendaient de l'étonnement.</div><div>Nous avions débarqué, le matin, à la limite de la zone des beaux uniformes, nous avions franchi la zone (les derniers civils, et nous quittâmes, sur le plateau, la zone des soldats au repos. Ce n'était pas encore le <i>no man's land,</i> mais c'était déjà le <i>no woman's land</i>.</div><div>Ne croyez pas que ce soit, de ma part, pure fantaisie qu'une telle délimitation : l'homme qui monte aux tranchées l'observe sans rien dire.</div><div>La nuit vint, absorbant les panaches légers de nos fumées blanches, et le froid nous saisit.</div><div>Les tanks roulaient lentement, soucieux de garder leurs distances, par crainte des surprises de l'obscurité.</div><div>Devant chaque appareil, un homme de l'équipage marchait dans la boue, étouffant rapidement la lueur d'une lampe électrique, un instant braquée sur une fondrière plus noire que les autres.</div><div>Nous allions à travers le bled, suivant un tracé jalonné rapidement dans l'agrès-midi.</div><div>Derrière Gorgit, qui conduisait, j'essayais de voir. Je ne voyais rien que, par intermittences, le guide qui pataugeait dans le sol délayé. Je sautai en l'air la première fois qu'il frappa à grands coups de bâton sur le blindage : c'était pour nous avertir qu'il voulait parler. Il se hissa et hurla un avis qu'étouffa presque le bruit du moteur.</div><div>Gorgit, les yeux collés au regard, épiait les mouvements de cet homme, sans lequel il aurait été aveugle, et je devinais la fatigue de cette perpétuelle tension.</div><div>Dans « Boîte de Singe » les hommes avaient fermé les panneaux, pour avoir chaud, et le char les berçait, indifférents à la conduite, résignés à l'obscurité, heureux de ce bien-être qu'on éprouve souvent lorsqu'on n'a plus qu'à laisser faire, dans l'abdication de toute volonté. Ils tiraient de leurs sacs ce qu'ils pouvaient trouver de vêtements pour se garder du froid qui les prenait, immobiles et mal accroupis.</div><div>De temps à autre, une lueur rapide éclairait une scène d'intérieur : des vivres enveloppés d'un journal sortaient d'une musette; on cassait la croûte, éternelle et seule distraction des soldats en campagne.</div><div>Et la lueur s'allumait encore pour un homme à chercher, parmi l'encombrement du bagage, le litre qu'un autre avait déjà bu, grâce à la nuit complice, ‘‘ parce qu'il croyait que c'était son bidon ''.</div><div>Nous roulions, et les heures s'ajoutaient aux heures. Gorgit sortait parfois pour se renseigner. Était-on loin? Combien de kilomètres?</div><div>Maintenant de grandes traînées rouges flamboyaient dans le ciel, se rejoignaient, se chevauchaient, couraient le long de l'horizon. Des fusées s'épanouissaient, d'un mouvement sec, et, chercheuses inquiètes, interrogeaient la nuit. Gorgit se retourna brusquement, impatienté, criant à l'équipage :</div><div>— Dites-leur donc d'éteindre leurs phares, là derrière. Je ne vois plus rien.</div><div>La porte s'ouvrit, puis un homme, en rentrant, cria : </div><div>— Y a pas de phares, mon lieutenant. C'est les obus, là-bas...</div><div>La continuelle intermittence de la lumière et de l'obscurité brouillait ce qui nous restait de vue, et voilà que la neige s'était mise à tomber. Une bourrasque glacée soufflait sur nous, s'infiltrait en eau par les fentes. Dans leur uniforme blancheur, la piste, les champs et le ciel se confondaient. Nous roulions.</div><div>Des chars déjà étaient en panne que nous dépassions en les frôlant. La colonnere souvent disparaissait. On emballait pour rejoindre, dans la crainte continue de perdre la piste.</div><div>— Halte!</div><div>Sommes-nous au but? Pas encore. Une charrette de ravitaillement, devant s'était embourbée et une roue était prise, jusqu'à l'essieu, dans une fondrière.</div><div>Un officier du groupe, arrachant le fouet des mains du conducteur, fouaillait les pattes des chevaux. L'un ruait, l'autre ne bougeait pas, et la voiture s'inclinait sur la roue enfoncée.</div><div>Le conducteur haussait les épaules :</div><div>— Je vous l'avais bien dit : je les connais, mes chevaux! Laissez-moi donc faire. Suffit de les prendre en douce.</div><div>Il les prit comme il avait dit, les hommes poussèrent aux roues. Je les encourageai de quelques aboiements et l'on eut raison de l'obstacle.</div><div>La nuit cependant s'allégeait. La neige ne tombait plus. Lentement l'aube apparut.</div><div>Une aube crasseuse et triste, suffisante tout de même pour sonner à tous le retour à la vie. Les hommes s'étiraient, montraient aux portes leurs figures noircies, fatiguées, leurs yeux sales aux paupières gonflées, leurs cheveux en broussaille, et les mouchoirs douteux qu'ils avaient, la nuit, serrés sur leurs cous. Je sautai de nouveau du tank, et je m'ébrouai sur le sol, heureux de me dégourdir.</div><div>Quelque chose de vague remua mollement devant moi.</div><div>C'était, à un tournant de la route, un cheval blanc qu'avait abandonné le ravitaillement, et qui, contre un tas de cailloux, la boue collant les poils du ventre, n'ayant pas eu la force de choisir un coin d'herbe pour s'y'étendre, achevait son agonie.</div><div>Il se souleva pesamment au bruit que faisaient nos chenilles. Puis il laissa retomber sa tête, un œil vitreux tourné vers le ciel.</div><div>Ah! nous autres, les bêtes, ne sommes pas épargnées dans les querelles des hommes!</div><div>Cette fois nous approchions. Les chars s'espaçaient le long d'une rivière, se cachaient de leur mieux sous des branches, et recouraient à toutes les ressources du camouflage. Ce travail terminé, les hommes, qui depuis des heures ne vivaient que pour ce repos, s'enroulèrent dans leurs couvertures et leurs toiles de tente.</div><div>Le jour venait maintenant : ils pouvaient comnencer leur nuit. </div></div>
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Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-2862794151246183472021-07-18T06:14:00.008-07:002021-07-18T06:21:07.214-07:00CHENU - Ces petits bonheurs du net<p>Une nouvelle page sur internet vient nous renseigner sur Charles Maurice Chenu. Enfin...!<br /></p><p>Remercions
le centenaire de la grande guerre d'avoir permis de dépoussiérer les archives et de
nous offrir cette biographie détaillée du "soldat" Chenu :</p><p><a href="http://memoire.avocatparis.org/avocats/autres-avocats-combattants/434-chenu-charles-maurice-1886-1963">http://memoire.avocatparis.org/avocats/autres-avocats-combattants/434-chenu-charles-maurice-1886-1963<br /></a></p><p>A noter : 501° R.A.S. signifie 501° régiment d'artillerie spéciale (... les chars)</p><p>retranscription de la notice en fin d'article :</p><p><i><b>Légion d'honneur</b></i></p><p><i>Chenu Charles Maurice</i></p><p><i>S. Lieutt au 501E R.A.S.</i></p><p><i>Brillant officier, came et réfléchi, très estimé de tous et aimé de ses hommes. A l'attaque le 18 juillet 1918 a fait preuve des plus belles qualités de chef et de soldat, tant par les habiles dispositions qu'il a prises que par le véritable mépris du danger dont il fait preuve, en conduisant du dehors de son char, pour mieux en assurer le commandement, sa batterie avec laquelle il a vaincu la résistance opiniâtre de l'ennemi et atteint son objectif.</i></p><p><i>Deux blessures, deux citations.</i></p><p>---- <br /></p><p><i><b>Citation à l'ordre de l'armée</b></i></p><p><i>Chenu Charles Maurice</i></p><p><i> Mis à la disposition d'une division américaine pour une opération offensive a fait preuve sous les ordres du Capitaine Mosureau, Commandant de groupe des plus belles qualités d'allant et de courage. A atteint tous ses objectifs, détruisant de nombreuses mitrailleuses et permettant à l'infanterie une progression rapide.</i></p><p>---- <br /></p><p><i><b>Citation à l'ordre de la division</b><br /></i></p><p><i>Chenu Maurice Charles</i></p><p><i>Caporal au 226° d'infanterie</i></p><p><i>Caporal chef de pièce.</i></p><p><i>"Déjà blessé le 25 août 1914, comme agent de liaison, a contribué par son courage et son sang-froid au succès d'une attaque difficile sur une tranchée ennemie; a été à nouveau blessé" <br /></i></p><p><i> Mis
à la disposition d'une division américaine pour une opération offensive
a fait preuve sous les ordres du Capitaine Mosureau, Commandant de
groupe des plus belles qualités d'allant et de courage. A atteint tous
ses objectifs, détruisant de nombreuses mitrailleuses et permettant à
l'infanterie une progression rapide.</i></p><p> </p><p>Plus tristement, la liste médicale des séquelles de ses blessures figure sur son dossier militaire :</p><p>Charles Maurice Chenu (3/4/1886 - archives de Paris)
<a href="http://archives.paris.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo2OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMTktMDktMDQiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6MTc7czo0OiJyZWYyIjtpOjk1OTQ3MDtzOjE2OiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sIjtiOjE7czoyMToidmlzaW9ubmV1c2VfaHRtbF9tb2RlIjtzOjQ6InByb2QiO30=#uielem_move=0%2C0&uielem_rotate=F&uielem_islocked=0&uielem_zoom=33" target="_blank">ici</a><br />
</p><p><br /></p><p> </p><p>Les Chenu sont vraisemblablement à l'honneur sur le premier site puisque qu'indirectement, l'article suivant rappelle la première affaire Caillaux, traitée par le bâtonnier Chenu :</p><p><a href="http://memoire.avocatparis.org/focus/428-l-affaire-joseph-caillaux">http://memoire.avocatparis.org/focus/428-l-affaire-joseph-caillaux</a><br /><br /></p>Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-11878417164727126692021-02-09T16:40:00.001-08:002023-06-19T14:32:56.513-07:00TURENNE : François Roux & François Roux, puissance 3<p> Voici deux actes de baptême de Turenne qui commencent comme des histoires drôles.</p><p><br /></p><p><b>François Roux a en juin 1739 un fils François Roux dont le parrain est François Roux</b><i>:</i></p><p><i>Transcription de l'acte de baptême (vue 474/670) :</i></p><p><i>Bab Turenne</i></p><p><i>Le vingt quatre juin de l'année 1739 naquit et fut babtisé</i></p><p><i><u>François Roux</u> fils naturel et légitime de Francois roux</i></p><p><i>Me menusier et de Louise Clausade fut parrain Francois</i></p><p><i>Roux aussy menuisier et maraine Marie Roux qui n a</i></p><p><i>signé pour ne scavoir</i></p><p>Signé<i> Larode Curé</i></p><p><br /></p><p><br /></p><p><b>En janvier 1748, François Roux a un fils François Roux dont le parrain est François Roux:</b></p><p>Transcription de l'acte de baptême (vue 19/307) </p><p><i>Bapme La ville</i></p><p><i>Le trois janvier mil sept cent quarante huit est né</i></p><p><i>Et a été baptisé le même jour dans l'église paroissiale de la </i></p><p><i>présente ville <u>Francois Roux fils</u> legitime de Francois Roux</i></p><p><i>garde du chateau de Turenne, et de Magdelaine fouillade parrain</i></p><p><i>a été Francois Roux Me menusier oncle du baptisé et mareine</i></p><p><i>Catherine Delpeyrou habitants de la présente ville le parein a </i></p><p><i>signé et non la maraine pour ne savoir de ce requise par moy</i></p><p>Signé<span style="font-style: italic;"> Leroux<span> Reyjal vicaire de Turenne</span></span></p><p><span><span><br /></span></span></p><p><span><span>Par ailleus, le dépouillement des actes Roux de Turenne permet de constater que les deux frères François Roux (fils de Jean Roux et Pascale Pérical) ont chacun un fils qu'ils nomment François et prennent leur frère pour parrain.</span></span></p>Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-19744053716182330812020-12-28T16:50:00.101-08:002023-06-20T07:03:50.502-07:00LEROUX XVIII à Turenne (19-Corrèze) (EDIT 2023)<p>Nous étions certainement partis sur une fausse piste en cherchant les origines des LEROUX entre Turenne et Saint Sulpice.</p><p><span style="color: red;">Cet article fait l'objet d'une mise à jour en 2023 pour compléter la branche ROUX de Cazillac (46-LOT) qui pour le moment n'est pas raccrochée à la branche ROUX/LE ROUX de Turenne (vue 168). Correction TARAVAN et non TAVARAN.</span></p><p>C'est finalement l'analyse des 500 premières pages du registre paroissial de Turenne (1721-1739) qui permet d'inventorier plusieurs actes de la branche Leroux, dont l'acte de baptême de Charles Godefroy Leroux:</p><p><br /></p><p><i>L'an de grâce mil sept cent vingt deux ce le vingt quatrième jour du</i></p><p><i>moys d octobre naquit Charles Godefroy (==Christophe==) Le Roux fils</i></p><p><i>naturel et légitime de Jean Le Roux Me menuisier et de Paschale</i></p><p><i>de Pericale et fut babtisé le vingt sept fut parrain xxx</i></p><p><i>et puissant prince Monseigneur Charles Godefroy (==Christophe==) de </i></p><p><i>de La Tour d auvergne Conte d auvergne pour lequel a</i></p><p><i>porté messire Jean de St Viance chevalier seigneur de</i></p><p><i>prumeges? gouverneur de la viconté et maraine dame Françoise delagorce de </i></p><p><i>la Peyrouse furent prêts messire Antoine du Patian chevalier</i></p><p><i>seigneur viconte du Sa(l)liant de Lagarde et d(')ussac et</i></p><p><i>noble Louis de Sarginet Escuyer Sr de Larsac capitaine</i></p><p><i>du château de Turenne</i></p><p><i>signé</i></p><p><i>Françoise de la force marraine</i></p><p><i>Le Saillant</i></p><p><i>St Viance</i></p><p><i>Crozat<span> Larode Curé</span></i></p><div><br /><br /><br /><br />tentative de consolidation de l'ascendance des LEROUX du XVIIIième siècle :<br /><br /><br /></div><div><br /><u style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial; font-size: 9pt;">1<sup>e</sup> génération</span></u><br /><br /><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span> <b>Jean LEROUX</b> (vers 1670, +1730 à Turenne) ép. <b>Pascale PERICALE</b> (consentement de bénédiction nuptiale de février 1702 à Turenne). Lui, est maître menuisier (et, s'il n'y a pas d'homonyme (?un fils jean), il est également garde de son altesse en 1727 selon l'acte de baptême de sa petite-fille supposée). Elle, est originaire de Brive. Ils résident en 1718 au château de Turenne (selon acte de baptême de leur fille Lucie)<br /><br /><u style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial; font-size: 9pt;">2<sup>e</sup> génération</span></u><br /><div style="text-align: justify; text-indent: -24px;"><span style="font-family: arial;"><span style="font-size: 12px;">E</span></span></div>Enfants de LEROUX x PERICALE <br /><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"><br /></span></div><div><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"><br /></span></div><div><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II A -</span> <span style="caret-color: rgb(255, 0, 0); color: red;">supposé (filiation indirecte par mariage de sa sœur Marie) </span><b>François LE ROUX</b> épouse <b>Louyse CLAUSADE</b> en février 1727 (acte de mariage <span style="color: red;">sans indication de filiation</span> mais présence de Jean Le Roux qui ne sait signer), <span style="color: #2b00fe;">sur l'acte de naissance de son aînée en 1727, François LE ROUX est qualifié de Me menuisier et garde de son altesse; en 1749 au mariage de sa fille ainsi qu'en 1787 au décès de son épouse, il est Me architecte</span>; <span style="color: #2b00fe;">(elle décédée en octobre 1787 veuve à environ 90 ans (vue 77/126), lui décédé avant 1767</span>) le couple a au moins :</div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;">- Louyse née en novembre 1727 (vue 168/670) (Parrain Jean Le Roux <span style="color: #2b00fe;">Me</span> menuisier et garde de son altesse et marraine Louise CLAUSADE),<span style="color: #2b00fe;"> mariée sous le nom de LEROUX en <u>janvier</u> 1749 (fille de Me architecte) à Olivier CORIMBE? (vue 35/307), décédée veuve sous le nom ROUX en août 1782 à 55 ans (vue 40); ils ont au moins un enfant :</span></div></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;">- <span style="color: #2b00fe;">François CORNIBé né en <u>mars</u> 1749, a pour parrain François LEROUX Me menuisier son oncle et Louise Clauzade sa grand-mère (vue 40/307)</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><p style="text-align: left;">- Vincent né en août 1729 (marraine Pascale PERICAL), profession<span style="color: #2b00fe;"> de maître architecte en 1769 au baptême de son neveu VERDIER</span></p></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;">- Pierre ROUX né en (jour illisible) 1733 (fils de François Roux, menuisier et garde général de son altesse, parrain Pierre CLAUSADE, marraine Marie LE ROUX)</div></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><p style="text-align: left;">- Antoine ROUX né en janvier 1735 (fils de François Roux, menuisier, marraine Thoinette LE ROUX) </p></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><p style="text-align: left;">- Jeanne ROUX née en décembre 1736 (fille de François Roux, menuisier et garde de Monseigneur le duc de Bouillon, parrain Pierre CLAUSADE NE SIGNE PAS, marraine Jeanne ROUX SIGNE Jeannette LE ROUX) </p></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><p style="text-align: left;">- François ROUX né en juin 1739 (fils de François Roux, Me menuisier, parrain François ROUX <span style="color: #2b00fe;">aussi menuisier</span>, marraine Marie ROUX) <span style="color: #2b00fe;">est Me menuisier au baptême de son neveu en 1749</span></p></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;">- une <span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">fille Louise LEROUX né vers 1743 (âgée de 68 ans lors de son décès en janvier 1811 vue 315/601) épouse en juillet 1767 (vue11/287 avec réf. contrat de mariage?) <b>Jean Baptiste VERDIER</b>, (maître d'école en 1768 et 1769 et 1786) fille de Frçs et Louis Clauzade sur son acte de décès; ils ont </span></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- une fille qui épouse avant 1811 Simon VEYSSIE, marchand, qualifié de gendre au décès de Louise LEROUX, </span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);"><span style="color: #0b5394;">le couple Simon VAYSSIE et Louise Verdier:</span></span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #0b5394;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">- Marie VAYSSIé né en novembre 1786 (vue 143/144) (parrain J-Bte Verdier Me d'école et Marie Vayssié) fille de Simon </span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">VAYSSIé et Louise Verdier</span></span></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Louise VERDIER né en juin 1768 (vue 26/287) (marraine Louise sans nom) (son père Jean VERDIER maitre d'école)</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;">- Vincent VERDIER né en octobre 1769 (vue 58/287) (parrain Vincent Le Roux maitre architecte oncle du baptisé, marraine Margueritte Culine) (son père Jean VERDIER maitre d'école)</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><p style="text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;">- Louise ROUX né en août 1744 (fille de François Le Roux, Me menuisier, parrain Raymond DEJEAN maître tailleur)</span></p></blockquote><p><span>nota il y a un Simon VEYSSIE qui se marie en l'an X, vue 86/96 </span> </p><div><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II B -</span> <b>Marie LE ROUX</b> (acte de baptême septembre 1706 à Turenne vue 356/637 dernier acte), a pour parrain Jean ROUX travailleur du bourg de xxx et maraine Marie ROUX du même bourg (NE SAVENT SIGNER)</div><div><br /><div><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II B bis-</span> <b>Marie LE ROUX</b> (décédée avant 1776 selon mariage de sa fille) et <b>Reymond DEJEANS </b>son mari (acte de mariage mai 1739 à Turenne, en présence de son frère François LE ROUX, filiation)</div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div>- Jean DEJEAN né en août 1740 (parrain Jean DE BATUT écuyer seigneur de la Peyrouse, marraine demoiselle Rose de la roche de Nachon)</div>- Marie DEJEAN née en décembre 1742, vue 554, père Me tailleur, Parrain <span style="color: #2b00fe;">François Le Roux Me entrepreneur (SIGNE)</span> et marraine Marie Dubatut </blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;">- Lucie DEJEANS né en 1745 (parrain François LEXTRADE tailleur du village de Lechon paroisse de ???, marraine Pascale PERICAL qui a tenu pour Lucie PERICAL sa sœur)</blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;">- une fille Luce DEJEAN fille majeure mariée en octobre 1776 (vue 174/287) à Jean Gary maître maréchal et veuf, âgé de 35 ans environ, témoin au mariage un CLAUSADE maître tailleur d'habits (SIGNE) et J-Baptiste Verdier</blockquote></div><div><br /></div><p><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II C -</span><span style="caret-color: rgb(255, 0, 0); color: red;"> </span><b>Thoinette LE ROUX</b> (acte de baptême mars 1708 à Turenne vue 382/637), a pour parrain Jean BELIN xxx et marraine Thoinette FERON (veuve ou femme?) Pierre BERNET? (NE SAIT SIGNER)(Thoinette apparait sur acte de bapteme en 1735 de son <span style="color: red;">supposé</span> neveu) Elle est possible marraine de Thoinette ROUX, fille ROUX-CAYRE en 1720 à Turenne)</p><div><br /></div><div><div><div><br /><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II D -</span><span style="caret-color: rgb(255, 0, 0); color: red;"> </span><b>Jeanne ROUX</b> (acte de baptême janvier 1710 à Turenne vue 415/637 premier acte en haut), a pour parrain Antoine DUY ou DAY du village d'Entrepont, paroisse de Coulonge et marraine Jeanne DE VIELBAN de la ville de Brive (NE SIGNENT PAS)</div><div>(Collonge-la-rouge, Corrèze)</div><p><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II D bis -</span> <span style="caret-color: rgb(255, 0, 0); color: red;">supposée </span><b>Jeanne ROUX</b> (elle vivante en 1770) et <b>Pierre CLAUSADE maître tailleur </b>son mari (décédé avant 1767 selon acte de mariage de son fils) (<span style="color: red;">pas de filiation</span>), le couple a au moins :</p></div><div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;">- Marie CLAUSADE née en janvier 1733 (Parrain François Roux garde général de son altesse SIGNE LEROUX)</blockquote></div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div>- Pierre Felix CLAUSADE né en mai 1734 (Parrain Pierre CLAUSADE, marraine Pascale PERICAL NE SAIT SIGNER, présent François LE ROUX garde général de son altesse SIGNE) </div></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div>- Luce CLAUSADE née en octobre 1737 (marraine Marie ROUX) </div>- une fille ...... - une fille ...... </blockquote></div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;">- <span style="color: #2b00fe;">François CLAUSADE né en 1740 (vue 499/670, mère Jeanne LE ROUX, parrain François LE ROUX, marraine Louise CLAUSADE); = </span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">un fils François qui est le parrain de son neveu François Joseph Vincent Clauzade en 1767,</span><div style="text-align: left;">- Pierre Félix CLAUSADE né en mai 1743 (parrain Pierre Laroche praticien, marraine Marie Leroux)</div></blockquote><div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;">- Vincent CLAUZADE née en mars 1747 de Jeanne LE ROUX (parrain Vincent LE ROUX cousin germain habitant Turenne SIGNE et marraine Marie CLAUZADE)</blockquote></div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;">-<span style="color: #2b00fe;"> un fille Marie Jeanne qui est marraine de sa nièce Marie Jeanne Clauzade en 1770,</span></div></blockquote><div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;">- un fils Pierre CLAUZADE, maître tailleur<span style="color: #2b00fe;"> d'habits</span>, marié en mars 1767 à Louise <b>PALMAISSON</b>, fille de feu Pierre et Jeanne Certain (témoin Félix Clausade SIGNE), elle décédée le 28 mars 1816 À 74 ans, étant née à Continar (déclarant Pierre VERGNE, tisserand, gendre). elle, est déclarante de naissances de voisin, comme actes 9 et 59 an X</blockquote></div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">- François Joseph Vincent CLAUZADE (parrain François CLAUZADE me menuisier oncle du baptisé pour lequel a tenu Joseph Vincent CLAUZADE, marraine Jeanne Certain grand-mère) énergie en décembre 1767,</span></span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">- Marie Jeanne CLAUSADE né en 1770 (vue 68/287) (parrain Michel Palmaisson, marraine Marie Jeanne Clausade tante laquelle a tenu Jeanne Le Roux gd-m),</span></span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- un fils François, SIGNE en 1782 parrain de sa sœur,</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="color: #2b00fe;">- François CLAUSADE né en 1771 (vue 88/287) (parrain François Certain bourgeois u village de la Martherie?, marraine Marie Jeanne Dyprier de Sapipol st Jean),</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="color: #2b00fe;">- Marie Jeanne née en février 1773 (Parrain Jean Cordier et marraine XXX Certain pour Marie CLAUZADE demeurant à la roque en Auvergne), mariée en l'an II pluviôse (vue 31/173) à Jean SARRAZIN âgé de 26 ans du Lot et Garonne (métier de bâtier) (SIGNE), lui décédé le 23 avril 1809 (vue 271/601) à 41 ans, étant né à St Pierre du Port, déclarant Pierre Lavergne tisserand, voisin et beau-frère et <b>Jean-Baptise Verdier</b>, instituteur, voisin et parent<br /></span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Jeanne SARRAZIN née anII </span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #04ff00;">vue 47/116</span></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);"><span style="color: #2b00fe;">- Pierre SARRAZIN née anV germinal (vue 35/189), témoin François SARRAZIN gendarme de la résidence de Turenne </span><span style="color: red;">ACTE TRES BIZARRE le beau-frère de la mère serait allé déclaré la naissance de son neveu avec la mère de l'enfant (qui vient d'accoucher de son premier? enfant</span></span></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Jeanne SARRAZIN née an IX brumaire, </span></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Vincent SARRAZIN née anXII vendémiaire </span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #04ff00;">vue 121/725</span></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Madelein SARRAZIN née anXIII floréal </span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #04ff00;">vue 121/725</span></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Jeanne CLAUZADE née le 27 juillet 1774 (vue 108/287) parrain Raymond Dubreuil Me menuisier de l'Hôpital St Jean de Sauvasac en Quercy, marraine Jeanne Certain cousine de la baptisée), </span><span style="color: #0b5394;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">elle épouse en Thermidor an IV (vue 85/173) Pierre DELOR gendarme à la résidence de Turenne (de parents dans la commune de Brive), témoins au mariage Pierre Clauzade 62 ans et François Charazin 29 ans, gendarmes père et beau-frère) </span></span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Louise CLAUZADE née le 19 mars 1777 (vue 181/287) (parrain Jean Certain bourgeois SIGNE, marraine Louise VERDIé), elle épouse à Turenne le 3 messidor an VI (vue 106/155 témoin Pierre Delord gendarme à la résidence de Tulle) <b>François GRANDOU</b> (fils à feu Etienne); ils ont</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #0b5394;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">- Catherine GRANDOU en ventose an VII (vue 87/189, déclarante Louise Roux??, le père sonneur?)</span></span></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);"><span style="color: #0b5394;">- Marie Thérèse GRANDOU en floréal an IX (vue 146/189)</span></span></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- une fille CLAUZADE qui épouse un Pierre DELORD gendarme de 36 ans à la résidence de Tulle en l'an VI au mariage de sa sœur Louise (qualifié alors de beau-frère),</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Jean Baptiste CLAUZADE née en mai 1779 (vue 19/144),</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #0b5394;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">- François CLAUZADE né en mai 1781 (vue 57/144), parrain Mr François Certain </span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">pensionaix?</span></span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Catherine CLAUZADE née le 10 août 1782 (Parrain son frère François et marraine Catherine ROUX parente NE SIGNE PAS), mariée en ventouse an XIII (93/340) à Pierre LAVERGNE, tisserand (né à Caniac, Lot en mai 1771)</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Antoine LAVERGNE né août 1807</span><div style="text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;">- Jean LAVERGNE né août 1809 (sur l'acte de naissance, son père s'appelle Jean et est tisserand, marié à Catherine Clauzade)</span></div></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="color: #2b00fe;">- Pierre LAVERGNE né juillet 1812 (témoin Palmeysson Pierre tailleur d'habits 37 ans)</span></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="color: #2b00fe;">- Elizabeth LAVERGNE né mai 1815 (</span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">sur l'acte de naissance, sa mère s'appelle Jeanne Clauzade, mariée à Pierre Lavergne</span><span style="color: #2b00fe;">)</span></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="color: #2b00fe;">- Jeanne LAVERGNE né janvier 1817</span></blockquote><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">x elle a avec un Jean LAVERGNE une fille :</span><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="color: #2b00fe;">- Catherine Victoire Flore VERGNE né mars 1821. Elle se marie sous le nom LAVERGNE (fille de </span><span style="color: red;">Jean</span><span style="color: #2b00fe;"> LAVERGNE et Catherine CLAUZADE) en août 1846 (vue 65) à Jean LERBET, meunier, 21 ans, xxxxxx </span></blockquote><span style="color: #0b5394;">- Pierre CLAUZADE né décembre 1784 (vue 108/144 marraine sa sœur Marie Jeanne CLAUZADE NE SIGNE PAS),</span> </blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="color: #2b00fe;">- Jean CLAUZADE né le 9 juillet 1787 (vue 8/102 marraine sa sœur Marie SIGNE MARIE JEANNE CLAUSADE),</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="color: #2b00fe;">- un fils Jean Baptiste CLAUZADE, 2e cannonier à la troisième compagnie, artillerie à cheval, garde impériale, décédé à Weyrant par suite d'un coup de boulet reçu au bas ventre le 5 juillet 1809 à 9 heures du soir, acte de décès rédigé à Vienne, retranscrit le 5 novembre à Turenne (D vue 282/601)</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><span style="color: #2b00fe;"><br /></span></div></blockquote></blockquote><p> </p><div><br /></div><div><div><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II E -</span><span style="caret-color: rgb(255, 0, 0); color: red;"> </span><b>François ROUX</b> (acte de baptême mai 1712 à Turenne vue 484/637 avant-dernier acte, décédé en octobre 1750 à 38 ans (vue 227/307)), a pour parrain François DE LA SERRE écuyer seigneur de XXX sénéchal du vicomte de Turenne et marraine Dame DE LA GORSSE xxx Pierre MAYSSIE?, <span style="color: #2b00fe;">décédé avant 1784 (mariage de sa fille)</span></div></div><div>SIGNE DE LA SERRE </div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;">frère de François ROUX, épouse le 24 décembre 1740 (vue 500/670, lui garde du château) <b>Magdelaine F<u>O</u>UILLADE</b> (une fois veuve, elle se remarie en 1754) (nota elle se remarie une fois veuve en 1754 (vue 131/307) avec Jean DALES; si pas d'homonyme, </span><span style="color: #0b5394;">elle est <b>marraine</b> d'une enfant trouvé en 1791 vue 75/102 et d'une Magdeleine Coudert en 1786 vue 141/144 et d'un Guillaume Maniere en 1782 vue 74/144, d'une Magdelaine La Combe en 1777 vue 187/287)</span><span style="color: #2b00fe;">)</span></div></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="color: #2b00fe;">- François ROUX né en janvier 1748 fils de François ROUX garde du château de Turenne et Madgelaine FEUILLADE, a pour parrain François ROUX Me menuisier (SIGNE), son oncle</span></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;">soit c'est le second mariage du premier François ROUX épouse Clauzade, soit c'est le frère</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;">- Marie ROUX né en mai 1741, a pour parrain Bernard FEUILLADE et marraine Marie ROUX; elle se marie avec dispense de deux bans, sous le nom de Marie LeRoux le 28 octobre 1761 (vues 79 et 80) à Turenne avec Jean VANIN de Bordeaux (paroisse Sainte Eulalie), fils de Jean et de Marie Geneviève Hacquebech de Goy <span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">Morin, SIGNE MARIE LEROUX</span></span></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;">- Louise LE ROUX né en avril 1743, a pour parrain XXX ROUX (SIGNE LEROUX) et marraine Louise Feuillade; décédée en février 1745, son père est garde du château de Turenne</span></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;">- Jeanne LE ROUX né en juillet 1745, a pour parrain Raymond DEJEAN tailleur d'habits et marraine Jeanne ANTOUNET?? grand-mère</span></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;">- <b>Catherine LE ROUX</b> né en 1749 (vue 52/307), a pour parrain Pierre CLAUZADE, mariée le 3 février 1784 (vue 93/144) à <b><u>Jacques ROUX</u></b>, Me menuisier, fils à Jean Roux travailleur et Jeanne VERGNE (décédée) (témoins mariage : Pierre Clauzade Me tailleur et Bernard Dales) Nota, il y a bien noté ROUX et LE ROUX sur l'acte de mariage. elle décédée en vendémiaire an IX (vue 20/601) à 51 ans</span></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- jumelle Jeanne ROUX née en novembre 1785, mariée le 28 octobre 1816 (vue 279/340 ou 143/144) avec Jean LACOSTE chaudronnier, fils de Paul LACOSTE, avocat</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">- jumelle Madelaine ROUX née en novembre 1785, mariée le 25 août 1810 (comme fille ROUX-ROUX vue 191/340) avec Antoine ROULY garçon menuisier par acte de mariage du 25 août 1810 (vue 191/340),</span></span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);"><span style="color: #2b00fe;">- une fille Madelaine ROUX née </span><span style="color: red;">vers Nov. 1790,</span><span style="color: #2b00fe;"> mariée le 23 février 1813 (vue 217/340) avec Jean RALITE cordonnier. Elle décède en décembre 1825 (vue 111/561) mais le déclarant est Jean Ralite, premier du nom, chaudronnier, et son mari est indiqué est Antoine RAULI menuisier</span></span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Marie ROUX née en juillet 1787 (vue 8/102, fille de Jacques Roux et Catherine Roux, a pour <span style="background-color: #fff2cc;">parrain Jean ROUX son oncle</span><u>)</u>, décédée en avril 1788 (vue 80/126) fille de Jacques Roux me menuisier, (<span style="background-color: #fff2cc;">PROBLEME, quel est cet oncle JEAN ROUX qui est son parrain; quel côté?</span>)</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Magdelene ROUX née en novembre 1790 (vue 61/102, fille de Jacques Roux Me menuisier et Catherine Roux, a pour marraine Magdelene Charageat</span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">)</span></blockquote></blockquote><p> </p><div><br /></div><p> </p><div><div><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II F -</span><span style="caret-color: rgb(255, 0, 0); color: red;"> </span><b>Jean ROUX</b> (acte de baptême juillet 1716 à Turenne vue 535/637 dernier acte), a pour parrain Jean DE BATUT écuyer seigneur de la Peirouse et syndic général du vicomte XXXXXXXXX</div><div>et marraine Jeanne de MONTFRANC? épouse a Monsieur le sénéchal du vicomte qui a aussi signé</div><div>SIGNE DE LA SERRE</div></div><div><br /></div><div><div><div><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II G -</span><span style="caret-color: rgb(255, 0, 0); color: red;"> </span><b>Lucie ROUX</b> (acte de baptême octobre 1718 à Turenne vue 589/637 premier acte), parents habitant au château de Turenne, a pour parrain Jean DE SCAMELS? garde à cheval de son altesse Mgr le Duc de Bouillon</div><div>Marraine Lucie Roux</div></div></div><div><br /></div><div><div><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II H -</span><span style="caret-color: rgb(255, 0, 0); color: red;"> </span><b>Marie Lucie ROUX</b> (acte de baptême novembre 1720 à Turenne vue 634/637), a pour parrain Jean DESCALMETS et marraine Marie Le Roux <span style="color: red;">qui a tenu pour Lucie Perical sa tante</span></div></div><div><br /><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II Z -</span> <b>Charles Godefroy LEROUX</b> (acte de baptême en 1722 à Turenne) a pour parrain Charles Godefroy de la Tour d'Auvergne, notre ayeul.</div><div><br /></div><div><br /></div><div><u style="caret-color: rgb(255, 0, 0); color: red;"><b>HYPOTHESE</b></u></div><div><span style="color: red;"><u><b>hypothèse</b></u></span> basée sur les parrainages : Jean Roux du village de Cazillac (Lot) est le fils du couple (LE)ROUX-PERICALE:</div><div><div><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II ZZ -</span> <span style="caret-color: rgb(255, 0, 0); color: red;">supposé </span><b>Jean ROUX, travailleur</b> (supposé décédé à Cazillac en février 1732 vue 98/646) et <b>Catherine de <u>TARAVAN</u></b> (mariés avant 1722 <span style="color: red;">pas de filiation</span>), le couple a au moins :</div><div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="color: #3d85c6;">- Antoinette ROUX née en ?? mariée à Cazillac le 19 mars 1733 (vue 110/646) à Michel CHARAJAC, travailleur, fils de feu (illisible) et feue Jeanne BRUNERIE? de xx</span></blockquote></div></div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #3d85c6;">- </span><span style="color: #3d85c6;">Vincents CHARAJAT né le 22 novembre 1735 à Cazillac vue 140/646, parrain Vincents ROUX, marraine Jeanne DALES, sur acte, le père Michel est charpentier</span></blockquote></div></div></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #3d85c6;">- Jacques CHARAJAT marié le 16 juillat 1773 à Cazillac à Jeanne DALLES, fille de feu Bernard DALLES et Jean NICAL du village de La Bousonie Paroisse de Turenne</span></blockquote></div></div></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #3d85c6;">- Vincents? ROUX né en ?? marié à Cazillac le 13 novembre 1736 (vue 147/646) à Marie BRUNERIE fille de Bathelemi et Jeanne MOUVET</span></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #3d85c6;">- Pierre ROUX né le 16 janvier 1737 à Cazillac, vue 150/646, marraine Catherine TAVARAN, mort à 8 jours, même vue 150/646</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #3d85c6;">- Michel ROUX né le 19 octobre 1738 à Cazillac, vue 168/646, mère marie de BONNEVIE, parrain Michel CHARAZAC et Jeanne de BONNEVIE</span> </blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div><p style="text-align: left;">- une fille Mateline ROUX née en octobre 1723 (vue 11/646) à Cazillac (<u>Parrain <span style="background-color: #04ff00;">Jean ROUX menuisier de Turenne</span></u> et Mateline ROUX du village de Pomery) mariée sous le prénom de Magdelene à Cazillac le 1er mars 1745 (vue 234/646) à Antoine GIMEL</p></div></div></blockquote><div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div>- Jean ROUX né en juin 1728 à Cazillac (vue 63/646) (<u style="background-color: #04ff00;">marraine Pascale PERICAL de Turenne</u> NE SAIT SIGNER)</div></blockquote></div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;">- fils Jean ROUX, Jean Roux décédé le 28 pluviôse an XI (vue 66 à TURENNE), cultivateur, indiqué comme né à CAZILLAC</div></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><b>x</b> marié à Jeanne VERGNE puis veuf d'elle </blockquote></div></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- </span><b style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">Jacques ROUX</b><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">, (vers 1757? à Turenne) Me menuisier, </span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">marié le 3 février 1784 (vue 93/144) à </span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;"><b><u>Catherine LE ROUX</u></b> né en 1749. lui décédé à 78 ans en avril 1835 (acte 382/561 à TURENNE qualifié de veuf, fils de Jean Roux et Jeanne Vergne), lui </span>Jacques Roux menuisier à Turenne fils majeur en l'an XI au décès de son père,<br /></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #0b5394;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">- </span><b style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">Magdeleine ROUX</b><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">, (née en novembre 1790 comme fille de Jacques Roux Me menuisier et Catherine ROUX habitant la ville de Turenne, vue 61/102)</span>,</span></blockquote></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Jean</span><b style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;"> </b><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">ROUX</span><span style="color: #2b00fe;">, menuisier fils de Jean Roux travailleur et feu Jeanne Vergne se marie en 1790 (vue 46/102) à Jeanne Rebierre ou Ribierre du domaine de Lion de la paroisse, témoin au mariage Etienne RUssac beau-frère de l'époux</span><div><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Jean</span><b style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;"> </b><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">ROUX</span><span style="color: #2b00fe;">, cultivateur, (vers 1762?), il se marie à 34 ans (fils de Jean Roux et Jeanne Vergne), le 24 germinal an IV (vue 78/173 TURENNE) à Marie DELMON 20 ans (présent au mariage <span style="background-color: #04ff00;">Pierre CLAUZADE tailleur d'habits 62 an</span>s). il est né le 23 juin 1762 mais où?? elle décédée avant 1823; lui </span>Jean Roux cultivateur à la Gourre, fils cadet majeur en l'an XI au décès de son père. ils ont:</div></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Magdelaine</span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;"> ROUX</span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">, 22 ans listée comme née le 14 déc 1799, acte de naissance 23 frimaire an VIII (acte 109/189) fille de Marie Anne Delmon, demeure dans la Lot, se marie le 11 juin 1822 (vue 19/395 TURENNE) avec Pierre FOURNET, 29 ans, cultivateur, demeurant dans le Lot; elle listée comme fille de Marie Anne Delmon</span></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Antoinette</span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;"> ROUX</span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">, (née 4 mess V TURENNE) fille de Marianne Delmon, se marie à 26 ans, le 7 octobre 1849 (vue 124/356) </span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">avec Jean GARI, 29 ans, cultivateur. Ils ont :</span></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Pierre GARY</span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">, (né à Sarazac 1825????) se marie à 23 ans, le 4 novembre 1823 (vue 64/395 TURENNE) </span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">avec Antoinette Lamothe, </span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">34 ans de Turenne</span></blockquote></blockquote></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><b>x</b> marié (lorsqu'il est veuf) à Turenne le 27 xx 1770 à <b>Jeanne DALES</b> habitant au moulin de (La)Be(r)lier(e) à Turenne</blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;">- Margueritte Roux née en mai 1771 (vue 79/287),</div></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;">- Jacques Roux né en octobre 1772 (vue 102/287), (parrain Jacques Roux xxx)</div></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;">- Magdelaine Roux née en juillet 1776 (vue 169/287), (<span style="background-color: #04ff00;">marraine Madelaine FOUILLADE</span>), père Jean Roux meunier au moulindecré</div></blockquote></blockquote><div><div></div><div></div><p> </p></div><div><br /></div><div><br /></div><div>AUTRE BRANCHE</div><div>autre fraterie Roux</div><div><span style="color: #2b00fe;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">1) Jean ROUX, meunier au moulin de Decré en 1775 au mariage de sa nièce Catherine DELROUX</span></span></div><div><span style="color: #2b00fe;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">2) Vincent ROUX, présent en 1779 au mariage de sa nièce Toinette</span></span></div><div><span style="color: #2b00fe;">3) Jacques LE ROUX, travailleur, meunier au moulin de la Berlière (décédé 1784 à 72 ans, vue 54/126) et Anne <b>BRIAT</b> (elle décédée avant 1782), en 1766 au moulin de la Berlière</span></div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">- HYP fille : Catherine Roux décédée en ventose an IV à 46 ans, </span></span><b style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">pas de mère déclarée</b><span style="color: #2b00fe;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">!!, fille de Jacques Roux</span></span></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;">- Catherine <b>DELROUX</b> fille de Jacques <b>DELROUX</b> et feu Anne Briat, moulin de la Berlière, 25 ans mariée en 1775 (vue 156/287) avec Pierre TOURNIER, travailleur fille à Jean et Patronille Faurie; ils ont</span></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Pierre Félix TOURNIER</span><span style="color: #2b00fe;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);"> né en 1776 fils de Pierre Tournier, moulin de la Berlière, et fille de Catherine Roux son épouse (vue 165/287 parrain Pierre Félix Clausade, maître tailleur d'habits et marraine Jeanne Dales épouse de Jacques Charescat??) ACTE DE JUSTICE</span></span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">,</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Jeanne TOURENIER</span><span style="color: #2b00fe;"> née en mars 1782 (vue 68/144) fille de Pierre travailleur et Catherine Roux, parrain Jean LaCroix <span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">oncle et marraine Jeanne Roux tante,</span></span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">- Jeanne ROUX né en 1759 (vue 41/237) au moulin de la Berlière <b>pas de mère déclarée</b>!! (parrain François Clausade, marraine Jeanne Roux, tous deux de la ville de Turenne)</span></span></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="color: #2b00fe;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">- Robert ROUX né en mai 1761 (vue 72/237) moulin de la Berlière (parrain Robert Roux?? oncle maternel??, parrain Robert Lacroix son neveu??), témoin en 1779 au mariage de sa sœur Toinette,<br />- fils Robert ROUX, travailleur, (décédé ventes an XII à 40 ans, né à Turenne, demeurant à Mazal commune de Turenne, vue ?? fils de meunier)) marié le 27 mai 1791 (vue 71/102) à <b>Jeanne JOURNIAC</b> fille de Pierre (décédé après an XII) et Marie Cayre (veuve elle réside à Nazareth à Jugeal en 1817), ils ont</span></span><br /></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Pierre Roux (né le 31/3/1792 selon son RM) grenadier selon son registre </span><span style="color: #2b00fe;">matriculaire avec filiation; son acte de baptême vue 93/102 est daté du 31 mai 1792, les parents sont alors métayers au domaine du Mazal, parrain Pierre Journiac oncle, et marraine Marie Fournet</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">- Pierre dit Pierriquet Roux (acte de naissance Pierre né le 1er nivôse an II vue 25/116) (</span></span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">né le 22/12/1793 selon son RM),</span></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">selon son registre matriculaire,</span></span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #0b5394;">- Jeanne Roux né en nivôse an VI (vue 52/189) déclarée par son père Robert cultivateur du lieu de Mazal, et Jacques Roux menuisier 45 ans à Turenne</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Jeanne Roux né en (vue xx/xx) décédée vendémiaire an IX (vue 20/601),</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">- Jeanne Roux née en (15 nivôse an VI à Mazal ???? vue xx/xx) mariée le 30 septembre 1817 à Jacques ANTOUNET,</span></span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Marie Roux née en l'an VII le quatrième jour complémentaire (vue 241/243 et vue 99/189),</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);"><span style="color: #0b5394;">- Marie Roux née en fructidor an VIII (vue 124/189), père et mère demeurant au domaine</span></span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;">- fille Hugette LE ROUX, épouse le 28 janvier 1766 (vue 146/237) Jean FOURNET, fils de Gabriel et Gilette <span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">Malpeyre, avec témoin Vincent Roux; ils ont:</span></span></div></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">- Jacques Fournet né en décembre 1766 (vue 156/237) fils de Jean Fournet, Me maçon (parrain Jacques Roux grand-père)</span></span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);"><span style="color: #990000;">- ???? il y a une fille Marie Fournet de Jacques FOURNET et Jeanne ROUME? vue 64/144 en décembre 1781?????</span></span></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- fille Toinette ROUX (elle décède veuve à 70 ans en 1823 vue 42/561), épouse le 17 août 1779 Jean <b>LA CROIX</b> (vue 24/144), fils de Guillaume et Jeanne Brunerie</span><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">, avec témoin Robert Roux, frère à l'épouse, Vincent Roux, oncle à l'épouse??; ils ont</span></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254); color: #2b00fe;">- Robert LACROIX, né en décembre 1791 fils de Jean Lacroix, travailleur et Toinette Roux, parrain Robert Roux oncle et marraine Catherine Roux</span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">- Robert LACROIX, cultivateur, 34 ans en 1823 au décès de sa mère, (né le 5 décembre 1791 selon registre militaire, acte de baptême décembre 1791, fils de travailleur, parrain Robert Roux oncle et marraine Catherine Roux), a déserté en 1811</span></span></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="color: #0b5394;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">- Jeanne ROUX (fille de Jacques Roux et feue Anne Briat, moulin de Bré) épouse le 9 juillet 1782 (vue 71/144) Jean </span><b style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">LAGUIHLAUMIE</b><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);"> (fils de Jean), témoins Jean LACROIX beau-frère de l'épouse</span></span></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="color: #2b00fe;"><span style="caret-color: rgb(43, 0, 254);">- Catherine LAGUILLAUMIE, née en mai 1787f Ille de feu Jean travailleur et Jeanne Roux, village de Gernies, parrain Robert Roux, oncle, marraine Catherine Dejen </span></span></blockquote></blockquote><p> </p><p> </p><p> </p><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div>branche ? à relier:</div><div>1717</div><div>vue 566/637 TURENNE village de XXXX?</div><div><i>l'an de grace mil sept cent dix et sept et le dixieme</i></div><div><i>septembre nacquit Henri Roux fils naturel et legitime de</i></div><div><i>Etienne Roux et de Leonarde Cayré et fut baptisé le</i></div><div><i>douzième du même mois a été parrain Henri Cayre et</i></div><div><i>marraine Paschalle Perical present a ce Pierre Vayssie</i></div><div><i>et Joseph Vayssier lesquels n'ont signé pour ne seavoir de</i></div><div><i>ce enquis par Moy</i></div><div>signé VACHON P.RE ET VICAIRE</div>Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-44629866757735033912020-08-31T15:22:00.000-07:002020-08-31T15:22:23.132-07:00A yet to discover cousin : Charles Terres Weymann<p> Wathing a Columbo episode last weekend, I was wondering what was that superb car with a split windshield.</p><p>After a quick google, it appeared to be a Stutz car. The wikipedia article was of interest. It mentioned a Charles Weymann as a french car inventor, a name that I never heard of.</p><p>Charles Weymann was also an early aviator as it revealed to be. As his genealogy seemed to be unclear I decided to investigate.</p><p><br /></p><p>Picture : <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9604353p">La vie au grand air</a> 11/25/1911 (The life in open air)</p><p><b>Charley Weymann</b></p><p><a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9604353p/f4.item">winner</a> of military aviation contest (300 kilometers at 117 km/h - 2 hours and 34 minutes) on the only monoplane (a Nieuport 100 HP).</p><p>In <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9605219m/f15.item">1920</a>, an article recalls that the 1911 victory of Weymann was as an American citizen.</p><p>in the <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3209115n/f8.item">1922</a> issue, an article sets the history of aviation recors and lists Weymann as recordman in 1911 for speed (at Eastchurch).</p><p>Several issues show that Weymann also piloted seaplanes for races (Saint Malo in <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9605327h/f3.item">1912</a> or Monaco-San Remo in <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9606079h/f5.item">1913</a>).</p><p><br /></p><p><b>Military record</b></p><p>Charles Terres Weymann (Matricule <a href="http://archives.paris.fr/s/17/etats-signaletiques-et-des-services-militaires/1884678/weymann/?&debut=0">6613</a>)</p><p>born on 2 August 1889 in Port au Prince (Haïti)</p><p>from Charles Weymann and Marie Miot </p><p>in 1920 he is naturalized French (17 April 1920) as of his military file.</p><p>in xxxx Charles is listed as industrialist, 198 avenue Victor Hugo in Paris (16th district) with his parents. (as of his military file). His next address are 253 rue Saint Honoré</p><p>traduction des ses états de services</p><p><br /></p><p><b>Car industry references</b></p><p>in 1918 (29 April 1918, <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6474910t/f56.item">Automobilia</a>) Charles Terres Weymann registered a patent for better mix in carburators.</p><p>in <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6474908r/f54.item">15 August 1919</a> Automobilia issue, an article explains the Wyemann "exhauster". You can find a video of a working "exhauster" <a href="https://youtu.be/t_ZsXHX6r7M">here</a>.</p><p>Charles Weymann also worked on car bodies as it reads in this early edition of the <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6130109b/f5.image">code de la route</a>. He improved seats, frames and bodies, and the result is a comfortable and silent journey, and easy to repair car.</p><p><br /></p><p><br /></p><p><b>Family</b></p><p>Other Paris military file : of his supposed brother </p><p>Maurice, Eugène Weymann (Matricule 3407)</p><p>born on 25 June 1892 in Port au Prince (Haïti) (no parents listed on his file), living at the same address in Paris as Charles Terres Weymann : 198 avenue Victor Hugo</p><p>His father was born in France (as shown below).</p><p><br /></p><p><b>Citizenship; Franco-American?</b></p><p>If what I am reading on the net, Charley, of American father, was not legitimately an American citizen by birth. He was presumably Haitian and at some time he was an American citizen as listed in the French documents :</p><p>In 1920, Charles Terres Weymann, manufacturer, 08/02/1898 Port au Prince, from American father and living in Paris acquired French citizenship (<a href="https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/media/FRAN_IR_057273/c2rexncu8ztk--1t2pkmrix7xck/DAFANCH94_NUMJ047984_D">38953 X 14</a> French Ministry of Justice 17 April 1920)).</p><p>In 1921, his parents Charles Weymann, no profession, born on 2 September 1850 à Thann (Haut Rhin) and Cornélie, Marie Miot, his wife, bon on 13 January 1862 in Port au Prince (Haiti), both Paris residents, are naturalized French (<a href="https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/media/FRAN_IR_057647/c1byp8iviq4b--pdfhw7zoyrif/DAFANCH94_NUMJ048651_D">5376 X 20</a>). As it reads in the document, the couple is re-integrated as French after losing the French nationality while having acquired the US citizenship.</p><p><br /></p><p><b>Decorations</b></p><p>Charles Weymann is said to be Knight of the French Legion of Honor. There is no record of such decoration on the LEONORE DATABASE. But some records are missing.</p><p><br /></p><p><b>The Indianapolis race - 1927</b></p><p>in October 1927, as related in the <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55098868/f3.item">Match article</a>, Mr. Moskowizs, director of Stutz cars and Charles Weymann, industrialist and parisian sportsman, made a bet of the best car in a 24-hr race.</p><p>Weymann is reported to have said : "I, I bet the amount that you want that I can beat any American car with my personal car. And I will come and beat you at your place, at the gates of your manufacture; I will drive by my own with my friend Bloch, in order that it cannot be said that the victory is due to the skills of professional drivers. You can take a brand new car; tune it on the track, at your gates, on a track that is familiar to you, and on which I accept to compete. You can take American professional drivers. We will see.</p><p>...</p><p>after the first hour of race, his Hispano car had 40 kilometers of avance on the Stutz car. After 6 hours the French car advance was of 250 kilometers... The finely prepared Stutz had trouble over trouble, all repaired, but abandoned on transmission shaft break. </p><p>... The race was stopped after 20 hours. Mr. Moskowizs offered a $25.000 check to victorious Weymann.</p><p>Weymann wanted to acknowledge the loyalty and fairplay of his opponents. </p><p>Note : in <a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55098972/f9.item">1928</a>, Charles Weymann was still racing in Sportscar Grand Prix racing in France. This Sportscar Grand Prix was succeeding to Speed Grand Prix.</p><p><br /></p><p><b>Astral theme</b></p><p><a href="http://www.janinetissot.fdaf.org/jt_weymann.htm">http://www.janinetissot.fdaf.org/jt_weymann.htm</a></p><p><br /></p><p><b><a href="https://www.hydroretro.net/course1929">Seaplane race</a></b></p><p>I cannot end this post without mentioning that Charles Weymann took part to the first Schneider Cup (seaplane race) in 1913. This cup has seen the most beautiful seaplanes : the Supermarine S.6B and Macchi M.67 in the late 20's.</p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p><p><br /></p>Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-86193362411710697132020-08-10T23:08:00.192-07:002023-07-20T15:36:20.335-07:00TILLIER XVIILes recherches généalogiques à Paris sont rarement simples.<div>Pour celles à partir de 1860, il faut connaître l'arrondissement, sinon on est bon pour se lancer dans la consultation des vingt registres d'arrondissements. Pour la période 1792-1860, l'état civil reconstitué n'est que partiel. Quant aux recherches pré-1750 elles sont très compliquées. Il faut en grande partie s'en remettre aux archives notariales ce qui implique que les personnes concernées aient eu à faire à un notaire...<br />
<br />J'ai tenté de reprendre à zéro les recherches sur les Tillier de Passy/Chaillot/Gros caillou. L'objectit est d'identifier les différentes branches et de remonter autant que possible au 17ième siècle. <div><br />Les dépouillements disponibles sur geneanet ont été grandement utiles et complètent mes visites au CARAN (dans ce cas j'indique la référence des numéros d'images numériques des actes en ma possession).<br />
<br />
<br /><br />
<br />
<br />Voici donc une tentative de consolidation de l'ascendance des TILLIER du XVIIIième siècle :<br />
(nota <a href="https://fr.geneawiki.com/index.php?title=Au-del%C3%A0_de_l%27%C3%A9tat_civil_-_AD75_-_Sous-s%C3%A9rie_D6J">ND</a> de Passy 1827-281830 ok, St Roch https://www.geneanet.org/registres/view/25983/31)<br /><br /></div><div><u style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial; font-size: 9pt;">Génération 'zéro'</span></u><br />(filiation) <b>Nicolas TILLIER</b> (Me pêcheur en 1718, NE SIGNE PAS) et Marie <b>BLANCHET </b>(SIGNE), gros Caillou, Psse de Saint Sulpice en 1713 et 1718 (et 1711?) (parents)<br /><span style="background-color: #d9ead3;">
(collatéral) <b>Jeanne TILLIER</b> (veuve de Pierre LEBERT) IAD en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364234/665">1731</a> ép. Laurent NOBLET cité comme grand-oncle paternel de Marie Madeleine T. en 1721, à Auteuil, ont au moins</span></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="background-color: #d9ead3;">avec Laurent NOBLET blanchisseur de linge (SIGNE)</span></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="background-color: #d9ead3;">- un fils Jacques NOBLET (l'aîné Laisné sur acte <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/358478/121">1740</a>) ép. <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364234/562">CM 1729</a> Madeleine MORIN, lui blanchisseur en 1731 et 1740</span></div></blockquote></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="background-color: #d9ead3;">- un autre fils François NOBLET (le jeune sur acte <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/358478/248?">1741</a>) aussi blanchisseur en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364234/665">1731</a> et <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/358478/121">1740</a> à Auteuil, décédé avant 1744 (SIGNE) x Pierrette LEBERT (vivante en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/358478/626">1744</a>)</span></div></blockquote></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="background-color: #d9ead3;">avec Pierre LEBERT (+ avant 1713)</span></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="background-color: #d9ead3;">- fille Françoise LEBERT (décédée entre 1713 et 1731) x xx voir référent Généanet <a href="https://gw.geneanet.org/etoiledeloise?lang=fr&pz=elody&nz=pecheux&p=marie+francoise&n=lebert&oc=1">etoiledeloise</a></span></div></blockquote></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="background-color: #d9ead3;">avec DUFRICHE Etienne (CM 3/6/1713) vigneron décédé a priori en 1713</span></div></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="background-color: #d9ead3;">Etienne DUFRICHE 5 ans en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364227/53">1713</a>, 25 ans en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/358479/151">1734</a> (liste des parents côté Dufriche), tutelle en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364227/59">1713</a>, vigneron an <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/358478/230">1741</a> achat à son demi-frère ainsi qu'en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/358476/207">1748</a></span></div></blockquote></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="background-color: #d9ead3;">x CM <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364227/47">06/06/1713</a> avec Augustin GRAVELLE jardinier père et tuteur de (<span style="font-size: x-small;">dmt paroisse de champlatreux</span>) à Montmorency ou Enghien, 4 enfants listés en 1731 (SIGNE) :</span></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="background-color: #d9ead3;">1) Françoise 18 ans en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364234/666">1731</a> <span style="font-size: x-small;">soit </span>né vers 1713, semble être Marie Françoise GRAVELLE épouse Jean BLONDY en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/358478/124">1740</a> qui signe Marie F Gravelle</span></div></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="background-color: #d9ead3;">2) Augustin <span style="font-size: x-small;">15 ans en 1731 soit </span>né vers 1716, Charles Augustin jardinier 25 ans sur acte <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/358478/248?">1741</a> à Chaillot faubourg de la Conférence</span></div></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="background-color: #d9ead3;">3) Marie 13 ans en 1731</span></div></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="background-color: #d9ead3;">4) Antoine GRAVELLE 8 ans en 1731, a priori François Antoine qui vend à son frère consanguin en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/358476/207">1748</a> parcelle héritée</span></div></blockquote></blockquote></blockquote></blockquote><p> <u style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial; font-size: 9pt;">1<sup>e</sup> génération</span></u></p><div>
<span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">Ic</span> <b>Nicolas</b> <b>TILLIER</b> présent au mariage de son frère François en 1713, confirmé frère de Guillaume en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/103611/200" target="_blank">1721</a>, maître pêcheur demeurant au gros Caillou<br />
<span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">Ib</span> <b>Guillaume TILLIER</b> en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364194/158">1757</a> <span style="font-size: x-small;">au mariage de son neveu et filleul Claude</span> (et confirmé fils TILLIER BLANCHET), mineur Me pêcheur et marchand de vin en 1718 et <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/103611/200" target="_blank">1721</a> (et en 1722 fbg de la Conférence à Chaillot) lors de son mariage (NE SIGNE PAS) en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/321472/121" target="_blank">1718</a> GENEANET avec <b>Denise Hippolyte BRETON</b> décédée en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/103611/194" target="_blank">1721</a>, <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/103611/194" target="_blank">IAD1722</a>) tjs pêcheur en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1365" target="_blank">1766</a> au décès neveu, a eu : </div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;">- une fille <b>Marie Madeleine</b> selon acte de tutelle <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/103611/200" target="_blank">1721</a> GENEANET</div></blockquote></blockquote><div>
<br />
Il y a une Mie madeleine Tillier <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/296771/46">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/296771/46</a> mais <b>pas</b> <b>concluant</b> BAILLET DIREUX-PIREUX<br />
CM 1781 fille <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/28422/79">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/28422/79</a><br />
Décès <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/409/117">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/409/117</a><br />
<br />
<span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span> <b>François TILLIER</b> (son père NE SIGNE PAS mais SIGNE CHARTILLE en 1755 sur consentement à son fils François????????) Me pêcheur à engins, à Chaillot, faubourg de la conférence en 1760, ép. 1713 <b>Marie Geneviève JULIN </b>(voir <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358369/85" target="_blank">CM mariage 171</a>3, <span style="font-size: x-small;">elle fille de Guillaume JULIN et François HUBY</span>)) (<span style="background-color: yellow;">IAD <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/321471/129" target="_blank">1759</a> et prendre en compte la troisième pièce relative au fils François qui est à part </span><span style="color: #666666;"><span style="background-color: yellow;">raccrocher MG JULIN à la mère de Denise H BRETON)</span> désistement de mariage acte 1751 avec FASSAILLE Madeleine GENEANET </span>confirmé frère de Guillaume en 1721<br />
<br /><span style="background-color: red;">((à finir d'analyser 1756</span> <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/228284/757">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/228284/757</a> (re-liste un Toussaint DUBROC) et https://en.geneanet.org/archives/registres/view/364194/67))<br />
<br />
<u style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial; font-size: 9pt;">2<sup>e</sup> génération</span></u><br />
<div style="text-align: justify; text-indent: -24px;">
<span style="font-family: arial;"><span style="font-size: 12px;">E</span></span></div>
Enfants de François TILLIER X JULIN Marie Geneviève (chacun pour un quart en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/321471/130" target="_blank">1759</a>)<br />
<span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II A -</span> <b>Claude TILLIER, </b>40 ans en<b> </b><a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364194/158">1757</a> soit <b>o1717</b> (SIGNE CLAUDE TILLIé sur <span style="background-color: lime;">IMG8462</span><span style="background-color: white;"> et <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/364194/67">1756</a>) </span>marchand pêcheur? maître pêcheur et blanchisseur à Chaillot (remarié en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364194/158">1757</a> à DUBOIS ou <span style="background-color: lime;">IMG20170128_130711</span>; a 6 enfants d'avec défunte <b>Marie DUBROCQ</b> (+<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/364194/67">1756</a> ou <span style="background-color: lime;">IAD IMG20170128_135536</span>) en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/228284/756" target="_blank">1756</a> (<span style="background-color: lime; color: red;">IMG20170128-133833</span> = elle veuve en première noce (CM en 1736 <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/364194/79">réf</a>.) de Aime FAUCHEUR (+1737 IAD IMG20170128_<span style="background-color: lime;">135536</span> et registre 1737 <span style="font-family: arial; font-size: 11pt; white-space: pre-wrap;"><b><a href="https://www.geneanet.org/archives/registres/view/404/17">https://www.geneanet.org/archives/registres/view/404/17</a></b></span> ) avec un enfant Noel mineur en 1757) puis 5 seulement en<b> </b><a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364194/158">1757</a> lors remariage avec Elisabeth DUBOIS, fille d'huissier, né vers 1716 car 41 ans et a priori décédé en 1795 <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/40905/63" target="_blank">là</a>) a reçu un complément de la succession de sa mère (en date du 15/6/1759 <span style="background-color: lime;">IMG8462</span>)</div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;">voir ci-dessous pour les enfants</div></blockquote></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"></div></blockquote><div>
<span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II B -</span> <b>Sébastienne TILLIER</b> et <b>Nicolas JULIN </b>son mari maître pêcheur à Chaillot en 1760 (mariés avant <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364194/158">1757</a>), présents, de Chaillot, au mariage de leur nièce Marie Anne T-BERTAU en 1765, hypothèse ils ont un fils vivant en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/228284/757" target="_blank">1756</a> :</div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;">- <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/228284/757" target="_blank">Mathieu JULLIN pêcheur à Chaillot</a></div></blockquote></blockquote><div>
<br />
((<br />
à voir https://en.geneanet.org/archives/registres/view/364197/218<br />
Sébastienne JULLIN https://en.geneanet.org/archives/registres/view/172877/351 - non relié https://en.geneanet.org/archives/registres/view/32843/159 mais Toussaint TILLIER époux Marie JULIN et IAD <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364196/164">1762</a></div><div>))<br />
<br />
<span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II C -</span> <b>Charles TILLIER</b> (SIGNE CHARLE TILLIE sur acte <span style="background-color: lime;">IMG8462) </span>décédé en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1364" target="_blank">1766</a> présent au mariage de son frère Claude en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364194/158">1757</a>, marchand pêcheur à <u>Passy</u> et <b>Marie Elisabeth SAGERET</b> (SIGNE) et leurs six enfants (en 1765 mariage de sa nièce Tillier avec BERTAUD, il est appelé François Charles et est le seul à Passy), elle est veuve en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/184851/1442" target="_blank">1778</a> et ne s'appelle que Marie et est blanchisseuse, lui à Passsy présent au mariage de sa nièce Marie Anne T-BERTAU en 1765<br />
<span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II D -</span> <b>François TILLIER</b> blanchisseur de linges en 1760, décédé sans enfants (SIGNE sur acte de consentement en 1755) (+1766?) et <b>Marie Geneviève DEVAUX </b>(mariés en 1765 ou 1763), lui, de Chaillot, présent au mariage de sa nièce Marie Anne T-BERTAU en 1765<br />
<br />
<u style="text-align: justify;"><span style="font-family: arial; font-size: 9pt;">3<sup>e</sup> génération</span></u><br />
<br />
enfants de Charles TILLIER - SAGERET Marie Elisabeth selon acte 1766 donnant les <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1364" target="_blank">âges</a><br />
<span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"> CA -</span> <b>Charles Estienne TILLIER </b>17 ans en 1766 donc o1749, marié en 1771 à Passy (Filae) <span style="background-color: red;">CM ét. C 29/08/1771 notaire MARCHAND et voir acte du 27</span> avec MARCHAND Anne (Marie) Françoise (*); lui cité c.i.g. en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/185535/752">1789</a> sur acte LOMBARD, lui <b>pêcheur</b> à Passy en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/26912/16">1809</a> (SIGNE CE TILLIEY)</div><div>
<span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"> CB -</span> <b>Marie Anne TILLIER </b>15 ans demi en 1766 donc o1751 a priori mentionnée dans acte <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/184851/1442" target="_blank">1778</a> avec sa mère (se reporter à Fcorpet sur généanet), <span style="font-size: x-small;">décédée 13/08/1807 pas d'IAD mais noto 1809</span> x Etienne Ange <b>CHATELAIN</b>, jardinier à Passy en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/185535/752">1789</a>, ont deux enfants vivants en 1808 succ. : (couple cité c.i.g. en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/185535/752">1789</a> sur acte LOMBARD)</div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;">- Louise Etienne CHATELAIN épouse François Philibert LEFRANC, maçon à Passy</div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;">- Louis (Marie) CHATELAIN</div></blockquote><div>
<span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"> CC -</span> <b>Marie Genevieve TILLIER</b> 13 ans 7 mois<br />
<span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"> CD -</span> <b>Marie Françoise TILLIER</b> 12 ans 7 mois, femme de Jean Baptiste <b>LEGUET</b> selon succ 1808/IMG4648</div><div>
<span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"> CE -</span> <b>Margueritte TILLIER 9 ans </b>(((??? x28 janvier 1783 à Passy avec Henry Louis LAMBERT menuisier rue de la Madeleine en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/26912/16">1809</a>, couple cité c.i.g. à Passy en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/185535/752">1789</a> sur acte LOMBARD)</div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;">- <b>Anne Marguerite LAMBERT, </b><span style="font-size: x-small;">rue de longchamp à Passy</span> (SIGNE) x <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/26912/16">1809</a> François ALBERT fils de bourgeois</div></blockquote><div>
<span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"> CF -</span> <b>Louise Genevieve TILLIER 2 ans 2 mois </b>possible <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/364354/8?individu_filter=5251450">enfant</a> <span style="background-color: #fcff01;">à explorer (x avec Jean Baptiste BOUCHET charpentier à Passy, </span>couple cité c.i.g. en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/185535/752">1789</a> sur acte LOMBARD), tous deux décédés en 1830, ont au moins<br /></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;">- <b>Jean Napoléon BOUCHET</b> mécanicien ajusteur à Passy, Gde rue n°3, épouse <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364354/8">04/1830</a> Eulalie Claudine LEGUET, couturière à Passy</div></blockquote><div><br /><br /><br /><br /><br /><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;">M T<b> TILLIER</b> </span></span><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;">épouse de <b>Simon BENOIST</b>, <span style="background-color: #ea9999;">(supposé contrat de mariage 25 mai 1751 étude XL selon <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/297862/21">réf</a>. A RECHERCHER)</span></span></span><br /><br /><span style="background-color: #fce5cd;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"> CM 11/1749 </span></span><span face="Tahoma, Verdana, Segoe, sans-serif" style="font-size: 14.112px; text-align: justify;">LXXV</span>? Jean Simon TILLIER</span><br /><br /><br /><span style="background-color: red;">ét XL</span></div><div><span style="background-color: red;">19 avril 1809 certifi TILLIER CE</span></div><div><span style="background-color: red;">3 mai quittance Marg TILLIER LAMBERT</span></div><div><span style="background-color: red;">20 mai MG LOMBARD IAD</span></div><div><span style="background-color: red;"><br /></span></div><div><br /></div><div><br /></div><div><span style="background-color: #ead1dc;">NON étude 56 DUTARTRE : mar TILLIER DUBROC 1736-1737et+ (1737-1744ok et 39-42)</span></div><div><span style="background-color: #ead1dc;"><b>=> étude 56 DUTARTRE : mar TILLIER JULLIN 15/11/1738</b></span></div><div><br /></div><div><span style="background-color: red;">XXIV 2/8/1751 BERTON TILLIER Marie Anne</span></div><div><br /></div><div><span style="background-color: red;"><br /></span></div><div><span style="background-color: red;">lver de doute sur origine</span></div><div><span style="background-color: red;">C 21/11/1755 ROGER Etienne TILLIER M Thérèse , elle fille de Charles TILLIER blanchisseur à Passy et Thérèse MANSEL selon <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/185535/280">acte</a> </span></div><div>tutelle des mineurs de Thérèse MANSEL en <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/187726/882">1761</a> à exploiter</div><div>si complément XLVIII 31/7/1763 TILLIER Jacques Charles fils de TILLIER MANSEL avec TIERCELIN Marie Marg <span style="background-color: red;">(geneanet </span><span face="Arial, sans-serif" style="background-color: white; background-repeat: no-repeat; box-sizing: inherit; color: #222222; font-size: 14px; font-weight: 700; line-height: inherit;">Janine LAVAQUERIE</span><span face="Arial, sans-serif" style="background-color: white; color: #222222; font-size: 14px;"> (</span><a href="https://en.geneanet.org/profil/jja2" style="background-color: white; background-repeat: no-repeat; box-sizing: inherit; color: #14705a; display: inline; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: inherit; text-decoration-line: none;">jja2</a><span face="Arial, sans-serif" style="background-color: white; color: #222222; font-size: 14px;">))</span></div><div><br /></div><div>XL 13/2/24 SAGERT Jacques TILLIER M Anne non versé aux AN</div><div><br />
<br />5 enfants de Claude TILLIER (+<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/40905/63" target="_blank">1795</a>) et DUBROCQ Marie (+<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/228284/756" target="_blank">1756</a> point sur les enfants en 1757 (<span style="background-color: lime;">IMG20170128_135536</span>))<br /><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"> AA</span><b> -Marie Anne</b> <b>TILLIER </b>15 ans en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/228284/756" target="_blank">1756</a>-7, 21 ans en 1765 lors de son </div></div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;">mariage 1765/IMG4424 avec <b>Guillaume Louis BERTAUX</b> 23 ans à son mariage en 1765, 28 ans en 68 sur dispense de sa soeur blanchisseur à Chaillot (vers <span style="background-color: yellow;"><b>1740</b></span> +><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/40905/63" target="_blank">1795</a> au décès de son beau-père) ils ont un fils <b>Jean Louis Etienne BERTAUX</b> ép. <b>Anne DELAFOSSE</b></div></div></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0 0 0 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;">- également<b> une fille Marie Louise BERTAUX </b>née 1772/ECR Psse St Pierre de Chaillot, divorcée en 1798/ECR de Claude NICOLIN</div></div></blockquote></blockquote></blockquote><div><div><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"> AB</span> <b>-Genevieve</b> <b>TILLIER </b>14 ans donc vers <span style="color: orange;">1742</span>; elle se marie avec son cousin </div></div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"><b style="background-color: yellow;">Louis Pascal BINET</b> avec <a href="https://www.geneanet.org/archives/registres/view/18635/613" target="_blank">dipense 1768</a> Selon <a href="https://en.geneanet.org/archives/releves/depgn6182/292847" target="_blank">dépouillement</a> en 1768 (Lui 28 ans en 1768 blanchisseur à Chaillot fbg Conférence, elle 26 ans même paroisse) (hypothèse Andriveau un fils Guillaume Pascal x1791 Geneviève RIQUIER elle Marie Gen TILLIER) (CONTRAT DE MARIAGE étude C 1110/1768 A RECHERCHER)</div></div></blockquote></blockquote><div><div><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"> AC</span> <b>-Claude</b> <b>TILLIER </b>10 ans donc né vers <span style="color: orange;">1746</span><br /><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"> AD</span> <b>-Toussaint</b> <b>TILLIER </b>9 ans en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/228284/756" target="_blank">1756</a> donc né vers 1747, </div></div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;">x 11/08/1774ECR St Pierre de Chaillot avec Marie Jeanne MARTIN</div></div></blockquote></blockquote><div><div><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"> AE</span> <b>-Jean</b> <b>TILLIER </b>3 ans en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/228284/756" target="_blank">1756</a> donc vers <span style="color: orange;">1753</span> ou 1754, </div></div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;">CM 1777/IMG6624 avec Louise <b>SORIN</b></div></div></blockquote></blockquote><div><div><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II</span><span style="font-family: arial; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"> AF</span> <b>-Marie Jeanne</b> <b>TILLIER</b> 15 jours en 1756, 6 semaines<br />
<span style="color: red;">à investiguer :</span></div><div><span style="color: red;">il y a un Nicolas TILLIER fils de Claude à son décès, 40 ans en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/40905/63" target="_blank">1795</a> blanchisseur à Nanterre!</span><br />
et <b>Noel FAUCHEUR</b> fils du premier lit (oncle <b><span style="color: red;">Toussaint DUBROC</span></b>), vivant en 1765 au mariage Bertaux tillier, a priori me p^cheur sur la Seine selon <span style="background-color: lime;">IMG20170128_133846</span><br />
<br />
((affaire 1755 du mariage de François Fils <span style="background-color: lime;">IMG20170128_144546 consentement</span>))<br />
<br /><br />Mariage LEFRANC DOUBLET (CAIL LEFRANC) <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/12211/362">1850</a> chez Me Amy à exploiter</div><div>achat du terrain du futur hôtel CAIL <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/19493/523">1862</a><br /><br />
<div>
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">++++++++</b></span>
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><br /></b></span><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">Belle famille Bertaud :<br /></b></span>
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">Marie Anne TILLIER (veuve en an XII) ép. Guillaume Louis Bertaux</b></span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">fils Jean Louis Etienne BERTAUX compagnon menuisier, grande rue à Chaillot n°11, selon acte du 12 fructidor an XII <span style="background-color: lime;">IMG6678</span> épouse an XII Anne DELAFOSSE</b></span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">autre fils (frère) Nicolas Claude BERTAUX </b><span style="font-size: small;">cultivateur à Chaillot au Bouquet des Champs</span></span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">autre fils (frère) Jean Baptiste BERTAUX </b><span style="font-size: small;">journalier à Chaillot grande rue n°92</span></span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"><span style="color: red;">Référence</span>?</span></span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><br /></b></span>
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><br /><br />ce qui suit ci-dessous est une ébauche d'autres branches TILLIER non raccrochées à la branche ci-dessus.<br />-----------<br />-----------</b></span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">A TRANSCRIRE</b></span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">Acte de partage <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/319221/17" target="_blank">1688</a> listant les 6 parties héritiers</b></span><br />
<span style="font-size: xx-small;">act </span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/186712/357" target="_blank">acte 167x trop difficile à lire</a></b></span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><br /><u>BRANCHE TILLIER-LEBERT</u><br />Ayeul TIILIER dont succession <b><b><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/319221/17" target="_blank">1688</a> :</b></b><br /></b></span><br /></div></div><div><div>
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">- 1/6 <span style="background-color: yellow;">Nicolas TILLIER</span> </b><span style="font-size: small;">pecheur (puis Me pecheur à engins) </span><span style="font-size: small;"><u>dmt coline de Passy</u></span><b style="font-size: medium;">, </b><span style="font-size: small;">marié en secondes noces en CM <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/309879/3" target="_blank">1689</a> </span><span style="font-size: small;">(sans que soit précisé sa filiation, mais avec son frère et b-frère comme témoins) (présent <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/82216/361" target="_blank">1693</a>, décédé avant</span></span><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/357906/89" target="_blank">1711</a><span style="font-size: small;">) avec</span><b> Antoinette BARBET (elle SIGNE en <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/185244/498">1716</a> mais pas en <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/357906/89">1711</a>), lui décédé avant <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/185244/59">1701</a><</b><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/357906/89" target="_blank">1711</a><b><<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185244/498" target="_blank">1716</a>.</b></div><div>
<span><b style="font-size: medium;"> Avec BARBET : </b><span><span style="font-size: x-small;">(3 MINEURS VIVANTS EN <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185244/498" target="_blank">1716</a> listés avec oncles et cousins) </span></span><b style="font-size: medium;">:</b></span></div></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">- 1/3m Marguerite TILLIER</b></span></div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><b>- 2/3m Jean TILLIER</b></b></span></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><b>- 3/3m Nicolas TILLIER</b></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><b>- Simon TILLIER x CM </b><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/357906/89" target="_blank">1711</a> avec Marguerite BEAUPIED (<span style="background-color: red;">mystère</span> signature Nicolas (donc pas le père), Claude ou Charles, Simon)</div></blockquote><div><div>
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"> Précédemment marié avec Louise CHARPENTIER (+<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/309879/7" target="_blank">1689</a>) avec qui il a eu trois enfants </b></span><span style="font-size: medium;">mis sous tutelle en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/309879/7" target="_blank">1689</a> et mentionnés sur CM2 <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/309879/4">1689</a>:</span><b style="font-size: medium;"> </b></div></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"><b style="font-size: medium;">- Nicolas,</b> </div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"><b style="font-size: medium;">- Pierre et </b></div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"><b style="font-size: medium;">- Charles TILLIER</b></div></div></blockquote><div><div><b><br /></b>
<span style="font-size: small;">selon hypothèse de l'acte <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185244/64" target="_blank">1701</a>, l'enfant Charles TILLIER (signerait CHAULLE TIVLLE) serait celui marié à Marie DEVILLIERS en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/309879/7" target="_blank">1701</a></span><br />
</div></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">- <span style="background-color: orange;">Pierre</span> TILLIER mineur (serait celui présent en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185244/240" target="_blank">1703</a> et en 1716) et</b></span> </div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><span style="background-color: orange;">- Elisabeth</span> TILLIER mineure (</b><span style="font-size: medium;">elle vraisemblablement femme de</span><b style="font-size: medium;"> Pierre MORIN en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185244/498" target="_blank">1716</a> mais pas sûr et , (hyp sur l'acte de tutelle des enfants de son frère <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185244/240" target="_blank">1703</a>, elle est listée à tort Marguerite TILLIER femme Pierre Morin) veuve de lui en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/184889/17" target="_blank">1731</a> ><span style="background-color: #fce5cd;">xxxxxx Simon Jean TILLIER & Madeleine TILLIER ÉPOUSE Jacques LEBERT & </span></b></span><b style="font-size: medium;"><span style="background-color: #fce5cd;">Marguerite </span></b><b style="font-size: medium;"><span style="background-color: #fce5cd;">LEBERT</span>, et (<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18402/383" target="_blank">1742</a>) ayant un fils de lui selon acte <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18402/383" target="_blank">1742</a> Remy MORIN), enfants de Pierre décédé et Nicole LEBERT sa <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/186712/357" target="_blank">première femme</a></b></div></div></blockquote><div><div><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><div style="font-weight: 400;"><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><b>- 1/6 Pierre TILLIER (+) </b></b></span></div></b></span></div></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div><span><span><div style="text-align: left;"><span><span><span>x avec Nicole <b>LEBERT</b>(+) ils ont</span> (2) enfants mineurs en </span></span><span><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/319221/17" target="_blank">1688</a></span></div></span></span></div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><blockquote style="border: medium none; font-weight: 400; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><b>- 1/2 <span style="background-color: #9fc5e8;">Pierre TILLIER</span>. <span style="background-color: red;">??</span>il serait le Pierre TILLIER de <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364227/429">TILLIER LAMBERT</a> <span style="background-color: red;">??</span>car sa fille a un oncle Rémy mais oncle JeanT et oncle Pierre MORIN et cousin Jacques LEBERT</b></div></blockquote></b></span></div><div><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><blockquote style="border: medium none; font-weight: 400; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><b>- 2/2 Elisabeth TILLIER</b></div></blockquote></b></span></div></blockquote><p><br /></p></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><div><span style="background-color: #9fc5e8;"><b>Pierre TILLIER</b> et <b>Catherine LAMBER</b>T marient (décédés vers 1727?)</span></div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><span style="background-color: #9fc5e8;">- <b>Marie Elisabeth TILLIER</b> (+<a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/358478/631">1744</a>) à Denis <b>DESCOINS</b> Me pêcheur sur la RS en 1744 (décédé 1746 alors que 2nde épouse enceinte, remarié à une NOBLET en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/358478/676">CM1745</a> selon <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/358476/148">succession TILLIER-D</a>, reste une maison en commun), CM <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/364227/429">1718</a>/429 (oncles Jean et Remy), 3 enfants mineurs (1744/640 frais de maître d'école)</span></div></blockquote></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><span style="background-color: #9fc5e8;">- Marie Madeleine DESCOINS 20 ans en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/358478/631">1744</a> donc o1724 (SIGNE), ép Nicolas SéJOURNé, vigneron à Chaillot fbg de la conférence selon succession <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/358476/148">1747</a></span></div></blockquote></blockquote></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><span style="background-color: #9fc5e8;">- Remy DESCOINS 19 ans en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/358478/631">1744</a> donc o1725 SIGNE</span></div></blockquote></blockquote></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="background-color: #9fc5e8;">- <b>Louis denis DESCOINS </b>16 ans en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/358478/631">1744</a> donc o1728) SIGNE</span></blockquote></blockquote></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><span style="background-color: #9fc5e8;">- <b>Marie Anne TILLIER</b> (SIGNE) décédée entre 1737 et 1754</span></div></blockquote></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><span style="background-color: #9fc5e8;">x mariée à François <b>DE LANCLOST</b> ou DLANCLOS CM <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364234/219">1726</a> (frère Rémy) (Charles sur acte de 1744 et sur CM2 de 1737, IAD réf 1736), lui blanchisseur de linge à Passy</span></div></blockquote></blockquote></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><span style="background-color: #9fc5e8;">- (1/1m) une fille Marie Anne Thérèse DLANCLOS mineure et décédée en <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/356887/136">1737</a></span></div></blockquote></blockquote></blockquote></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><span style="background-color: #9fc5e8;">x remariée CM2 <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/356887/136">1737</a> à <b>Louis JULLIN</b> maître pêcheur sur la RS à Chaillot fbg de la Conférence à son mariage, puis blanchisseur de linge en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/187726/118">1754</a></span></div></blockquote></blockquote></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><span style="background-color: #9fc5e8;">- <b>Marie Thérèse JULLIN </b>fille de 15 ans en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/187726/118">1754/118</a> lors émancipation <span>où sont cités nombreux cousins : Charles TILLIER petit cousin, Nicolas TILLIER pêcheur et juré de la C, cousin germain, Charles TILLIER, cousin g, Pierre François LOMBARD</span></span></div></blockquote></blockquote></blockquote></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="background-color: #9fc5e8;">- <b>Rémy TILLIER</b> au mariage de sa soeur mineure en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364234/219">1726</a> (NESIGNE PAS en 1744), <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/358476/160">reçu</a> maître pêcheur du vivant de ses parents, à Chaillot en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/358478/676">1745</a></span></blockquote></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><p><span style="background-color: #9fc5e8;"> il y a un couple Rémy T x DUMONT mais pas de filiation pour raccorder</span></p></div></blockquote></blockquote><div><p><br /></p><p><br /></p><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"><span><span>x et avec Catherine <b>HUBERT </b>(veuve en seconde noce)</span></span></div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">- 1/1 <span style="background-color: orange;">Remy</span> TILLIER </b></span><b>(mineur en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/319221/17" target="_blank">1688</a>, serait celui présent en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185244/240" target="_blank">1703</a> et aussi sur cet acte <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185244/233" target="_blank">1703-2</a> aurait donc eu une fille Catherine TILLIER avec Marie Anne PARCOVILLE (+) et encore présent en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185244/498" target="_blank">1716</a> ) </b><b>fils de Pierre donc petits enfants de Pierre</b>T</b></span></div></blockquote></blockquote><p><b><<<< Antoine LEQUILLIER, cordier, et Marie TILLIER, ont fille Marie LEQUILLIER 70 ans en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/31031/38" target="_blank">1731</a> tante à la mode de Bretagne à son décès et autre fille Elisabeth aussi dcd en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/31031/47" target="_blank">1731</a>>>>></b></p><div><div><br />
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">- 1/6 <u><span style="background-color: yellow;">Marguerite </span><span style="background-color: white;">TILLIER</span> et Jean LEBERT</u> </b><span style="font-size: small;">blanchisseur de linge, lui</span></span><span style="font-size: small;"> présent en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/309879/7" target="_blank">1689</a> au mariage de son b-frère (et en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/82216/361" target="_blank">1693</a>) , peut-être plusieurs filles (Marie Elisabeth Marguerite) listées dans acte de testament <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/298329/231" target="_blank">1716</a></span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">- 1/6 <span style="background-color: yellow;">Madeleine</span> TILLIER</b><span style="font-size: small;"> (info elle ou lui décédée en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/321437/39" target="_blank">x1716x</a>) </span><span style="font-size: small;">et<b> </b></span><b style="font-size: medium;">Simon MAGNY </b><span style="font-size: small;">pêcheur à engins, à Paris rue du Bacq? elle veuve sur acte de <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/321437/40" target="_blank">1734</a> <b>; </b></span><span style="font-size: small;">voir Arch Nat donation mutuelle en <a href="https://www.siv.archives-nationales.culture.gouv.fr/siv/rechercheconsultation/consultation/ir/consultationIR.action?irId=FRAN_IR_005845&udId=d_2_37&details=true&gotoArchivesNums=false&auSeinIR=true&formCaller=GENERALISTE&fullText=tillier%20magny">1678</a> grande rue du Bac, Psse St Sulpice <span style="background-color: red; font-weight: bold;">vérifier cohérence si c’est la même Madelaine car autre couple car 1734 LEBERT, fille Geneviève LEBERT</span></span></span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">- 1/6 <span style="background-color: yellow;">Elisabeth</span> TILLIER (+<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/82216/361" target="_blank">1691</a>) femme Adrien BERNARD jardinier à Chaillot, ils ont une fille Magdelaine BESNARD </b><span style="font-size: small;">(5 ans en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/82216/361" target="_blank">1693</a> à sa mise sous tutelle)</span></span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">- 1/6 <u><span style="background-color: yellow;">Jean</span> TILLIER</u> </b><span style="font-size: small;">aussy pecheur à engins (SIGNEx3 dont <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/309879/3" target="_blank">1689</a> <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/82216/361" target="_blank">1693</a> et 1708 et <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/310994/72" target="_blank">1711</a>), présent en 1689 au mariage de son frère, comparant en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185244/498" target="_blank">1716</a>, a</span><b style="font-size: medium;"> une fille </b><span style="font-size: small;">héritière de sa tante Louise Madeleine (acte test <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/298329/231" target="_blank">1716</a>) selon analyse de la signature et paraphe, c’est Jean TILLIER mtre pêcheur à engins époux <b>Marguerite MORIN</b> (vu sur acte <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/310994/72" target="_blank">1711</a>)</span></span><br /></div></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;">
Le couple a une fille <b>Madeleine TILLIER</b> (+<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/321437/30" target="_blank">1734</a>) fille de Jean TILLIER et Marguerite MORIN épouse CM <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358425/83" target="_blank">1708 (il y a un Claude/Charles TILLIER qui signent) </a><b>Jacques LEBERT</b> (+apres 1713, avant 1734) marchand carrier</div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;">
ils ont une unique petite-fille émancipée d'âge en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/228283/546" target="_blank">1734</a> (16 ans en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/321437/30" target="_blank">1734</a>) <b>Geneviève LEBERT</b> (figure un Jean TILLIER cousin issu germain)</div></div></blockquote></blockquote><div><div style="text-align: left;"><b>- X Louise <span style="background-color: yellow;">Madeleine</span> TILLIER (</b><b>testament en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/298329/231" target="_blank">1716</a> listant les enfants de ses deux frères Jean et Nicolas et des nièces) décédée avant <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/185244/498">1716</a> (acte de sa succession)</b></div></div><p><br /> </p><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"> </div></div></blockquote></blockquote><div><div>
?voir la rente au nom de Jean TILIER <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/321437/38">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/321437/38</a><br />
<span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"><br /></span></span>
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">???? (Louise Madeleine vve MARGUIERET testament en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/298329/231" target="_blank">1716</a>)</b></span>
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">chacun pour un sixième</b></span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">et les enfants pour un autre sixième</b></span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><br /></b></span>
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">??? Il y a un Claude TILLIER qui signe en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358425/83" target="_blank">1708</a> ??? analyser les témoins parents</b></span><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><br /></b></span>
Louise Madeleine soeur de Nicolas décédée avant 1716<br />
Jean TILLIER vivant en 1716 frère de Nicolas<br /><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><br /></b></span>
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><br /></b></span>
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">nota BARBET non relié :</b></span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"></b></span><br />
<div style="border: 0px none; box-sizing: border-box; font-family: verdana, arial, helvetica, sans-serif; font-size: 11.76px; line-height: 15.288px; margin-bottom: 11px; margin-top: 11px; padding: 0px 0px 0.1em; vertical-align: bottom;">
L. <span class="highlight" style="background-color: #ffff70; background-image: url("../images/stripes/stripes_10_w.png"); border-bottom-left-radius: 3px; border-bottom-right-radius: 3px; border-radius: 3px; border-top-left-radius: 3px; border-top-right-radius: 3px; border: 0px none; box-sizing: border-box; font-size: 11.76px; line-height: inherit; margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: bottom;"><span class="highlight" style="background-image: url("../images/stripes/stripes_10_w.png"); border-bottom-left-radius: 3px; border-bottom-right-radius: 3px; border-radius: 3px; border-top-left-radius: 3px; border-top-right-radius: 3px; border: 0px none; box-sizing: border-box; font-size: 11.76px; line-height: inherit; margin: 0px; padding: 0px; vertical-align: bottom;">Barbet</span></span>, ingénieur en chef de la société Cail à Paris, désire selon le souhait de sa mère léguer la collection de tableaux de celle-ci au musée du Louvre ou à celui de Rouen ; 1886, 26 mars-14 mai.[8p.] (14 mai 1886)</div>
<div>
<br /></div>
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><br /></b></span>
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><b><u>BRANCHE TILLIER-DEVILLIER(-LOMBARD)</u></b><br /></b></span>
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">---------<br />---------------------------------------------------</b></span>
<span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;">acte7842 et <u>dispense</u></span></span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;">selon acte de <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358479/525" target="_blank">1737</a> : le père de Nicolas TILLIER donc arrière grand-père est Pierre TILLIER épouse Geneviève CHARLES</span></span></div><div>Pierre TILLIER Et Geneviève CHARLES</div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br />
<span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"><br /></span></span>
<span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"><u style="font-weight: bold;">grand-père Nicolas TILLIER </u>(selon acte <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358479/525" target="_blank">1737</a> il n'aurait que deux héritiers or il a plusieurs enfants???)</span></span></div><div><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"><u style="font-weight: bold;"> et aussi Jean </u><u>(grand oncle en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185244/622" target="_blank">1719</a> me pêcheur)</u><b style="text-decoration: underline;"> </b></span></span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"><b style="text-decoration: underline;"><br /></b></span></span>
<span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"><u><b>père : </b></u></span></span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"><u><b>Charles TILLIER </b>(<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185244/550" target="_blank">1715</a> Me pêcheur et xxx?, <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185244/502" target="_blank">1716</a> femier du bac des Invalides, SIGNE CHAULE TILLIE, </u></span></span><span style="font-size: small;"><u>sur acte 1719 geneanet maitre pecheur et fermier du bac Invalides</u></span><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"><u>)</u> <b style="text-decoration: underline;">(hyp2 <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358479/736">+1725 (réf.)</a> épouse Marie Madeleine DEVILLIER</b> en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358479/736">1701 (réf.)</a> (veuve en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/205" target="_blank">1744</a>, testament en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358476/256" target="_blank">1748</a>, elle se remarie en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358479/736">1725</a> (réf.)?<u> e à </u><span style="color: red; font-weight: bold; text-decoration: underline;">Antoine Robert MORIN</span><span style="text-decoration: underline;">, blanchisseur de linge (</span><b style="text-decoration: underline;">selon acte </b><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/36501/83" style="font-weight: bold; text-decoration: underline;" target="_blank">1731</a><b style="text-decoration: underline;"> et selon </b></span></span><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/128">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/128</a> et <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18402/109" target="_blank">1739</a>)<span style="font-size: small;"> MORIN veuf de OLLIVIER (<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358479/737">réf.</a>1725) MORIN décédé <span style="background-color: white;">en </span></span><span style="background-color: white;"><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358479/728">1739</a> IL Y A DEUX GENDRES Gabriel LEBERTx Marie MORIN et Etienne OLLIVIER x Marie Jeanne MORIN</span><span style="font-size: small;">) <b style="text-decoration: underline;">et</b></span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"><u style="font-weight: bold;"><span style="color: lime;"><br /></span></u></span></span></div><div><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"><u style="font-weight: bold;"><span style="color: lime;">frère de Charles</span> : </u></span></span></div><div><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"><u style="font-weight: bold;">Jean (gdoncle de PF LOMBARD en 1766, décédé en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/35" target="_blank">1766</a>;</u><span style="font-weight: bold;"> <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/297862/11" style="background-color: #fcff01;">IAD1766</a> et <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/297862/24">suite</a> </span><u style="font-weight: bold;">il a une servante domestique en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/12" target="_blank">1766</a>) blanchisseur de linge à Passy frère qui a deux fils 4 enfants selon <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/184889/338">1742</a> , il est marié </u></span></span><span style="background-color: red;">(supposé contrat de mariage 6 février 1720 étude XL Louis Brouard selon </span><a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/297862/15">réf</a><span style="background-color: red;">. A RECHERCHER)</span><u style="font-weight: bold;">à <span style="color: red;">Marie / Marie Françoise SAGERET +1742 (mais IAD en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/11" target="_blank">1766</a>)</span> </u><u style="font-weight: bold;">selon CM passé en 1720</u><u style="font-weight: bold;"> (<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/15" target="_blank">réf.</a>)</u><u style="font-weight: bold;">, il a acheté une pièce de terrain, <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/16" target="_blank">réf.</a><b>) , i</b></u>l est présent comme grand-père en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/861" target="_blank">1761</a> et <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1104" target="_blank">1763</a></div><div>
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><u> cf. </u></b></span><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/184889/338">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/184889/338</a></div><div>l'ascendance de Marie SAGERET est indiquée sur cet acte de 1739 à analyser : <a href="https://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=358479&page=709">https://www.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=358479&page=709</a></div><div><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"><u style="font-weight: bold;"><br /></u></span></span></div><div>
<span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"><u style="font-weight: bold;">(*1/4)Jean Simon</u><span> (fils de Jean) marchand de vins en 1761 </span><span style="font-weight: bold;">(SIGNE1746 22 ans en 1742 et 43 donc vers o1720-1721 Md de vins, 28 ans en 1749 cabaretier à son mariage à Pantin présent en 1751 décès de son frère, présent en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/861" target="_blank">1761</a>,</span></span></span><span style="font-weight: 700;"> marchand de vins et aubergiste à Passy </span><span>sur acte 1764 et 1766,</span><span style="font-weight: 700;"> </span><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"><span style="font-weight: bold;">confirmé fils de Jean à son décès +1764,</span> puis lors de la succession de son père Jean en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/35" target="_blank">1766</a>) <span style="background-color: red;">CM 11/1749 </span></span></span><span face="Tahoma, Verdana, Segoe, sans-serif" style="background-color: white; font-size: 14.112px; text-align: justify;">LXXV</span><span style="background-color: red;">?</span></div></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;">x1-19/11/1743ECR Marie Françoise GALLU (tous deux présents en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358476/104" target="_blank">1747</a>) témoin de mariage Jean TILLIER frère</span></span></div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;">x2-1749 <b>LHUILLIER Mie Geneviève Jeanne</b> (+10mars<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185535/1123" target="_blank">1790</a>) (ATTENTION présent à son mariage 1790 cousin?? <span style="color: red;">Jacques LEBERT marchand de vins à Passy</span>) </span></span>il y avait 3 enfants <b>MINEURS</b> héritiers pour moitié de leur grand père jean TILLIER en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/35" target="_blank">1766</a></div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><div>ENFANTS DE JEAN SIMON TILLIER et LHUILLIER</div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><div>
Acte de 1764 listant enfant Jean Simon TILLIER (+1764 geneanet) et LHUILLIER, aussi listés en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/11" target="_blank">1766</a> comme héritiers pour <b>moitié</b> de leur gdmère SAGERET</div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><div><span style="background-color: yellow;">Voir</span> <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297861/97">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297861/97</a> <span style="color: red;">**********************</span></div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div>- 1/3m Jean Nicolas François 12 ans en 1764, également listé JNF en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/11" target="_blank">1766</a>, <b>Jean François Nicolas TILLIER </b>journalier à Chaillot en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185535/1123" target="_blank">1790</a></div></blockquote></blockquote></div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div style="text-align: left;"><b>A VERIFIER il y a une Théodore Sophie LEMAITRE épouse de JFN TILLIER, acte de notoriété en an XIII/IMG6652, </b>elle née an 1771 IMG6656, CM PREMIUM</div></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div style="text-align: left;">au moins un enfant de ce couple</div></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div style="text-align: left;"><b>- Jacques Marie TILLIER </b>né le 8 sept 1794, conscrit déserteur en <a href="https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/ark:/40699/e0052ab6cd3b756d/52ab6cd7c0bcc">1814</a></div></blockquote></blockquote></blockquote></blockquote><div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><span style="color: red;">- 2/3m Jean Charles François</span> TILLIER 11 ans, également listé JCF en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/11" target="_blank">1766</a>, <b>François Charles Etienne TILLIER marchand fruitier à Passy </b><b>en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185535/1123" target="_blank">1790</a></b></div></blockquote></blockquote></div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div style="text-align: left;">- 3/3m Etienne Louis TILLIER 9 ans 6 mois, également listé EL en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/11" target="_blank">1766</a>, <b>Louis Etienne TILLIER (renonciation) Mtre patissier à Paris en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185535/1123">1790</a></b></div></blockquote></blockquote></blockquote><div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><div>- (4/4m en 1765) Marie Geneviève 3 mois en 1764, <span style="color: red;">pas mentionnée en 1766, décédée à 18 mois selon <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/297861/97">1765</a></span></div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><br /></blockquote></blockquote><div><div><div><i style="background-color: #01ffff;"><br /></i></div><div><i style="background-color: #01ffff;">1765/10/01 , 12 ans - fils de feu J. Simon TILLIER et de M. G. LHUILLIER. <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/297861/97">-> Voir</a> (mgpperrin)</i></div><div><i style="background-color: #01ffff;">TILLIER, Etienne Louis, 1766/05/23 , Fils mineur de feu Jean Simon TILLIER et de Marie Geneviève Jeanne LHUILLIER. <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/297862/11">-> Voir</a> (mgpperrin)<br />TILLIER, Etienne Louis, 1766/06/04 , fils mineur de +Jean Simon TILLIER et Marie Geneviève Jeanne LHUILLIER. <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/297862/24">-> Voir</a> (perret)</i></div><div><span style="background-color: #01ffff;"><br /></span></div><div><br /></div></div><div><u><b>(*2/4)Antoine </b>(18 ans en 1742 donc né vers 1724), marchand de vins à Autueil en 1749 au mariage de son frère JS, cabaretier <span style="color: red; font-weight: bold;">décédé</span><span style="color: red; font-weight: bold;"> <a href="https://www.geneanet.org/archives/registres/view/184889/830" target="_blank">1751</a></span>, </u> <u> à son épouse </u><b style="text-decoration-line: underline;">Marie Elisabeth RECULE (SIGNE </b><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/861" style="font-weight: bold;" target="_blank">+1761</a><b style="text-decoration-line: underline;">) qui se remarie avec Michel BOUDIN</b><span> <span style="font-size: x-small;">fruitier au chateau royal de la Muette</span></span><b style="text-decoration-line: underline;">)</b><b> xAndriveau 1749 @Auteuil; </b>Antoine confirmé fils de Jean par acte <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/861" target="_blank">1761</a> <span style="color: red;">attention</span> qui est Charles Tilier <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/184889/831" target="_blank">cousin</a>?. lui décédé et laissant une mineure:</div></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;">- Marie Elisabeth<u style="font-weight: bold;"> Thérèse TILLIER </u><u>(11 ans en </u><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/861" target="_blank">1761</a><u>, </u>Marie Elisabeth <u>8 mois en <a href="https://www.geneanet.org/archives/registres/view/184889/830" target="_blank">1751</a> sous tutelle de <a href="https://www.geneanet.org/archives/registres/view/184889/824">Jean</a> (<span style="background-color: #cfe2f3;">y figure Charles TILLIER blanch cousin, Jacques SAGERET pêch cousin</span>), </u>retutelle<u> </u>en<u> </u><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1104" target="_blank">1763</a><u> ). </u>elle a un cousin Charles TILLIER???? sur acte 1751</div></blockquote><div style="text-align: left;"><span style="background-color: #b6d7a8;">CETTE BRANCHE EST ABSENTE DE l'IAD de JEAN TILLIER ayeul, car décédé avant 1766</span></div><div><div><b><br /></b></div><div><div><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;">(*3/4) <b>Marie Thérèse TILLIER</b> (17 ans en 1742 donc née vers 1725) déjà décédée avant <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/35" target="_blank">1766</a>, </span></span>décédé <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/20" target="_blank">IAD1766</a><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;">, épouse de <b>Simon BENOIST</b>, <span style="background-color: red;">(supposé contrat de mariage 25 mai 1751 étude XL selon <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/297862/21">réf</a>. A RECHERCHER)</span> marchand boulanger à Passy (vivant en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/35" target="_blank">1766</a> et <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/11" target="_blank">1766</a>, et à ce moment-là soldat en régiment à Pontoise), a eu une unique fille avec lui, survivante en 1766 :</span></span></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"><b>- (1/1) Marie Thérèse Pascale BENOIST</b>, mineure en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/35" target="_blank">1766</a></span></span><span style="font-size: small;"> (héritière pour moitié de Jean TILLIER son gd père et de sa grand-mère en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/11" target="_blank">1766</a>) elle a pour <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/187726/861">cousins</a> <span style="background-color: #ffd966;">Pierre François LOMBARD et Bertrand Vilmin TILLIER</span></span></blockquote>
<b><div><b><br /></b></div></b><b style="text-decoration-line: underline;">(*4/4) Claude Tillier 16 ans en 1742,</b> décédé avant 1766 selon <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/297862/25">acte</a><b><br /></b><span style="background-color: #b6d7a8;">DONC BRANCHE ABSENTE</span></div><div><br /></div><div><b style="text-decoration-line: underline;">(*??) Jean Tillier en 1743 au mariage de son frère Jean Simon,</b> NE SIGNE PAS ABSENT par la suite</div><div><br /><br /></div></div><div><div>
<span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"><u><b> et (autre frère de Charles) Simon</b> <b>TILLIER</b> (SIGNE maître pêcheur à Passy en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/32489/319" target="_blank">1731</a>, grand oncle du fils de Charles en 1731/319 et <b>cabaretier</b> oncle en 1725 </u>et dejà cabaretier et oncle en <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/185244/622">1719</a>)<b style="text-decoration-line: underline;"> est-ce lui le cavalier???</b></span></span><br /><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><u><br /></u></b></span>
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><u>et </u></b></span><b style="font-size: medium;">(autre frère de Charles ) Nicolas TILLIER </b><span style="font-size: small;">en <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/185244/622">1719</a> listé comme oncle des enfants Tillier-Devilliers, me pecheur à Chaillot</span><br />
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><br /><span style="font-size: xx-small; font-weight: 400;"><b style="font-size: medium;"><u>et </u></b></span><b>(autre frère de Charles: Simon ou Jean ou Nicolas TILLIER ) ont un fils </b></b></span></div></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><b>- Pierre TILLIER </b>maître pêcheur cousin maternel des mineures enfants de Charles en <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/185244/622">1719</a></div></blockquote><div><div><span style="font-size: xx-small;"></span><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><br /></b></span>
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">Et autre soeur de Charles : ??? épouse Jacques LEBERT marchand de vins à Passy, SIGNE, </b><span style="font-size: small;">gd oncle de claude TILLIER en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/32489/319" target="_blank">1731</a></span></span>
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><br /></b></span>
<b><span style="background-color: yellow;">VOIR ET ANALYSER CET</span> ACTE <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/332" target="_blank">1744</a></b><br />
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;"><br /></b></span>
<span><b style="font-size: medium;">Enfants de Charles TILLIER </b><span style="font-size: medium;">maître pêcheur et fermier du bac des Invalides en <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/185244/622">1719</a> (décédé avant 1719)</span><b style="font-size: medium;"> </b><span><span style="font-size: x-small;">(listé en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/33">1766</a> comme beau-p de J. SAGERET)</span></span><b style="font-size: medium;"> et Marie Magdeleine DEVILLIER <span style="color: red;"> A <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/184889/434" target="_blank"><span style="color: red;">ANALYSER</span></a> </span>copropriétaires </b></span><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/129">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/129</a> et mur <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/44">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/44</a>; listés sur acte <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/185244/622">1719</a><br />
</div></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><div><span><b style="font-size: medium;">- (1/5m) Charles TILLIER (</b><span style="font-size: x-small;">hyp2 15 ans en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185244/622" target="_blank">1719</a> donc</span><span style="font-size: small;"> </span><span style="font-size: small;">né en 1704</span><b style="font-size: medium;">) hypothèse 1725 <span style="color: #38761d;">passeur</span> et fermier du bac des Invalides), maître pêcheur en 1731 (+<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/32489/319" target="_blank">1731</a>/319) ép Marie (hyp <a href="https://www.blogger.com/u/1/Si%20les%20recherches%20%C3%A0%20Paris%20ne%20sont%20pas%20simples%20%C3%A0%20partir%20de%201860%20de%20par%20le%20nombre%20d'arrondissements%20parisiens,%20si%20les%20recherches%20sur%20la%20p%C3%A9riode%201792-1860%20sont%20difficiles%20parce%20que%20l'%C3%A9tat%20civil%20reconstitu%C3%A9%20n'est%20que%20partiel,%20les%20recherches%20pr%C3%A9-1750%20sont%20tr%C3%A8s%20compliqu%C3%A9es.%20Il%20faut%20en%20grande%20partie%20s'en%20remettre%20aux%20archives%20notariales%20ce%20qui%20implique%20que%20les%20personnes%20concern%C3%A9es%20aient%20eu%20%C3%A0%20faire%20%C3%A0%20un%20notaire...%20%20%20tentative%20de%20consolidation%20de%20l'ascendance%20TILLIER%20au%20XVIIIi%C3%A8me%20si%C3%A8cle%20:%20%20affaire%20du%20mariage%20de%20Fran%C3%A7ois%20Fils%20IMG20170128_144546%20%20Nicolas%20TILLIER%20et%20Marie%20BLANCHET,%20gros%20Caillou,%20Psse%20de%20Saint%20Sulpice%20en%201711%20%201e%20g%C3%A9n%C3%A9ration%20Ic%20Nicolas%20TILLIER%20pr%C3%A9sent%20au%20mariage%20de%20son%20fr%C3%A8re%20Fran%C3%A7ois%20en%201713,%20confirm%C3%A9%20fr%C3%A8re%20de%20Guillaume%20en%201721,%20demeurant%20au%20gros%20Caillout%20Ib%20Guillaume%20TILLIER%20en%201757%20au%20mariage%20de%20son%20neveu%20et%20filleul%20Claude%20(et%20confirm%C3%A9%20fils%20TILLIER%20BLANCHET),%20mineur%20Me%20p%C3%AAcheur%20et%20marchand%20de%20vin%20en%201718%20(et%20en%201722)%20lors%20de%20son%20mariage%20en%201718%20GENEANET%20avec%20Denise%20Hippolyte%20BRETON%20d%C3%A9c%C3%A8s%20en%201721)%20tjs%20p%C3%AAcheur%20en%201766%20au%20d%C3%A9c%C3%A8s%20neveu,%20a%20eu%20une%20fille%20Marie%20Madeleine%20selon%20acte%20de%20tutelle%201721%20GENEANET%20I%20Fran%C3%A7ois%20TILLIER%20(p%C3%A8re)%20Me%20p%C3%AAcheur%20%C3%A0%20engins%20%C3%A9p.%201713%20Marie%20Genevi%C3%A8ve%20JULIN%20(voir%20CM%20mariage%201713)%20(IAD1759%20GENEANET)%20raccrocher%20MG%20JULIN%20%C3%A0%20la%20m%C3%A8re%20de%20Denise%20H%20BRETON)%20d%C3%A9sistemetn%20de%20mariage%20acte%201751%20avec%20FASSAILLE%20Madeleine%20GENEANET%20confirm%C3%A9%20fr%C3%A8re%20de%20Guillaume%20en%201721%202e%20g%C3%A9n%C3%A9ration%20E%20Enfants%20de%20Fran%C3%A7ois%20TILLIER%20X%20JULIN%20Marie%20genevi%C3%A8ve%20II%20A%20-%20Claude%20TILLIER%20marchand%20p%C3%AAcheur%20et%20blanchisseur%20%C3%A0%20Chaillot%20(remari%C3%A9%20ici%20ou%20IMG20170128_130711;%20a%206%20enfants%20d'avec%20d%C3%A9funte%20Marie%20DUBROCQ%20en%201756%20(IMG20170128-133833%20=%20elle%20veuve%20en%20premi%C3%A8re%20noce%20(CM%20en%201736)%20de%20Aime%20Faucheur%20(+1737%20IAD%20IMG20170128_135536)%20avec%20un%20enfant%20Noel%20mineur%20en%201757)%20puis%205%20seulement%20en%20xx1757%20lors%20remariage%20avec%20Elisabeth%20DUBOIS,%20n%C3%A9%20vers%201716%20car%2041%20ans%20et%20a%20priori%20d%C3%A9c%C3%A9d%C3%A9%20en%201795%20l%C3%A0)%20a%20re%C3%A7u%20un%20compl%C3%A9ment%20de%20la%20succession%20de%20sa%20m%C3%A8re%20(en%20date%20du%2015/6/1759%20IMG8462)%20II%20B%20-%20S%C3%A9bastienne%20TILLIER%20et%20Nicolas%20JULIN%20son%20mari%20(mari%C3%A9s%20avant%201757),%20II%20C%20-%20Charles%20TILLIER%20d%C3%A9c%C3%A9d%C3%A9%20en%201766%20(geneanet%20chapelain%20https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1364?idcollection=187726&legacy_script=/archives/registres/view/index.php&page=1364%20)%20pr%C3%A9sent%20au%20mariage%20de%20son%20fr%C3%A8re%20Claude%20en%201757,%20marchand%20p%C3%AAcheur%20%C3%A0%20Passy%20et%20Marie%20Elisabeth%20SAGERET,%20et%20leurs%20six%20enfants%20(en%201765%20mariage%20de%20sa%20niece%20Tillier%20avec%20Bertaud,%20il%20est%20appel%C3%A9%20Fran%C3%A7ois%20Charles%20et%20est%20le%20seul%20%C3%A0%20Passy)%20II%20D%20-%20Fran%C3%A7ois%20TILLIER%20d%C3%A9c%C3%A9d%C3%A9%20et%20Marie%20Genevi%C3%A8ve%20DEVAUX%20(mari%C3%A9s%20en%201765%20ou%201763)%20%203e%20g%C3%A9n%C3%A9ration%20%20enfants%20de%20Charles%20TILLIER%20SAGERET%20Marie%20Elisabeth%20selon%20acte%201766%20donnant%20les%20%C3%A2ges%20III%20CA%20-%20Charles%20Estienne%20TILLIER%2017%20ans%20et%201766%20donc%20o1749,%20mari%C3%A9%20en%201771%20III%20CB%20-%20Marie%20Anne%20TILLIER%2015%20ans%20demi%20en%201766%20donc%20o1751%20III%20CC%20-%20Marie%20Genevieve%20TILLIER%2013%20ans%207%20mois%20III%20CD%20-%20Marie%20Fran%C3%A7oise%20TILLIER%2012%20ans%207%20mois%20III%20CE%20-%20Margueritte%20TILLIER%209%20ans%20III%20CF%20-%20Louise%20Genevieve%20TILLIER%202%20ans%202%20mois%20%20%20enfants%20de%20Claude%20TILLIER%20et%20DUBROCQ%20Marie%20(point%20en%201757%20(IMG20170128_135536))%20Marie%20Anne%20TILLIER%2015%20ans%20en%201757,%2021%20ans%20en%201765%20lors%20de%20son%20mariage%20IMG4424%20avec%20Guillaume%20Louis%20BERTAUX%2023%20ans%20%C3%A0%20son%20mariage%20en%201765%20(vers%201740%20ou%201742%20+%3E1795%20au%20d%C3%A9c%C3%A8s%20de%20son%20beau-p%C3%A8re)%20ils%20ont%20un%20fils%20Jean%20Louis%20Etienne%20BERTAUX%20%C3%A9p.%20Anne%20DELAFOSSE%20Genevieve%20TILLIER%2014%20ans%20donc%20vers%201743%20Claude%20TILLIER%2010%20ans%20donc%20vers%201747%20Toussaint%20TILLIER%209%20ans%20donc%20vers%201748%2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target="_blank">1725</a> Marie Elisabeth) SAGERET (SIGNE) veuve en 1731 à St Germain des Prés au gros caillou Psse St Sulpice</b></span></div></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">- (1/1) un </b><span style="font-size: small;">enfant</span><b style="font-size: medium;"> Claude TILLIER</b><span style="font-size: small;"> 2 ans</span><b style="font-size: medium;"> en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/32489/319" target="_blank">1731</a>/</b><span style="font-size: medium;">319<b> </b></span><span style="font-size: small;"><span style="color: red; font-style: italic;">ATTENTION JACQUES LEBERT MARCHAND DE VINS GRAND ONCLE DE CLAUDE NON RACCROCHE.</span></span></span></div></div></blockquote><div><div><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">- (2/5m) Marie Anne TILLIER </b></span><span style="font-size: small;"> (hyp2 13 ans en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185244/622" target="_blank">1719</a> donc né en 1706, SIGNE <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/205" target="_blank">1744</a>)</span><b style="font-size: medium;"> </b><b style="font-size: medium;">(hyp 1725)</b><b style="font-size: medium;"> </b><b style="font-size: medium;">femme Jacques SAGERET (</b><span style="font-size: medium;">oncle paternel et maternel en </span><b style="font-size: medium;"><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/32489/319" target="_blank">1731</a>/319) </b><span style="font-size: small;">blanchisseur à Passy vivant en 1725, <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/205" target="_blank">1744</a> (SIGNE), sur </span><span style="font-size: small;">testament </span><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358476/256">1748</a> de sa belle-mère comme <b>maître pêcheur</b>, mentionné An <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/12842/237" target="_blank">VII</a>, hyp confirmée? oncle en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/32489/319" target="_blank">1731</a> de Claude TILLIER serait frère de M Elis SAGERET sa belle-soeur a un oncle garde au bois de <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/32489/319" target="_blank">Boulogne</a> <span style="background-color: yellow;">INVESTIGUER</span>) ont au moins</div></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"><span style="font-size: small;">- une fille <b>Marie SAGERET</b> mentionnée sur testament </span><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358476/256">1748</a></div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"><span style="color: red;">- pourrait laisser aussi un fils Jacques SAGERET fils de Jacques SAGERET </span>vivant en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1105" target="_blank">1763</a> et indiqué comme cousin germain de PF LOMBARD sur la dispense de cosanguinité</div></div></blockquote><div><div><span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;"><b>-Jean TILLIER </b>blanchisseur et oncle de Claude </span></span><span>selon</span><span style="font-weight: bold;"> <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/32489/319" target="_blank">1731</a>/319<b> </b></span><b style="font-size: medium;">(<span style="color: red;">non vu en <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/185244/622">1719</a> ni 1725</span>)</b></div></div><div><div><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">- (3/5m) Marguerite TILLIER </b></span><b style="font-size: medium;"> (</b><span style="font-size: medium;">hyp2 12 ans en <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/185244/622">1719</a> donc née 1707,</span><b style="font-size: medium;"> </b><span style="font-size: small;">SIGNE</span><b style="font-size: medium;"> </b><span style="font-size: small;"><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/205" target="_blank">1744</a></span><b style="font-size: medium;">) (+>1766) </b><span style="font-size: small;">veuve de</span><b style="font-size: medium;"> François LOMBARD </b><span style="font-size: small;">(entre <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/32489/319" target="_blank">1731</a> et <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/205" target="_blank">1744</a></span><span style="font-size: small;">)</span><b style="font-size: medium;"> </b><span style="font-size: small;">cavalier de la maréchaussée de Passy en 1731/319, cavaliser de la maréchaussée de l'île de France </span>en 1768 NOTA : </div></div></blockquote><div style="text-align: left;"><ul style="box-sizing: inherit; color: #222222; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; font-style: italic; line-height: 1.4; list-style-position: outside; margin: 0px 0px 14px 1.1rem; padding: 0px;"><ul><li style="background-repeat: no-repeat; box-sizing: inherit; margin: 0px; padding: 0px;"><span style="background-color: red;">Famille: Pensions sur le Trésor - Maison du Roi - Archives Nationales - Cote O/1/681 (madou)</span></li></ul></ul></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"><span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">- 1 fils <u>Pierre François LOMBARD</u> </b><span style="font-size: medium;">(o ca 1727, +>1789)</span><b style="font-size: medium;"> </b><span style="font-size: small;">lui aussi </span></span><span style="font-size: small;">cavalier de la maréchaussée </span><span style="font-size: small;">de l'île de France</span>, brigade de Passy en 1768 et 1775 cousin germain de Pierre François TILLIER, puis en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/185535/751">1789</a> et <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185535/1123" target="_blank">1790</a> pensionnaire du roi et Md de vin traiteur à Passy. il se marie avec la veuve <b>LHUILLIER Marie Geneviève Jeanne</b> (o ca 1725, +<1789) sous dispense de <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/19321/430" target="_blank">consanguinité 1766 <span style="background-color: orange;">voir les âges sur l'acte pour les témoins</span>.</a> Ils ont au moins un enfant survivant en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185535/1123" target="_blank">1790</a> :</div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;">- Marie Geneviève LOMBARD (ECR75 + 8 février 1808 ou1809 à Passy x CM 4/6/1790 Joseph <b>GOUDIN</b> cuisinier x 2/2/18 Goudin <u>Joseph</u> ou Etienne?) <span style="background-color: white;">(collatéraux GOUDIN sur acte 1809) elle a un cousin Charles Etienne TILLIER à son mariage 1790, 23 ans en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/185535/751">1789</a>, b14/12/1766 ND de la Grace de Passy</span></div></div></blockquote></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"><span style="background-color: white;">- Pierre Joseph, Jean Joseph, Catherine, Etienne GOUDIN (4 en 1809)</span></div></div></blockquote></blockquote></blockquote></blockquote></blockquote><p>nota il y a un Etienne GOUDIN qui se marie en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/364354/7">1830</a> à ND de G de Passy </p><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"><span style="font-size: small;">- 1 fille (supposée) <b>Geneviève LOMBARD</b>, mineure en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/185535/751">1789</a>, épouse <b>Jean François BEAUMONT</b> marchand de vins, vivants en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/861" target="_blank">1761</a> et en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1104" target="_blank">1763</a>, présent au mariage de son beau-f en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/4" target="_blank">1766</a></span></div></div></blockquote><div><div><b style="font-size: medium;">- (4/5m) Bertrand </b><b style="font-size: medium;"> (</b><span style="font-size: medium;">hyp2 7 ans en <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/185244/622">1719</a> donc né 1712<b>, </b></span><span style="font-size: small;">21 ans en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/36501/83" target="_blank">1731</a>, <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/205" target="_blank">1744</a><b>) Bertrand </b></span><b>Villemer TILLIER</b><span style="font-size: small;"><b> </b></span><span style="font-size: small;">mineur en 1725, marié </span><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/36501/83" target="_blank">CM 1731</a> <span style="font-size: small;">à</span><b> Elisabeth (Catherine) PINSON, lui</b><span style="font-size: small;"><b> mentionné Me pêcheur en </b><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/861" style="font-weight: bold;" target="_blank">1761</a><b>, mentionné An </b><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/12842/237" style="font-weight: bold;" target="_blank">VII</a><b> </b></span><span style="font-size: small;">(Marguerite TILLIER veuve LOMBARD confirmés frère et soeur selon <span style="color: lime;">IMG8456</span>) xxx voir ci-dessous</span></div></div><div><div><span style="font-size: small;">-<b> (5/5m)</b> <b>Nicolas TILLIER</b> </span><b style="font-size: medium;"> (</b><span style="font-size: medium;">hyp2 5 ans en <a href="Villemer TILLIER">1719</a> donc né en 1714</span><b style="font-size: medium;">) pas vu en 1721 dc supposé dcd</b></div></div></blockquote><div><div>
<b style="font-size: medium;"><br /></b><b style="font-size: medium;"><span style="background-color: orange;">PINSON : A VERIFIER LES DONNEES </span>veuve de <u>Bertrand Villmin TILLIER</u> voiturier par eau tutrice de </b><br />
<b style="font-size: medium;">- Pierre <u>(Pierre François)</u> TILLIER </b><b style="font-size: medium;">mineur en 1768, marié en 1775 (<span style="background-color: lime;">IMG8072</span>) à Anne Elisabeth GIROUST </b></div></div></div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="font-size: medium;"><span>- Marie Elisabeth TILLIER, o1777 selon IMG/6674 (parrain PF Lombard), fille Pierre François TILLER et Elisabeth GIROUX</span></span></div></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="font-size: medium;">mariage de Marie Elisabeth TILLIER, fille pierre François TILLER et Elisabeth GIROUX à Etienne Joseph HENRY maçon 21 ans??) Elisabeth SERVAULT, IMG/6672 dit fille d'Anne Elisabeth GIROUST</span></div></blockquote></blockquote><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="font-size: medium;"><span>- Jeanne Marie Elisabeth TILLIER, o1783 selon IMG/6670, fille Pierre François TILLER et Jeanne Elisabeth GIROUX confirmé par IMG/6670</span></span></div></blockquote><p><b>- Geneviève TILLIER mineur en 1768</b></p><div><div><div>
<b style="font-size: medium;"><b style="font-size: medium;">- <u>Jacques TILLIER</u> majeur en 1768</b></b><br />
<b style="font-size: medium;">- Charles TILLIER </b><b style="font-size: medium;">majeur en 1768</b><br />
<b>- <u>Jean Germain BARBIER</u> tailleur d'habits et Marie TILLIER sa femme en 1768, mentionnés Marie Elisabeth TILLIER à Passy dans acte Hypothèque AN <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/12842/230" target="_blank">VII</a> et en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/185535/752">1789</a> pour Marie Elisabeth TILLIER sa femme; </b>lui frère utérin d'une DUPEUX sur acte <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/184853/488">1781</a>/487<br />
<b>- x Lucien D'<u>HARDIVILLER?</u></b><br />
<b><br /></b>
<b>Jacques SAGERET blanchisseur de linge</b><br />
<b><br /></b>
<b>defunt Jacques SAGERET ayant pour enfants :</b><br />
<b>Marie Elisabeth SAGERET veuve de Charles TILLIER à Passy</b><br />
<b>Marie Michelle SAGERET fille majeure à Passy</b><br />
<b><br /></b>
<b><br /></b>TILLIER, Charles, 1701/09/27 , Mémoire des dépenses faites par Nicolas TILLIER, tuteur pendant la tutelle de son frère Charles TILLIER. <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/185244/59">-> Voir</a> (mgpperrin)<b><br /><br /><br />titre de proprio</b><br />
<b>https://en.geneanet.org/archives/registres/view/12842/127</b><br />
<b>https://en.geneanet.org/archives/registres/view/12842/182</b><br />
<b>https://en.geneanet.org/archives/registres/view/12842/187</b> descoins reculé<b><br /></b>
<span style="font-size: xx-small;"><span style="font-size: small;">acte <span style="background-color: lime;">IMG7856</span> juin 1768</span></span><br />
<b>??</b><br />
<span style="font-size: xx-small;"><b style="font-size: medium;">Pierre François LOMBARD MdV et PduRoy en 1789 <span style="color: red;">(pb suite à succession an 13 HDD avec un Jean François Nicolas TILLIER) </span>et <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/4" target="_blank">x1766</a> avec Marie Genevieve (-Jeanne) LHUILIER (+1789 selon scellés) sa femme avant veuve de Jean Simon TILLIER, marchand de vins aubergiste en 1764 (+1764) elle tutrice de 4 enfants TILLIER en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/187726/1186">1764</a></b></span></div><div><b>dont</b></div><div><br /></div><div><b><br /></b>
acte <span style="background-color: lime;">IMG<span style="background-color: red;">7857</span></span><span style="background-color: red;"> BAIL DE TERRES*********************************</span><br />
1 fille M. G. LOMBARD 23 ans en 1789 (acte geneanet)<br />
Jean TILLIER ayeul de Jean Simon TILLIER? oui enfants en tutelle selon <span style="background-color: white;">1768IMG</span><span style="background-color: red;">7857</span><br />
<b>Marie Thérèse TILLIER</b> décédée épouse de Simon BENOIST marchand boulanger à Passy dmt à Paris ok (Andriveau x1751 Passy) <span style="background-color: white;">1768IMG</span><span style="background-color: red;">7857</span><br />
leur fille <b>Marie Thérèse Pasehale BENOIST</b> fille mineure <span style="background-color: white;">1768IMG<span style="background-color: red;">7857</span></span> ok<br />
fille pour moitié de l'ayeul maternel Jean TILLIER <span style="background-color: white;">1768IMG</span><span style="background-color: red;">7857 </span>ok<br />
<br />
<br />
<br />
+++++++<br />
<br />
Tante Marie Jeanne TILLIER ép <span style="color: red;"><b>Toussaint DUBROC </b></span>(liens filiation avec Guillaume et marital possible par<span style="background-color: yellow;"> A RAPPROCHER DE</span> L' <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1364" target="_blank">acte</a> 1766)<br />
<div>
Toussaint DUBROC ici mais pas <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/319218/3" target="_blank">d'info</a> sult lien Jean François GREMINY</div>
<br />
Ces informations sont à rapprocher de deux autres actes : un acte listant les héritiers du couple Charles TILLIER x Marie Elisabeth SAGERET et un acte pernicieux d'un couple homonyme!<br />
<span style="font-size: xx-small;">(les 4 enfants de François Tillier sont confirmés dans l'acte d'obligation de 3000" du 11 avril 1783 img 4408)a</span><br />
<span style="font-size: xx-small;">ainsi que dans l'acte de mariage de la fille de Claude TILLIER en 1765 IMG4424</span><br />
<br />
<br /><b><u>
BRANCHE Toussaint TILLIER-MORIN (du bac des Invalides)</u></b><br /><br /></div><div>frère du Gd-père François TILLIER, pêcheur à Chaillot (sur CM 1747 et CM 1751)</div><div>frère du gd-père qui ai un fils <span style="background-color: #d9ead3;">Claude</span> TILLIER pêcheur à Chaillot (sur CM 1747 de sa cousine Marie-Jeanne) SIGNE</div><div>
Gd-Père <u><b>Guillaume</b> <b>TILLIER</b> </u>(maître pêcheur à Chaillot vivant 1747/<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1367" target="_blank">1766</a>/1767) (o vers 1693 car 64 ans Me pêcheur et batelier sur la Seine en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/228284/970" target="_blank">1757</a>)<b> marié (entre 1713? et 1729?) à Anne CHACOU (58 ans en <span style="color: red;">???</span>) </b><span style="font-size: x-small;">avec qui il pêche en 1757</span><br />
<b>A) </b>Marie Anne TILLIER (o vers 1731 car 14 ans en 1745) <span style="font-size: x-small;">(leur fille en apprentissage selon <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/18403/351?">1745</a> auprès de Marie Barbe SAGERET maîtresse couturière femme de Louis PINARD maréchal ferrand)</span> x Nicolas BRETON blanchisseur de linge à Chaillot, listés comme oncle et tante (vivants <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1367" target="_blank">1766</a>), lui <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/57" target="_blank">tuteur</a> de ses neveu-nièce selon acte de tutelle en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1367" target="_blank">1766</a>; <b>Andriveau x1751 Anne TILLIER <span style="font-size: x-small;">fille Guillaume et Anne CHACOU</span> épouse Nicolas BRETON St P de Chaillot</b><br />
<b>B) </b>Marie Jeanne TILLIER <span style="font-size: x-small;">(o vers 1729 car 18 ans en 1747 à son mariage, fille de Anne CHACOU) </span>x 1747 <span style="font-size: x-small;">(CM du 25/09/1747 et. CXVIII</span><span style="font-size: x-small;">)</span> avec Toussaint DUBROC, pêcheur à Chaillot, elle tante (vivant <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1367" target="_blank">1766</a>/1367)</div><div>
<b>C) <span style="font-size: x-small;">(</span></b><span style="font-size: x-small;">Acte <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/50" target="_blank">1766</a>/50 listant enfants)</span> <b><u>Toussaint TILLIER (maître pêcheur à Passy +<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1367" target="_blank">1766</a>) </u></b>(père, confirmé par PV de cadavres 1751 notamment) ép Marie Catherine MORIN, CM référencé <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/54" target="_blank">1754</a>? il est listé comme Toussaint Guillaume TILLIER et Marie Catherine MORIN (elle apparemment a épousé en premières noces Pierre Le Roy selon réf CM <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/55" target="_blank">1751</a>) lui, bail du bac des Invalides selon réf. <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/55" target="_blank">1764</a>, donc <span style="background-color: yellow;">passeur</span>, et passsage de Javel selon <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/56" target="_blank">réf</a>. et pêcheur) <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/57" target="_blank">Nicolas BRETON</a> subrogé tuteur des enfants<br />
acte de tutelle en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1367" target="_blank">1766</a> liste leur 3 enfants mineurs:<br />
</div></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><div><b>1/3 - Michel TILLIER</b> 9 ans en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1367" target="_blank">1766</a>/1367 donc vers 1757 (41 ans en l'an 3) à <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/40905/19" target="_blank">Passy</a> celui-ci se marie selon table <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/33680/437" target="_blank">AN 2</a> (<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/40905/19" target="_blank">1793</a> à Chaillot) avec Angélique Marguerite TANTELLLIER (29 ans en l'an III), ils sont à Chaillot en 1816x, ils ont </div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><div style="text-align: left;">- un fils <b>Jean Michel TILLIER</b> compagnon maçon à Paris, né en 1798 conscrit vivant en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/33729/94" target="_blank">1816x</a> (un frère matelot présumé mort en service) et </div></div></blockquote></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><div style="text-align: left;">- une fille Anne Angélique TILLIER (né en l'<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/40905/19" target="_blank">an III</a> section des champs Elysées, Chaillot)</div></div></blockquote></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><div>
2/3 - <b>Marie Anne TILLIER</b> 4 ans et demi en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1367" target="_blank">1766</a> donc vers 1762</div></div><div><div>
3/3 - <b>Marie Françoise TILLIER</b> 2 ans demi en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1367" target="_blank">1766</a> donc vers 1764</div></div></blockquote><div><div>
<b>D) </b>frère TILLIER qui a un fils</div></div></div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;">- <b>Jacques TILLIER</b> listé comme cousin des trois enfants de Toussaint en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1367" target="_blank">1766</a>/1367</div></blockquote><div><div><div>
<br class="Apple-interchange-newline" /><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/33">1766</a> Toussaint TILLIER sous fermier du bac passeur. l'acte liste la branche TILLIER - LOMBARD !!!!!!<br />
<br />
Selon Andriveau Nicolas BRETON fils de Germain et Marie LEROY première noces 1746 St P de Chaillot. Remariage Anne TILLIé 1751<br />
<br />
<br />
<br />
<b>ok</b><br />
<b>il y a un Guillaume TILLIER 65 ans en 1758 époux Anne CHACOUX, et 58 ans en 1751 soit né en 1697</b><br />
<b>et il a un fils TILLIER Toussaint 17 ans en 1751</b><br />
<b><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/228284/1073">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/228284/1073</a> (témoignage précisant l'âge) en 1758</b><br />
<b><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/228284/229">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/228284/229</a> filiation avec son fils Toussaint TILLIER 17 ans en 1751</b><br />
<b><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/228284/230">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/228284/230</a><br />ok</b><br /><b><br /><br /></b><span style="background-color: red;">A REGARDER<br />
<b>hypothèse fille Marie Anne TILLIER donc sœur Toussaint : https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1367</b></span><br />
<br />
<b><br /></b>
<b><br /></b>
<b>La maison rouge du bas chaillot : </b><br />
<b>https://en.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=228283&page=323</b><br />
<br />
<br />
<br class="Apple-interchange-newline" />
<br />
Cousin Jacques!!<br />
<div>
<br /></div>
<br />
<br />
=========<br />
1787<br />
<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=12842&page=191">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=12842&page=191</a><br />
<br />
*** TOUSSAINT-MORIN</div><div>vue en 1854<br />% Marie catherine MORIN veuve Toussaint TILLIER (elle veuve avec mineure <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/50" target="_blank">depuis d</a>eces 1766, elle fille de Jean MORIN et sa veuve Marie SAGERET listé <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/186714/892" target="_blank">1770</a> et <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/184851/320" target="_blank">1771</a>) elle a une soeur : Marie Hilaire Charles <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/184851/320" target="_blank">MORIN</a> épouse jean louis SAGERET (comme = listé en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/1367" target="_blank">1766</a>/1367), au moins un fils Jean Charles</div><div>% Marie madeleine MORIN veuve jacques SAGERET </div></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;">(deux filles Marie Madeline SAGERET et marie therese SAGERET)</div></div></blockquote><div><div>% Marie elisabeth SAGERET veuve de charles TILLIER<br />% <b>Pierre nicolas</b> SAGERET (o 1745, 15 ans en 1760) blanchisseur de linge à Passy,<br />% Jean charles LEBERT jardinier et marie <b>Genevieve</b> SAGERET (o 1744, 16 ans en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/187726/792">1760</a>), elle Mde laitière rue du roc en 1808, alors veuve LEBERT, fille de Nicolas SAGERET blanchisseur (+) et Marie Catherine DEVILLIER (+) <span style="font-size: x-small;">selon vente 1808</span><br />% Francçois Maurice GREVIN cocher et <b>Marie Catherine</b> SAGERET (o 1753, 7 ans en 1760) (blanchisseuse 27 rue de Chaillot) (se référer à voir ci-dessous</div></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><span style="font-size: xx-small;">- ils ont un fils Pierrre François GREVIN (o 14 Xbre 1783 à Paris) selon <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/82028/109">militaire</a> an 11</span></div></blockquote><div><div>% pierre FRANCOIS blanchisseur de linge à Passy et <b>Marie barbe </b>SAGERET (o 1754 6 ans en 1760) <span style="font-size: xx-small;">(voir généanet <a href="https://gw.geneanet.org/montariol?n=sageret&oc=&p=marie+barbe">montariol</a>)</span><br />% Jean claude SAGERET voiturier et genevieve SAGERET sa femme (elle ou homonyme, veuve en première noce de Simon POULAIN carrier à Chaillot, et en 2e noce de Jacques TIERCELIN blanchisseur selon 1789, elle fille de Geoffroy SAGERET vigneron et Margueritte DEVILLIER à Passy selon même 1789)<br />% Jean charles SAGERET vigneron à Passy (1/3 1790 succ.</div><div>% Jacques charles SAGERET vigneron à Passy encore mineur émancipé par mariage (1/3 1790 succ.<br />% Louis L’EPINE blanchisseur à Passy et Marie Catherine SAGERET sa femme ét XL 24/10/1796 3 Bru V INV (elle 1/3 1790 succ. de Jean Louis SAGERET blanchisseur à Paris et de Marie Hilaire Charlotte MORIN, première femme de Jean Louis SAGERET selon 1789)</div><div>% Jacques Charles SAGERET frère de J Charles et Marie Catherine</div></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;">suppose <span style="background-color: #cc0000;">homonyme marié CM 19 pluv VIII (et. XL?) et supposé partage 4/12/1785 frère et soeur issus suposés de Jean Louis SAGERET et Marie Hilaire Charles MORIN</span></div></blockquote><div><div><br /></div><div><br /></div><div>grands-parents</div><div>Geoffroy SAGERET (IAD10/12/1753 selon 1760/793) et Marguerite DEVILLIERS selon <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/187726/792">1760</a>/792; lui, vigneron en 1737 selon 1737/<a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/358479/527">527</a>; elle a deux frères Nicolas et Jean DEVILLIERS</div></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"> - (1/2) <b>Geneviève SAGERET épouse Jean-Claude SAGERET</b>, blanchisseur de linge à Chaillot, listés en 1760/792</div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;">x premières noces avec Simon POULAIN <span style="background-color: red;">CM 23/11/1744 selon 1760/777</span></div></div></blockquote></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"><span>- oncle mais de quel côté? car pas héritier de Geoffroy</span></div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;"><span>- Louis SAGERET, cousin des 4 en 1760/962</span></div></div></blockquote></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;">- oncle mais de quel côté? car pas héritier de Geoffroy</blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;">- Louis BOUCHER du XXXX, cousin paternel des 4 en 1760/962 </blockquote></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><div style="text-align: left;">- (1/2) <b>Nicolas SAGERET</b> blanchisseur de linge x <b>Catherine DEVILLIERS</b> selon <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/187726/792">1760</a>, et <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/187726/792">tutelle</a> ne savent signer en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/18402/349">1741</a> acte à étudier, mariés <span style="background-color: red;">CM 23/1/1741 chez Marchand</span> <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/187726/776">selon</a> partage des terres?</div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div style="text-align: left;"><div>% <b>Pierre nicolas</b> SAGERET (o 1745, 15 ans en 1760) blanchisseur de linge à Passy,<br />% Jean charles LEBERT jardinier et marie <b>Genevieve</b> SAGERET (o 1744, 16 ans en <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/187726/792">1760</a>/792)<br />% Francçois Maurice GREVIN cocher et <b>Marie Catherine</b> SAGERET (o 1753, 7 ans en 1760) (blanchisseuse 27 rue de Chaillot) (se référer à voir ci-dessous</div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><span style="font-size: xx-small;">- ils ont un fils Pierrre François GREVIN (o 14 Xbre 1783 à Paris) selon <a href="https://www.geneanet.org/registres/view/82028/109">militaire</a> an 11</span></div></blockquote><div>% pierre FRANCOIS blanchisseur de linge à Passy et <b>Marie barbe </b>SAGERET (o 1754 6 ans en 1760) <span style="font-size: xx-small;">(voir généanet <a href="https://gw.geneanet.org/montariol?n=sageret&oc=&p=marie+barbe">montariol</a>)</span></div></div></blockquote></blockquote><div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br />
<br />
1744 disp consanguinite SAGERET LEBERT OLLIVIER<br />
<br />
<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18512/1354">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18512/1354</a><br />
<br />
??? <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/309880/27">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/309880/27</a><br />
========<br />
GREVIN SAGERET</div><div><span face="Arial, sans-serif" style="background-color: white; background-repeat: no-repeat; box-sizing: inherit; color: #222222; font-size: 14px; font-weight: 700; line-height: inherit;">François GUILLET</span><span face="Arial, sans-serif" style="background-color: white; color: #222222; font-size: 14px;"> (</span><a href="https://www.geneanet.org/profil/frncsguillet" style="background-color: white; background-repeat: no-repeat; box-sizing: inherit; color: #14705a; display: inline; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: inherit; text-decoration-line: none;">frncsguillet</a><a aria-describedby="tooltip-lj6czirl1" class="icon-premium-white-small icon-premium-white-small-without-text" data-selector="tooltip-lj6czirl1" data-tooltip="" href="https://www.geneanet.org/premium/?utm_campaign=premium-tunnel&utm_content=arbre-premium-footer&utm_medium=site&utm_source=geneanet#xtatc=INT-1-[arbre-premium-footer]||" style="background-color: white; background-image: url("/public/img/common/icon_premium_white_small.png"); background-position: 0px 50%; background-repeat: no-repeat; box-sizing: inherit; color: #14705a; content: " "; display: inline-block; font-family: Arial, sans-serif; font-size: 14px; height: 16px; line-height: 16px; padding-left: 16px; padding-top: 16px; text-decoration-line: none; vertical-align: middle; width: 16px;" target="_blank" title=""></a><span face="Arial, sans-serif" style="background-color: white; color: #222222; font-size: 14px;">)</span><br />
<br /><br />NOTES PERSONNELLES :</div><div>à faire : 1757<br /><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/364194/67">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/ </67</a><br /><br /><br /> à transcrire dégustation :<br />https://en.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=296771&page=53<br />livret de de blanchissage : https://en.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=297862&page=18<br /><br />A transcrire <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185244/787">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185244/787</a> EN COURS<br /><br />A transcrire en post <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/82216/361">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/82216/361</a> tutelle nominative<br /><br />à étudier liste d’héritiers? : AN <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/12842/237" target="_blank">VII</a> mystère sur patronyme<br /><span>Bertrand Villemer TILLIER pecheur à Chaillot</span><br /><span>Jacques SAGERET à Passy et Marie Anne TILLIER sa femme</span><br /><span>Marguerite TILLIER veuve TRACLARDE/TROCHARD?</span><br /><span>Vve OLIVIER en Chaillot</span><br /><span>et MAUPETIT en Paris</span><br /><br /><br /><br /></div><div><span style="color: blue;"><b>FIN DES NOTES PERSONNELLES<br /></b></span><br /><br /><br /><br /><br /></div></div><div><div>MORIN x NOBLET<br />
Ils sont listés <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/364227/385">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/364227/385</a> en 1718<br />
<br />
Pierre catherine jeanne fils de claude et delaruelle<br />
1673<br />
<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/186712/856">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/186712/856</a><br />
<br />
************************</div><div><b><u>BRANCHE TILLIER-Geneviève CHARLES</u></b><br />
??? non relié<br />
Cm <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/296535/20" target="_blank">1669</a> marguerite TILLIER fille pierre TILLIER (SIGNE) et genevieve CHARLES passeur port nicolas tillier et Pierre TILLIER ses frères. épouse Marguerite CHARLES<br />
1669<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/296535/20"> https://en.geneanet.org/archives/registres/view/296535/20</a><br />
<br /><br /><br /><br /><b>Pierre TILLIER</b> et <b>Geneviève CHARLES</b> ici <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358479/309" target="_blank">1736</a><br />
</div></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><div><b>(1/2) Nicolas TILLIER</b> a pour enfants selon <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358479/525" target="_blank">1737</a>/525</div></div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><div>(1/2)<b> Jean TILLIER </b>frère de Simon, x Marie SAGERET, lui blanchisseur en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/184889/336" target="_blank">1742</a> au décès de son frère Simon (hypothèse peut-être confirmée par <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358479/525" target="_blank">1737</a>)</div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><div>
B) <b>Simon TILLIER</b> (SIGNE,+22/10/<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/184889/336" target="_blank">1742</a>) cavalier de maréchaussée, brigade de Passy époux de <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/406" target="_blank">1745</a> Francoise MEUNIER (à Passy en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/184889/336" target="_blank">1742</a>, elle <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/161" target="_blank">marchande de vins</a>, cabaretière en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/54" target="_blank">1743</a>), elle testament 1765/IMG4430, sa veuve de avec <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/184889/336" target="_blank">enfants</a> mis sous tutellle:</div></div></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><div><b>- Marie Françoise TILLIER </b>17 ans en 1742, <span style="background-color: #cfe2f3;">selon1765/IMG4430 décédée avant 1765, femme de Pierre François Betont ou BETONT famille par à voir notamment <a href="https://en.geneanet.org/archival-registers/view/889666/151">1777</a> A VOIR</span></div></div></blockquote></blockquote></blockquote></div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><div style="text-align: left;"><span style="background-color: #cfe2f3;">- 6 petits-enfants sur testament</span></div></div></blockquote></blockquote></blockquote></div></blockquote><div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><div><div><b>- Serge TILLIER </b>14 ans en 1742</div></div></blockquote></blockquote></blockquote><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><b>- <span style="background-color: #cfe2f3;">autre enfant non listé sous tutelle Marie Thérèse TILLIER</span></b><span style="background-color: #cfe2f3;">, selon1765/IMG4430 décédée avant 1765, femme de Jean François Hemery sellier de Mgr le duc d'Orleans</span></blockquote></blockquote></blockquote></div><blockquote style="border: none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px;"><div><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><blockquote style="border: medium none; margin: 0px 0px 0px 40px; padding: 0px; text-align: left;"><span style="background-color: #cfe2f3;">- Marie Anne Françoise Hemery listée sur testament</span></blockquote></blockquote></blockquote></div></blockquote><div><p><br /></p><div><div>
<span style="background-color: yellow;">Toussaint TILLIER, neveu de Simo</span>n TILLIER en <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/184889/336" target="_blank">1742</a><br />
Marie Anne TILLIER et Jacques SAGERET nièce de Simon<br />
Charles TILLIER neveu de Simon<br />
aussi <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358479/525" target="_blank">Jean</a> TILLIER blanchisseur de linge en 1737 (NE SIGNE PAS) et sa femme Marie SAGERET, fils de Nicolas, fils de Pierre TILLIER et Geneviève CHARLES, mention LAMBERT et NOBLET<br />
<br />
<span style="background-color: yellow;"><span style="color: red;"><b>AUTEUIL</b></span> Pierre Lebert et jeanne <b>TILLIER</b> ont une fille 1713 qui se marie, second mari de la mère NOBLET</span><br />
<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/364227/47">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/364227/47</a><br />
A rapprocher de <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/364234/665">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/364234/665</a>. Mention Veuve Dufriche (<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/364234/674" target="_blank">1713</a>)<br />
<br />
Tillier nicolas de vaugirard<br />
Et avant<br />
<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/33149/171">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/33149/171</a><br />
<br />
<span style="background-color: yellow;">Lombard à voir</span><br />
<br />
Et verifier <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/35">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297862/35</a><br />
Et verifier <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/861">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/861</a><br />
<br />
Hubin 1676<br />
Pierre tillier nicolas tillier<br />
<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/186712/355">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/186712/355</a><br />
<br />
<br />
Nota succession devilliers<br />
<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/254">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/254</a><br />
Origine maison et parts <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/205">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/18403/205</a><br />
<br />
<br />
Tellier ou tillier jean nicolas tillier parent en 1810 <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297871/71">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/297871/71</a></div>
</div></div>Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-66353949756713339392020-04-13T04:33:00.001-07:002020-04-13T04:33:33.287-07:001787 dispense de gras Lombard<br />
Document en ligne sur GENEANET et qui concernne vraisemblablement un cousin descendant des TILLIER et résidant à Passy<br />
<br />
<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185535/250">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/185535/250</a><br />
<br />
<br />
Monsieur le Prevost de la Prevoté de Passy<br />
ou Monsieur le Lieutenant<br />
<br />
<br />
Supplie humblement Pierre François<br />
Lombard Md (marchand) de vins traitteur en ce lieu<br />
de Passy.<br />
Disant qu'il a plusieurs malades, infirmes<br />
et convalescents qu'il est obligé de nourrir et<br />
de leur fournir du gras prendant le careme<br />
pour quoy il requiert qu'il nous plaise luy<br />
accorder la permission de les traiter en gras<br />
pendant le Careme de cette année aux offres?<br />
qu'il fait de se conformer aux ordonnances<br />
de police a ce sujet et vous serez justice<br />
(signé)<br />
<br />
===Soit fait ainsy qu'il est requis fait le vingt<br />
trois fevrier mil sept cent quatre vingt<br />
sept===<br />
<br />
Soit communiqué au procureur fiscal<br />
fait le vingt trois février mil sept cent<br />
quatre vingt sept<br />
(signé illisible)<br />
<br />
Vu la requette ci dessus l'ordonnance<br />
<br />
---/---<br />
<br />
de soit a nous communiqué etant ensuitte<br />
nous n'empechons pour Monsieur<br />
Seigneur de ce lieu et justice qu'il soit<br />
permis au suppliant de donner a<br />
manger en gras pendant le Careme<br />
dans un lieu séparé de la boutique<br />
ou il donne a boire et manger au<br />
public et ce jusqu'au samedi d'avant<br />
le dimanche des Rameaux inclusive=<br />
=ment et sans pouvoir etaller a meme?<br />
viandes dans sa boutique ni sur<br />
la rue sous les premières? portées<br />
par les ordonnances<br />
fait le vingt quatre fevrier<br />
mil sept cent quatre vingt sept<br />
(signé illisible)<br />
<br />Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-56344681840728367872020-04-09T14:20:00.003-07:002020-04-09T16:59:37.177-07:00Plainte Tillier contre Tillier 1759<br />
C'est chaud à Chaillot en 1759 ...<br />
On connaissait l'attitude du père Leroux de ne pas s'en laisser compter (<a href="https://genduffieleroux.blogspot.com/2013/11/leroux-dufie-et-la-loi-leroux-dufie-and.html" target="_blank">publication de jugement</a> et <a href="https://genduffieleroux.blogspot.com/2015/04/1851-mitoyennete-leroux-dufie.html" target="_blank">mitoyenneté</a>), re-voici les Tillier (après l'épisode de <a href="https://genduffieleroux.blogspot.com/2016/04/essai.html" target="_blank">1758</a> entre beaux-frères, c'est a priori le même Nicolas Julin).<br />
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; vertical-align: baseline; white-space: pre;">On notera le coût du dépôt de plainte (30 sols) et l'heure tardive (8h du soir), </span><span style="font-family: "arial"; font-size: 11pt; line-height: 1.38; white-space: pre;">le fait que le gendre soit du côté du père, la mention à une antériorité, l'utilisation du terme paricide (que j'ai eu du mal à déchiffrer) et surtout l'insulte de voleur (!)</span><br />
<br /></div>
<br />
<br />
acte disponible en ligne :<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/459" style="text-decoration: none;"><span style="background-color: transparent; color: #1155cc; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: underline; vertical-align: baseline; white-space: pre;">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/187726/459</span></a></div>
<b id="docs-internal-guid-269ee8f5-7fff-93e7-52d3-a54c6a6306c8" style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<b style="font-weight: normal;"><u>Retranscription :</u></b><br />
<b style="font-weight: normal;"><u><br /></u></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Plainte de Fçs Tillier</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Pere et Nas Jullin</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Du</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">1e avril 1759</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">1 ex</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">L’an mil sept cent cinquante neuf le premier jour</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">D’avril huit heures du soir environ au greffe et</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">pardevant nous Jean Bourget avocat au parlement</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">prevost juge civil criminel et de police de la prevoste</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de Passy lez Paris assistée de notre greffier ordinaire</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Sont comparus François Tillier pere et Nicolas</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Jullin tous deux m.e pescheurs sur la riviere demeurant</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">au bas Chaillot les quels nous ont rendus plainte et</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">dits que il y a environ deux heures estant allés</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">ensemble dans ce lieu de Passy et ayant entrée pour</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Boire chopinne ensemble &? Chez la Vve Geoffroy</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Sagerest le nommé François Tillier fils y seroit</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">venu ensuitte et se seroit mis a boire seul a une</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">table et quelques moments apres auroit commencé a</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">insulter son pere et son beau frere comparants</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">par des parolles dures et insultantes a son ordinaire</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">que led François Tillier pere ayant voulu luy imposer</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">silence il s’est emporté contre luy en perdant tous</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">respects le traitant de coquin, de volleur et autres</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">parolles dures et injurieuses ainsy qu’aud. Jullin</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">son beau frere que led. Jullin craignant les suittes</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">facheuses de la querelle dud. François Tillier fils</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">qui a cy devant eu la hardiesse de maltraiter</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">son pere, seroit allé chez le Sr Baron commandant</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">la brigade de marechaussée en ce lieu afin d’avoir</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">du secours pour empecher led. François Tillier</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">fils d’exercer ses mauvaises cruautés paricides </span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Premiere page</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">—-/—-</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Pendant ce temps le mesme François Tillier fils n’a cessé</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">d’insulter son pere disant qu’il nencoureroit que de sa</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">main et quil le maltraiteroit ouil le trouveroit</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">que la cavallerie de mareechaussé estant arrivée</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">ayant trouvé led. Tillier fils qui menassoit et</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">insultoit son pere et son beau frere l’auroit</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">voulu saisir au collet pour le conduire chez l officier(?) que</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">alors lenommé Janot blanchisseur a Chaillot s’est levé</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de la table ou il estoit et s’est jetté aud. Jullin plaignant</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">en disant que luy et le pere Tillier estoit deux coquin de faire</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">arrester led. François Tillier fils et quelqueautres injures</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Et comme led. Tillier pere ainsy que led. Jullin comparans</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">connoissant la mauvaise conduitte et la brutalité dud. </span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">François Tillier fils quils ont deja malheureusement trop eprouvée</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Ils sont venus nous rendre leurs plaintes des faits cy dessus nous</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">requerant quil nous plaise leurs en donner et leur permettre</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de faire informer pardevant nous des faits y contenus a</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">circonstance et dependences? pour l’information faite et</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">communiqué au procureur fiscal dont ils requierent la sanction?</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">etre par luy requis ce quil avisera et par nous ordonnée</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">ce quil appartiendra et ont tous deux declarés ne seavoir</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Ecrire ny signer de ce interpellés</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Sur quoy nous prevost et juge susdits avons auxdits</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">comparants donné acte de leur plainte leur permettons</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de faire informer par devant nous des faits y contenus</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">circonstances et dependences pour l information faitte</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">et communiqué au procureur fiscal et par luy requis</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">lequel avisera et par nous ordonné ce qu il appartiendra</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">fait led jour et an et avons signés avec notre greffier</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Deuxième page</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Taxé a nous trente sols xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Et a notre greffier compere</span></div>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Son expedition trente sols</span></div>
<div>
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;"><br /></span>
<br />
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;"><br /></span>
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;"><br /></span>
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">nota IMG8427</span></div>
Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-37993813509369815122020-04-07T14:17:00.000-07:002020-04-11T10:29:17.015-07:00Tillier 1766Geneanet propose en ligne des actes de la prévôté de Chaillot qui m'ont échappé lors de mes visites aux Archives nationales.<br />
<br />
Voici la retranscription d'un acte "fondateur" datant de 1766 et présentant deux générations complètes de Tillier nous intéressant au premier chef.<br />
<br />
Un grand merci aux bénévoles des familles parisiennes qui ont mis en ligne ces actes.<br />
<br />
<div class="MsoNormal" style="text-align: justify;">
<br /></div>
informations issues de cet acte:<br />
<br />
<u style="text-align: justify;"><span style="font-family: "arial"; font-size: 9pt;">1<sup>e</sup> génération</span></u><br />
<span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span> <b>François TILLIER</b> (père) ép. <b>Marie Geneviève JULIN </b>(voir <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/358369/85" target="_blank">CM mariage</a>)<br />
<u style="text-align: justify;"><span style="font-family: "arial"; font-size: 9pt;">2<sup>e</sup> génération</span></u><br />
<span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II A -</span> <b>Claude TILLIER</b> marchand pêcheur et blanchisseur à Chaillot (remarié <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/364194/158" target="_blank">ici</a> et a priori décédé <a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/40905/63" target="_blank">là</a>)<br />
<span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II B -</span> <b>Sébastienne TILLIER</b> et <b>Nicolas JULIN </b>son mari,<br />
<span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II C -</span> <b>Charles TILLIER</b> décédé, marchand pêcheur à Passy et <b>Marie Elisabeth SAGERET</b>, et leurs six enfants<br />
<span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II D -</span> <b>François TILLIER</b> décédé et <b>Marie Geneviève DEVAUX </b>(mariés en 1765 ou 1763)<br />
<u style="text-align: justify;"><span style="font-family: "arial"; font-size: 9pt;">3<sup>e</sup> génération</span></u><br />
<span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span><span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II</span><span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"> CA -</span> <b>Charles Estienne TILLIER</b><br />
<span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span><span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II</span><span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"> CB -</span> <b>Marie Anne TILLIER</b><br />
<span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span><span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II</span><span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"> CC -</span> <b>Marie Genevieve TILLIER</b><br />
<span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span><span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II</span><span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"> CD -</span> <b>Marie Françoise TILLIER</b><br />
<span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span><span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II</span><span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"> CE -</span> <b>Margueritte TILLIER</b><br />
<span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">I</span><span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;">II</span><span style="font-family: "arial"; font-size: 12px; text-align: justify; text-indent: -24px;"> CF -</span> <b>Louise Genevieve TILLIER</b><br />
<br />
<br />
Ces informations sont à rapprocher de deux autres actes : un acte listant les héritiers du couple Charles TILLIER x Marie Elisabeth SAGERET et un acte pernicieux d'un couple homonyme!<br />
<span style="font-size: xx-small;">(les 4 enfants de François Tillier sont confirmés dans l'acte d'obligation de 3000" du 11 avril 1783 img 4408)</span><br />
<br />
lien vers l'acte :<a href="https://www.blogger.com/u/1/goog_979538557"><br /></a>
<a href="https://www.blogger.com/u/1/goog_979538557"><br /></a>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;"><a href="https://en.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=210655&page=795">https://en.geneanet.org/archives/registres/view/?idcollection=210655&page=795</a></span></div>
<b id="docs-internal-guid-1bb11b80-7fff-d841-1761-c051a36fda8b" style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<b style="font-weight: normal;">retranscription (xxx : mot non déchiffé ni retranscrit, === mot barré dans l'acte, + renvoi, (signé) : suivent les signatures)</b><br />
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">(vue 795/1342)</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">XXX</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">XXX de François</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Tillier fils de </span></div>
<b style="font-weight: normal;">XXX</b><br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">3 8bre 1766</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">A Monsieur le Prevot</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Royal de Chaillot ou Monsieur le</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Lieutenant</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Suplie humblement Marie Geneviève Devaux</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">veuve de François Tillier a cause de la communauté</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">qui a été entre elle et led. deffunt son Mary quelle se</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">reserve accepter ou d'y renoncer pour conseil</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">qu'il vous plaise Monsieur attendu la moduité</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">et que de valeur des effets dépendants de la communauté</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">dont il s'agit qui ne méritera les xxx xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx xxx la suppliant de faire === faire ===</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">=== un procès verbal de carence qui contiendra et</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">constatera la moduité des effets, et ce par votre </span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">greffier en la manière ordre (ordinaire) de vous serez justice</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">trois mots rayés nuls xxxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">signature LAMARE</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">La presente requete permis de faire procéder au procès verbal</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de carence des effets dont est question par notre greffier en la </span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">manière accoutumée parfois présentes autrement appelées et xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx en présence du procureur du Roy ou de son substitut fait</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">en nôtre hôtel le trois octobre mil sept cent soixante six.</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">(signé) G. GASTé</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">L'an mil sept cent soixante six le vendredi trois</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">---/--- (vue 796/1342)</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">octobre neuf heures du matin en vertu de l'ordce (ordonnance) de </span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Mr Le Lieutenant de lap revoté royale de Chaillot xxx xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de ce jourd huy etant au bas de la req.te a luy presentée je me</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">suis Julien Siot greffier de lad. prevoté transporté xxx xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx requisition de Marie Genevieve Devaux</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Vve et commune en bien de François Tillier</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">vivant Md pecheur aud. lieu et cabaretier en</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">une maison sise sur la chaussée de Versailles</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">appartenante a la Dame Vve piller (?) et donc a</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">led. deffunt Tillier et sa femme xxx xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">des lieux dependant de lad. maison ou etant dans une bou(tique?)</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">ayant son entrée sur lad. chaussée de Versailles et</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">comparu lad. Marie Genevieve Devaux Vve de François Tillier</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Laquelle nous a requis en vertu de lord.ce cy dessus dans (?)</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx requis de proceder au proces verbal de curauxxxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">conformément a lad. ord.ce parties presentes xxx xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">et en cas d’absence en presence du === proc.r du Roy</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">ou de son substitut laquelle ordonnance et req.te elle</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">nous a reprensentéet remise en mains pour etre</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">annexé au present procès verbal requerant quil</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">plaise lui en donner acte de la comparution dirxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">et requisitoire et de ce quelle nomme pour faire la</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">prisée des effets qui se trouveront dan lad. maison</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">dependant de la Communauté d’entre elle et son</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">deffunt mari la === del a succession d’icelxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">quil est necessaire d’une prisée la personne de</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Me Francois Degaulle huissier</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">commissaire priseur au Chatelet de Paris y demt</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">rue et paroisse Jeanne Severin</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">et a lad. veuve Tillier signé en cet endroit</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">trois mots rayes comme nuls decause</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Sont aussi comparû Claude Tillier md pecheur et</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">blanchisseur en ce lieu, Nicolas Jullin et Sebastienne</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Tillier son epouse et Marie Ellisabeth Sageret vve</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de Charles Tillier vivant md pecheur demt a Passy</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">montagne des bons hommes au nom et comme</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">tutrice, de Charles Estienne, Marie Anne, Marie</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Genevieve, Marie Françoise, Margueritte et Louise</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Genevieve Tillier ses enfants mineurs dud. deffunt</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Charles Tillier son mary, leur pere habille a se dire et</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">porter heritiers d’icelluy + lesd. Claude Tillier, femme</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Jullin === habilles a se porter heritiers</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">chacun pour un tiers lesd. mineurs conjointement du</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">dernier tiers dud. deffunt François Tillier decedé sans enfant</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">---/--- (vue 797/1342)</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">leur frere et oncle lesquels en d. noms et qualités</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx quils nempechent quil soient procedés au procès</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">verbal de carence en vertu de l ord.cce susdattée et</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">que meme la prisée faitte des effets</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">qui seraient compris par led. me Degaulle</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">nommé par lad. Marie Genevieve Devaux</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">vve François Tillier lesquelles ont requis acte</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de leur comparution consentement et </span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">nommination xxx et ont lesd. comparant signé a</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">l’exception dud. Nicolas Julin et sa femme qui ont </span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">declaré ne savoir ecrire ni signé de ce xxx ell</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">et alad. me Degaulle --- present aussy</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">signé apres avoir prevenir de faire lad. prisée en son</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">ame et consience xxx avec le cours du temps present</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">mot rayé nul</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">signature</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Claude Tillier</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">ME Sageret</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx moy greffier soussigné obtemperant aud. requisitoire</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">a proceder aud. procès verbal de carence et description</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">des effets etant dans lad. maison et dependance desd.</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">succession et communauté donc la prisée a été faite</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">par led. me Degaulle ainsy quil</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">fut + dans la boutique cy devant dessigné</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">(+ apres serment fait en mes mains par Lad. Devaux vve Tillier quelle na rien detourné</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">vu ny seu quil ait eté rien detourné des effets desd. succession et comm.té)</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">une paire de === chenets de cuisine pelle</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">pincette un trois peid un prix deux poilles a frire</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">trois marmittes avec leur couvercle tout de fer</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">et un soufflet un fer a repassé un chandellier de</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">fer avec un martinet et la cremalliere prisée</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">ensemble trois livres quinze sols</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">3”15’</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item une passoire un poillon deux chadellier un</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">ecumoir un chaudron deux mouchette le tout de</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">cuivre jaune avec un croc a prendre viande garni</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de la poullie le tout prisé six livres</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">6”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item une fontaine de cuivre rouge avec son couvercle</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">et robinet de xxx xxx xxx de cuivre le tout</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">prise vingt une livres</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">21”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item xxx xxx petite xxx une poelle a maron de</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">feu une grande scie une botte remplie de ferailles</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">une perchoir avec ses perches et autres effets qui non</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">merité description le tout prisé === quarante sols</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">2”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item Cinq tables deux bancs de bois un salloir?</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">un niche(?) dix cheses et un fauteuil de paille</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">---/--- (vue 798/1342)</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Le tout prisé douze livres</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">12”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item un vessaillier et son bas de buffet de fayence(?)</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">ouvrant a deux venteaux grillé avec deux petits rideaux</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx deux tirroirs un xxx xxx de bois de chene</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">ouvrant a deux venteaux deux planches servante de tablette</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">un xxx un panier et bouteille dosiers (?) le tout prisé</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">douze livres</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">12”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item vingt + (+deux) pieces de fayence tant en plate que</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">saladier === et plat a barbe une douzaine</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de douze (?) assiettes de fayence trois soupieres de terre</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">grisse et environ vingtaine d’autres pieces de fayence</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">et de terrine un xxx un cafetiere un huillier</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">=== quatre douzaines de gobelets de verre de</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">differentes grandeurs prisé le tout douze livres</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">12”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item quarante six bouteilles de gros verre un entonnoire</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de fer blanc un ecumoir un tamy un miroir de</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">toilette le tout prise avec une teinture quatre livres</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">4”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">une enseigne de bierre garnie de fer</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">++</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">(++ Item quinze mesure</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">d’etain tant pinte que</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">chopines deux xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">et autres xxx xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">estimé comme xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx xxx xxx xxx xxx)</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Dans un caveau xxx dans lad. boutique</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">quatre terrine de terre sept cruche de gré de</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">differentes grandeurs quatre bouteilles de gré deux pots</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">trois pied un baquet avec son broc prisé le tout six</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">livres</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">6”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Dans une petite chambre a cotté</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx xxx lad. boutique une couche de bois</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de hette de quatre pied et demy + de sa paillasse deux matelas</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">un lit de plume un traversin de coutis remplis de plumes</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">une couverture de laine blanche et une paire de draps</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de toille de menage deux oreillers le tout prisé</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">quarante livres avec une lampe de fer blanc</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">40”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item environ huit aune de xxx tapissiere une chaise</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de paille deux armoires de bois de chene dont une a deux</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">venteaux et l’autre ouvrant en quatre parties a quatre</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">venteaux prisé le tout vingt livres</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">20”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Dans la première des armoires</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">onze cuillères d’étain et douze fourchettes de fer prisé le</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">tout quarante sols avec huit xxx de cuivre</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">jaune et quatre couteaux a pain</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">---/---</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item une paire de draps cinq serviettes quatre nappes</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">treize torchons estimés six livres</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">6”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Enfin les habits et hardes du deffunt cinq</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">chemises de crin très élimées une autre fine aussi ellimée</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">cinq autres chemises de toile de menage deux autres chemises</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">telles quelles (?) trois mauvaises paires de bas de laine</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">trois culottes de drap doublée de peaux une de</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">toille deux gillet dont un xxx xxx et l’autre</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de laine une veste de laine (?) une veste de draps doublée</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de mouton un bonet de laine une veste et un habit</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de draps de vins doublée de serge maron, un chapeau xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">repassé avec une mauvaise paire de soulliers et des boucles</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de fer estimés vingt quatre livres</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">24”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Dans l’autre armoire une housse de lin de serge</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">fine une couverture de laine verte prisé ensemble</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">neuf libres</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">9”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Ensuitte les hardes de lad. Vve Tillier</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Six chemises de toille de menage xxx xxx deux</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">juppons de mouton rayé une camizolle de serge</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">rouge trois paires de bas de laine et trois paires de bas</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de cotton deux couets(?) piqués === ===</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">une demy douzaine de mouchoirs tous tant(?) que mauvais</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">une paire de soulliers unis prisé le tout ensemble 15”</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Dans la cave au fond de la cour ===</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Les xxx dependant de lad. maison</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item sept </span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">planchers un baquet un petit bary a eau de vie avec</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">sa faucelle(?) une autre faucelle de potin un marteau</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">une tapette une chaise de paille un panier d’os(s)ier sans</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">anse trente bouteilles de bierre deux demie bouteilles</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">prisé le tout vingt livres</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">20”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Ensuite les bijouts qui compose une paire</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de boucles d’argent à chape et arguillon aussi d’argent</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">servant a souliers de femme estimé comme bijou trois</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">livres cy </span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">3”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">XXX Lad. veve quelle</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">---/--- (vue 800/1342)</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Chemise un tablier un autre tablier bleu une camizolle</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">blanche un paquet de serviettes et mouchoirs deux paquets</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de tochons cy</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">18”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Ensuivent les papiers ===</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">premierement l’expedition en papier du contrat de</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">mariage entre led. deffunt et lad. Marie Geneviève</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Devaux cipresent (?) sa vve passé devant Dutartre et son</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">confrere No.res (notaires) au Chatelet de Paris le cinq juillet mil</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">sept cent cinquante-cinq insinué a Paris le cinq may mil</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">sept cent soixante trois par Delaubel par lequel</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">a été stipulé communauté de bien entre les xxx futurs</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">epoux et quil ne seraient point tenu des dettes et hipoteque</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">interieures au mariage lesquels seroient acquittées par celui</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">qui les auroient fait et xx les biens xxx que ceux</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de l’autre ny de lad. Com.té (communauté) en …</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">a été constitué en sol aud. deffunt par ses pere et</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">mere trois cent vingt quatre livres, Celle de la xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">future epouse a été fixé a trois cent livres que led. futur</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">epoux a reconnu avoir en sa possession.</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">La mise en communauté a été fixée a cent</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">cinquante livres de part et === d’autre </span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">---</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Le douaire de la future a été fixé a deux cent livres</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de douaire prefixee une fois payé xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Le preciput en faveur du survivant a été fixé</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">---</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">a été accordé a lad. future epouse ===</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">---/--- (vue 801/1342)</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">---</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">pour la cotte 1re cy</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item La grosse en parchemin d’un contrat de</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">constitution de deux cent livres de rente viagere constituée</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">au proffit dud. Sr Tillier par les Srs prevot et echevins</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de la ville de Paris par contrat passé devant</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">marchand et son confrere No.res au Chatelet de</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Paris le 30 juin mil sept cent soixante deux moyennant</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">deux mil livres lad. constitution faitte en xxx de</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx de Conseil et lettres patentes du trente un janvier</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de lad. année enregistré au parlement le premier</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">mars suivant par eux constitué sus(?) le domaine de la</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">ville lad. piece inventoriée(?) pour la cotte deux</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">cy deux</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item l’expedition en papier + du contrat de vente</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">(+par extrait collationné par Me Maniere et son confre le quatre</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">janvier mil sept cent soixante quatre)</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">fait par deffunt François Tillier pere et Marie Genevieve</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Julin sa femme au proffit des Srs prevot et echevins</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">d’un terrain situé sur le grand chemin de Paris à</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Versailles le long duquel(?) de Chaillot par la</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx xxx contenant quatre cent quatre vingt dix</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">huit acres(?) de superficie et de tous les batiments</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">a ediffier construit(?) sur les terrain moyennant la</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">la somme de onze mil huit cent soixante deux</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">livres huit deniers pour raison de laquelle somme</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">lesd. Srs prevot des Mds et Echevins auroient constitué</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">au proffit desd. deffunt Tillier pere et mere</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">cinq cent quatre vingt treize livres deux sols</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">---/--- (vue 802/1342)</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">rente annuelle et perpetuelle sur le domaine de ===</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">la ville payable de six mois en six mois led. contrat</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">passé devant Me et son conf.re Not.re au Chatelet de Paris</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Le vingt sept octobre mil sept cent cinquante huit</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">ensuitte laquelle expedition en xxx? faite par</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">===</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">=== Marchand et son Confrere Notre a</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Paris du premier juillet mil sept cent soixante trois</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">par laquelle il est dit qu’il est echu(?) dans lad. rente</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">aud. deffunt François Tiller fils cent vingt cinq livres</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">neuf sols six deniers de rente au ppal (principal) de de deux</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">mil cinq cent neuf livres dix sols === deux deniers</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">en marche(?) de laquelle Expedition est avec(?) mention que</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">led. François Tiller na plus que cinquante livres</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">neuf sols six deniers de rente a prendre dans lesd. cent</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">vingt cinq livres neuf sols six deniers lad. piece</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">inventoriée par la cote trois cy</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">trois</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item une liasse de deux pieces qui sont gse (grosses?) des</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">droits du domaine de garde dud. deffunt servante a la</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">decharge desd. Comté (communauté) et succession inventorié lesd.</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">deux pieces lune comme lautre sur la cotte quatre</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">cy quatre</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item une piece en datte du dix neuf 7bre </span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">signé Duppuis our Mr l’abbé de Champeret</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">sacristin de l’hotel Dieu qui est? une qte (quittance?) des frais</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">funeraire cotte cinq cy</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">cinq</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Ensuivent les declarations actives(?)</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Declare lad. vvve quil lui est du par le nommé</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Olivier pour fourniture alui faite la somme de</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">cinquante cinq sols cy</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">2”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item par le nommé milles? en la somme de trente</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">huit sols et six deniers cy</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">1” 28s 6d</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item par le nommé Lamare la somme de quatre</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">vingt sept livres quinze sols pour la depense faite</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">par led. Sr Lamare xxx led. Tillier et sa vve xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Le vingt cinq juillet xxx jusque cy compris Le vingt</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">---/--- (vue 803/1342)</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">neuf septembre xxx cent cy</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">plus la somme de trois livres xxx sols xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">pour depense faitte depuis led. jour vingt neuf</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">jusque & compris ce jour cy</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">3 11</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Ensuivent les dettes passives</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">declare lad. vve Tillier quelle doit le terme de loyers</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx par elle et son mary a raison de cent vingt</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">livres par and cy </span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">30”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item au Sr Faroux a la St Martin prochain pour</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">une piece de terre qui servoit cy devant aud. deffunt</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">et sa femme pour etendre linges seize livres</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">16”</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item au d. Sr Faroux pour fourniture de xxx</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">trente livres treize sols six deniers </span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">30” 13 6</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item au nommé Bouchet md. boucher trente</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">sept livres un sols pour fourniture de viande</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">cy </span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">37” 1s</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item au nommé Bellot Md epicier a Paris</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">pour fourniture d’eau de vie xxx? cy</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">37” 19s</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Item pour hu</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">---</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Et apres quil ne fut plus trouvé rien à</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">comprendre au present proces verbal +</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">(</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">et vue lesd. parties signé avec moy et lesd. inv.</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Lumuret Degaulle a lexception desd. Julin et sa </span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">femme qui ont declaré ne seavoir ecrire ni signé</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">de ce interpellé suivant l’ord.ce sous toutes prestations</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">xxx mots rayé nuls === au present proces</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">verbal xxx xxx</span></div>
<b style="font-weight: normal;"><br /></b>
<br />
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">(signé) MG Devaux</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">ME Sageret</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">CT</span></div>
<div dir="ltr" style="line-height: 1.38; margin-bottom: 0pt; margin-top: 0pt;">
<span style="background-color: transparent; color: black; font-family: "arial"; font-size: 11pt; font-style: normal; font-variant: normal; font-weight: 400; text-decoration: none; vertical-align: baseline; white-space: pre;">Claude Tillier</span></div>
<br />
<br />
<br />Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-65146239635036575362020-04-06T02:19:00.002-07:002020-12-28T13:01:05.574-08:00Marie Anne Tillier de Passy (ca 1751-1807)Je relisais des actes des Archives nationales du notariat de Passy que j’ai moissonnés en 2014-2015. Un acte permet de préciser le statut de Marie Anne Tillier épouse d’Etienne Ange Chatelain pour lequel subsistait un doute (cinq couples connus comme étant des cousins issus de germains d’un individu):<br />
<br />
Sœur de Charles Etienne Tillier,<br />
56 ans en 1807 lors de son décès (13/8/1807)<br />
Une fille majeure Louise Etienne Chatelain, épouse Le Franc François Philibert, maçon à Passy<br />
Un fils Louis Matie Chatelain, mineur, conscrit militaire en 1809.<br />
<br />
On continue dans la blanchisserie puisqu’Etienne Ange Chatelain est qualifié de blanchisseur et jardinier.<br />
Le couple s’est vraisemblablement marié en mai 1782 à Passy.<br />
Leur fils s’est vraisemblablement remarié en 1842.Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-70371107448923182362020-04-04T14:50:00.001-07:002023-07-04T07:43:37.898-07:00Tillier Tillier TillierLes Tillier sont les origines parisiennes des Leroux, Jean Baptiste Emmanuel Pierre Leroux migrant d’Evreux, et s’installant à Passy.<br />
Il y a trois autres branches Tillier connues en dehors de la Leroux :<br />
- Rodier qui donnera les Chenu et les <a href="https://genduffieleroux.blogspot.com/2013/11/amy-des-beaux-bruns-avec-un-nom-pareil.html" target="_blank">Amy des beaux bruns</a>, objets de plusieurs posts,<br />
- la branche <a href="https://genduffieleroux.blogspot.com/2015/04/blanchisseurs.html" target="_blank">Etienne Tillier</a> blanchisseur a priori sans descendance et<br />
- la branche Charles Tillier (<a href="https://genduffieleroux.blogspot.com/2020/01/tillier-cochery.html" target="_blank">Tillier - Cochery</a>) des blanchisseurs.<br />
<br />
La recherche des Tillier parisiens est obsédante en ce qu’elle est rendue difficile par le manque d’archives.<br />
<br />
Il y a trois axes de recherches :<br />
- Tillier ascendance : la recherche de leurs origines et leurs ancêtres,<br />
- Tillier descendance : recherche des descendants dans l’espoir de trouver des descendants contemporains, éventuellement des cousins intéressés par la généalogie ,<br />
- Tillier collatéraux : cette recherche permet parfois de contourner le manque d’archives pour les deux premiers axes. Souvent un cousin, un oncle ou une tante sera listé sur un acte de mariage de collatéral permettant ainsi de le localiser ou de mieux le suivre.<br />
<br />
Les diverses recherches conduites ces dernières années permettent de clarifier la situation et d’envisager de faire la jonction avec des cousins contemporains de la branche Tillier-Cochery dont voici l'état :<br />
<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi41uqlWj4PKa91PG9b9BY2PlJTcOlVbWCmg1yBx4YAyFzv5yBAJkzHa8oHisIEmUBIR23EvlSGhsmpzQMTcSPI6DomkLgVIG84o9G8wXDPZeh5kyCshQwK5dahHwoIKFEJrIWHuQyKwRo/s1600/Tilllier+LRXDUFROD+4xl.png" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="660" data-original-width="1600" height="264" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi41uqlWj4PKa91PG9b9BY2PlJTcOlVbWCmg1yBx4YAyFzv5yBAJkzHa8oHisIEmUBIR23EvlSGhsmpzQMTcSPI6DomkLgVIG84o9G8wXDPZeh5kyCshQwK5dahHwoIKFEJrIWHuQyKwRo/s640/Tilllier+LRXDUFROD+4xl.png" width="640" /></a></div>
<br />
<br />
Attention : il y a une erreur sur la structure de l'arbre présenté dans ce <a href="https://genduffieleroux.blogspot.com/2013/10/tillier-2-deux-nouveaux-ancetres.html" target="_blank">post original</a> et antérieur.Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-45440973644417449022020-04-03T06:31:00.000-07:002020-04-04T12:40:55.335-07:00Fake news LEROUX...Qui aurait cru qu’on puisse avoir une fake news sur Alphonse Leroux, fondateur de la chicorée Leroux et son père, et surtout qu’elle vienne d’un grand quotidien de la presse régionale?<br />
Eh bien la voilà dans toute sa splendeur.<br />
<br />
<br />
Lue sur le net :<br />
<a href="https://www.ouest-france.fr/economie/agroalimentaire/la-celebre-chicoree-leroux-des-racines-bretonnes-4479775">https://www.ouest-france.fr/economie/agroalimentaire/la-celebre-chicoree-leroux-des-racines-bretonnes-4479775</a><br />
<br />
Et reproduit sans autorisation:<br />
<br />
<div style="box-sizing: border-box; outline: 0px;">
<i>Si la chicorée, précieux succédané du café pendant et après-guerre, véhicule une image un peu désuète, ce n'est pas celle de la Maison Leroux, corrige Olivier Hermand, directeur général d'une entreprise qui commerciale aujourd'hui plus de 80 références, jusqu'aux dosettes solubles. En 1863, cinq ans après ses débuts, la société déposait le premier brevet de Leroux pour une empaqueteuse mécanique qui traitait 200 paquets par heure, rappelle-t-il. Une innovation imaginée par le fondateur, Jean-Baptiste Alphonse Leroux, à qui la chicorée doit aussi la Bretonne en costume, emblème de la célèbre marque.</i></div>
<div style="box-sizing: border-box; margin-top: 20px; outline: 0px;">
</div>
<div style="box-sizing: border-box; margin-top: 20px; outline: 0px;">
<i>Mais pourquoi donc une coiffe finistérienne d'Audierne sur l'emballage d'un produit aussi revendiqué par les Cht'is que le pâté Hénaff par les Bretons ? <b>Parce que, et on l'a même oublié à Douarnenez, sa ville natale, Jean-Baptiste Alphonse Leroux, un ingénieur, était breton. C'est à la faveur d'un déplacement à Orchies, en 1858, qu'il racheta, pour son fils Alphonse-Henri-François, la manufacture « Herbo Fils et C<span style="box-sizing: border-box; font-size: 12px; line-height: 0; outline: 0px; position: relative; top: -0.5em; vertical-align: baseline;">ie</span> », une petite affaire de chocolat, moutarde, tapioca et chicorée. Le début de la saga Leroux</b>.</i></div>
<div style="box-sizing: border-box; margin-top: 20px; outline: 0px;">
<span style="background-color: white; color: #333333; font-family: "arial" , "helvetica" , sans-serif; font-size: 16px;"><br /></span></div>
<div style="box-sizing: border-box; margin-top: 20px; outline: 0px;">
citez vos sources journalistiques...ou vérifiez-les en allant à Douarnenez consulter l’Etat-civil.<br />
<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjxoN4CJKCVK8eIV-YxKlMZ7ELSHWfPdUhyphenhyphenKYc5cbBreXAyGNidcjfZDMH6IoNRrouNOhyphenhyphen_eTUjsHcz_LrWibRg9snpiaNE1CbwRi5quk9ceFgysSmWntgNAG6LNlv1HcHE95oUw0cJwyk/s1600/JBLRX+copie.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="116" data-original-width="89" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjxoN4CJKCVK8eIV-YxKlMZ7ELSHWfPdUhyphenhyphenKYc5cbBreXAyGNidcjfZDMH6IoNRrouNOhyphenhyphen_eTUjsHcz_LrWibRg9snpiaNE1CbwRi5quk9ceFgysSmWntgNAG6LNlv1HcHE95oUw0cJwyk/s1600/JBLRX+copie.png" /></a></div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
<br />
De notre côté nous pouvons citer pour cet aïeul (issu de l'ancien village/quartier de Passy) son acte de baptême dans les registres d’une paroisse parisienne et son acte de décès à Neuilly (acte 542/1882) précisant sa naissance « parisienne ». Et sa sépulture parisienne au cimetière de Montmartre.<br />
<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGgPjhGN-B2bxTp6-LWFNA2wN7BrAhkXbLPMmlRbs2PTnq5rag4zxzcZbOcr1Aq2gv61Ez0nQSZZlG7u-VAvEYu5sGZl9-UAomjy5_CR_FFhBZ5eE11Nb8hSM9CN2Zj8gfnlzpQChdKXA/s1600/LRXMTMTREIMG_0195.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="800" data-original-width="600" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGgPjhGN-B2bxTp6-LWFNA2wN7BrAhkXbLPMmlRbs2PTnq5rag4zxzcZbOcr1Aq2gv61Ez0nQSZZlG7u-VAvEYu5sGZl9-UAomjy5_CR_FFhBZ5eE11Nb8hSM9CN2Zj8gfnlzpQChdKXA/s320/LRXMTMTREIMG_0195.jpg" width="240" /></a></div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
</div>
<div style="box-sizing: border-box; margin-top: 20px; outline: 0px;">
<br /></div>
<div style="box-sizing: border-box; margin-top: 20px; outline: 0px;">
<br /></div>
<div style="box-sizing: border-box; margin-top: 20px; outline: 0px;">
<br /></div>
<div class="divVideoStep rs_skip" id="divVideoStepAdTop" style="box-sizing: border-box; outline: 0px;">
<div attrs="" class="ivbsGeneral" id="divMosaic+[HtmlId]" style="box-sizing: border-box; margin: 20px auto 30px; max-width: 530px; min-width: 480px; outline: 0px;">
<div style="-webkit-tap-highlight-color: transparent; box-sizing: border-box; font-size: 10px; margin: 0px auto; outline: 0px; position: relative;">
<br /></div>
</div>
</div>
Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-55739780571200302122020-03-27T06:55:00.003-07:002020-03-27T06:55:41.294-07:00Sépulture GUERIN-BOUTRON au père LachaiseA défaut d'une visite sur place, un site web donne accès à plusieurs photos du monument de sépulture Guérin-Boutron au cimetière du père Lachaise à Paris.<br />
<br />
<br />
<a href="https://e-monumen.net/patrimoine-monumental/ornements-et-plaques-de-la-sepulture-guerin-boutron-division-44-cimetiere-du-pere-lachaise-paris-75020/">https://e-monumen.net/patrimoine-monumental/ornements-et-plaques-de-la-sepulture-guerin-boutron-division-44-cimetiere-du-pere-lachaise-paris-75020/</a><br />
<br />
<br />
<div>
<br /></div>
<div>
<div style="text-align: center;">
<b>FAMILLE</b></div>
<div style="text-align: center;">
<b>GUERIN-BOUTRON</b></div>
</div>
<div>
<br /></div>
<div>
Inscriptions sur les faces du monument :</div>
<div>
<br />
<br />
Marie Louis Antoine<br />
GUERIN<br />
Juge au T de comm.ce<br />
1814-1866<br />
<br />
Victoire Marie xxx<br />
GUERIN<br />
NEE BOUTRON<br />
1817-1867<br />
<br />
<br /></div>
<div>
côté gauche</div>
<div>
---</div>
<div>
Sigismond ROBINEAU<br />
1835-1907<br />
<br />
Mme ROBINEAU<br />
NEE Alice<br />
1840<br />
<br />
<br />
<div>
côté droit en grande partie masqué</div>
<div>
---</div>
<div>
Pierre Victor<br />
XXX<br />
<br />
XXX<br />
XXX<br />
<br />
<br />
<br />
Voici les détails correspondants issus des archives de la ville de Paris ("<i>cimetières et pompes funèbres</i>" et Etat-civil)<br />
<br />
<br />
<div>
Marie Louis Antoine<br />
GUERIN<br />
Juge au T de comm.ce<br />
1814-1866<br />
Inhumé Concession n°45 13 janvier 1866<br />
E-C : Décédé le 13/1/1866 à Paris 2 <b>acte 56</b><br />
<br />
Victoire Marie xxx<br />
GUERIN<br />
NEE BOUTRON<br />
1817-1867<br />
inhumée le 23 février 1887 concession 193686 de 1887, 69 ans décédée à Paris 6 Boutron femme Guérin Marie Antoinette Victoire, caveau 44 division 3 ligne<br />
E-C : décès <b>acte 374</b> du 21 février 1887 à Paris 6<br />
<br /></div>
<div>
côté gauche</div>
<div>
---</div>
<div>
Sigismond ROBINEAU<br />
1835-1907<br />
Inhumé le 2 avril 1907 44.3-45.4-42 concession 190934 (<b>venant de l'Isle Adam</b>)<br />
TD L'ISLE ADAM acte du 3 mars 1907 ROBINEAU Sigismond Pierre. acte non disponible en ligne<br />
<br />
Mme ROBINEAU<br />
NEE Alice GUERIN, fille de Louis Antoine GUERIN<br />
1840-1906<br />
Inhumée le 18 mai 1906 44.3-45.4-42 concession 190934 (<b>venant de l'Isle Adam</b>) Guérin femme Robineau Marie Louise<br />
Robineau née Guérin Marie<br />
TD L'ISLE ADAM acte du 16 mai 1906 GUERIN Marie Louise Alice femme ROBINEAU. acte non disponible<br />
<br />
<br />
<div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj68JiMKUr-s9CpgMUC6U1L-fiIb7wPiGfEsWG-MSSsIV_DcLJOZ8NNfULm6ho9fj9IduZtjdA09PLTT20QKRCxMqpJWNT4gMVZ8R4kBX7HFyZbHDiP13P7w__O94g67Bvk8VLRufI7GiM/s1600/P.LACHAISE+ANNEE+1907+ROBINEAU+et+GUERIN.png" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="160" data-original-width="1044" height="97" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj68JiMKUr-s9CpgMUC6U1L-fiIb7wPiGfEsWG-MSSsIV_DcLJOZ8NNfULm6ho9fj9IduZtjdA09PLTT20QKRCxMqpJWNT4gMVZ8R4kBX7HFyZbHDiP13P7w__O94g67Bvk8VLRufI7GiM/s640/P.LACHAISE+ANNEE+1907+ROBINEAU+et+GUERIN.png" width="640" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Les époux Robineau étant décés à peu de temps d'intervalle, ils figurent tous les deux sur la même table (pluri-)annuelle du registre des cimetières parisiens (Père Lachaise).</td></tr>
</tbody></table>
<br />
<br />
<br />
côté droit</div>
<div>
---</div>
<div>
Pierre Victor Auguste ROUMESTANT<br />
1835-1891<br />
inhumé le 4 mai 1891 concession 190934 de 1886<br />
E-C <b>acte de décès n°1996</b> le 01/5/1891 à Paris10</div>
</div>
<br />
Mme ROUMESTANT<br />
NEE Marie Louise Amélie GUERIN, fille de Louis Antoine GUERIN<br />
1842-1920<br />
inhumée le 27/1/1920 Vve Roumestant née Guérin 44.3/45.5/42 190.934<br />
E-C <b>acte de décès 235 </b>du 23 janvier 1920, 77 ans<br />
<br />
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhl1md8qSqvjKq_sx3b5lXqBBGSDKYY0zifgLO8eb82cnPpYFzkzIG-_s6KaKQNaT58Jb16dS9VHHXj-eZ_HZaWbXbzBIJYYusOrmUJQl6rKe6bik5tFU6VQ5yoWKznTtJTGdRUEmK2ZUI/s1600/GUERIN+ROBINEAU+ROUMESTANT.png" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="248" data-original-width="1163" height="136" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhl1md8qSqvjKq_sx3b5lXqBBGSDKYY0zifgLO8eb82cnPpYFzkzIG-_s6KaKQNaT58Jb16dS9VHHXj-eZ_HZaWbXbzBIJYYusOrmUJQl6rKe6bik5tFU6VQ5yoWKznTtJTGdRUEmK2ZUI/s640/GUERIN+ROBINEAU+ROUMESTANT.png" width="640" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Les sœurs Guérin-Boutron se sont mariées le même jour en la mairie du deuxième arrondissement.<br />
A gauche le couple Robineau, à droite la couple Roumestant... comme sur le monument sépulcral.</td></tr>
</tbody></table>
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br />
<br /></div>
</div>
Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-33112490547157686392020-03-26T09:29:00.000-07:002020-03-30T09:00:49.656-07:00Sépulture MORIN à MontmartreUn matin d'été 2015 je suis allé rapidement au cimetière de Montmartre photographier la sépulture des MORIN (MORIN-DUFFIE) avant de redescendre au sud de Paris pour aller au travail.<br />
Les photos sont de médiocre qualité car le soleil venait de se lever mais voici la retranscription des noms apparaissant sur ce monument qu'il était temps de mettre en ligne...<br />
<br />
<br />
<div>
<br /></div>
<div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi3lMsf8S0xLBDA2j1-gBjPFfYdhknq0Useqt4JkJ8PWOqIZLaIbzS0OI-B4-YSoQT_DhzffrZ1-mxmNBZx9t9Z0jBUHXpreQFOCK_-8qJUOEW4K0o8SfnJ_GSzDQPyB4tHUVUXiA3FiRA/s1600/IMG_0182+MORIN+FACE+AV.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="1600" height="480" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi3lMsf8S0xLBDA2j1-gBjPFfYdhknq0Useqt4JkJ8PWOqIZLaIbzS0OI-B4-YSoQT_DhzffrZ1-mxmNBZx9t9Z0jBUHXpreQFOCK_-8qJUOEW4K0o8SfnJ_GSzDQPyB4tHUVUXiA3FiRA/s640/IMG_0182+MORIN+FACE+AV.JPG" width="640" /></a></div>
<br />
<br />
<br />
<br />
<div style="text-align: center;">
<b>FAMILLE CH. MORIN</b></div>
<b><br /></b>
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEilpvnEhrCOyR7U4F4BsR7oO2QYxi8Avpqar-rBJJdYlVUiqwUFjpQH20FWuqc9mB9KeR8Six3UB4U6K8laYjm8xxpk2QAl1pjSYuqZHNReLw22MwZbk2K0eaCbNb5xEbizTfQKcZoWHWM/s1600/MMartre+Morin0.png" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" data-original-height="68" data-original-width="388" height="56" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEilpvnEhrCOyR7U4F4BsR7oO2QYxi8Avpqar-rBJJdYlVUiqwUFjpQH20FWuqc9mB9KeR8Six3UB4U6K8laYjm8xxpk2QAl1pjSYuqZHNReLw22MwZbk2K0eaCbNb5xEbizTfQKcZoWHWM/s320/MMartre+Morin0.png" width="320" /></a></div>
<b><br /></b></div>
<div>
<br /></div>
<div>
Inscriptions sur la face supérieure du monument :</div>
<div>
<br />
<div>
<div style="text-align: center;">
<br /></div>
</div>
<div>
<div style="text-align: center;">
<u>côté gauche</u> <u>côté droit </u></div>
<div style="text-align: center;">
---</div>
<div style="text-align: center;">
Félicie MORIN Charles MORIN</div>
<div style="text-align: center;">
1798-1884 1825-1903</div>
<div style="text-align: center;">
---</div>
<div style="text-align: center;">
Maria MORIN Angelina MORIN</div>
<div style="text-align: center;">
1857-1911 1832-1907</div>
<div style="text-align: center;">
---</div>
<div style="text-align: center;">
Jean Marie MORIN Thérèse MORIN </div>
<div style="text-align: center;">
1909-1971 née BRUERE1914-2005</div>
<div style="text-align: center;">
---</div>
<br /></div>
<div>
<br />
<br />
Pour chaque personne, j'ai complété d'informations accessibles sur le site des archives de Paris ("<i>cimetières et pompes funèbres</i>", "<i>recrutement militaire de la Seine</i>" et Etat-civil)<br />
<br />
<br /></div>
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhny3GJJJw22r-ba6EVXsiZTF7zaQISTpAp_mXrzrKMIAPQbK6AAx8TJu1RMZ2lvroH7hU3OqhYDaxy0927NAdKCeKH-AFYIzxhT16frtut6eTcza8caYn_aJOPuS5US7eEG_knZSktLPI/s1600/MMartre+Morin2.png" imageanchor="1" style="clear: right; float: right; margin-bottom: 1em; margin-left: 1em; text-align: center;"><img border="0" data-original-height="817" data-original-width="614" height="320" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhny3GJJJw22r-ba6EVXsiZTF7zaQISTpAp_mXrzrKMIAPQbK6AAx8TJu1RMZ2lvroH7hU3OqhYDaxy0927NAdKCeKH-AFYIzxhT16frtut6eTcza8caYn_aJOPuS5US7eEG_knZSktLPI/s320/MMartre+Morin2.png" width="240" /></a><br />
<br />
<u>côté droit</u></div>
<div>
---</div>
<div>
Charles MORIN</div>
<div>
1825-1903</div>
<div>
(Inhumé le 21/3/1903 22.3.13 (division.ligne.numéro)- C. 139/1884 (concession) Charles Henri Félix)<br />
E-C 19/3/1903 Fontenay sous bois <b>acte 45</b> Charles Henry Félix Léon</div>
<div>
<br /></div>
<div>
Angelina MORIN<br />
1832-1907<br />
(Inhumée le 17/12/1907 <b>Angélina née DUFFIé</b> 22.3.13 allée de Montmorency-C.139/1884 - 75 ans du 9 Arrondissement)<br />
E-C 15 dec 1907 Fontenay sous bois <b>acte 206 </b><br />
<br />
Thérèse MORIN<br />
née BRUERE<br />
1914-2005<br />
E-C Née à Paris 17 le 3 janvier 1914 acte 10, MM Décédée à Paris 15<br />
<br />
<br />
<u>côté gauche</u><br />
---<br />
Félicie MORIN<br />
1798-1884<br />
(inhumée 22.2.12 - 139/1884 née Charlier Marie Jeanne)<br />
E-C <b>Acte 37</b> de 1884 à Fontenay sous bois<br />
Mariée à Antony <b>acte 7</b> 1824 avec MORIN Nicolas fils de Etienne et GUIBOURG<br />
<br />
Maria MORIN<br />
1857-1911<br />
(Inhumée 7/1/1911 22.3.13 Montmorency-139/1884 Fontenay sous bois)<br />
E-C 6 janvier 1911 Fontenay s b <b>acte 2</b> Maria Clarrice Augusta<br />
<br />
Jean Marie MORIN<br />
1909-1971<br />
E-C Né à Paris8 12/9/1909 acte 487 Jean Marie Maurice Pierre<br />
base INSEE décédé Paris 16 11/7/1971<br />
CG-LH (Croix de guerre et Légion d'honneur)<br />
---<br />
<br />
<b><span style="color: red;">Note : si vous recopiez des données de ces articles, merci de ne pas publier sur les bases de généalogie la dernière génération à savoir le couple MORIN-BRUERE. Merci</span></b></div>
Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-88126987015845773022020-03-22T16:55:00.001-07:002020-03-22T17:18:27.004-07:00Chenu par ChenuA défaut de disposer de l'éloge d'Albert Naud fait lors de la Conférence du 7 décembre 1935 (que je cherche toujours), voici un mot de Chenu sur Chenu, son père. Notice sur Charles-Alphonse Chenu par son fils Charles-Maurice Chenu.<br />
<br />
<br />
<a href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5545040c/f104.item.r=chenu" target="_blank">disponible</a> en ligne sur le site Gallica de la BNF (Bulletin de l'associaiton amicale des secrétaires et anciens secrétaires de la Conférence des avocats)<br />
<br />
<br />
M. CHARLES CHENU<br />
NOTICE LUE PAR M. CHARLES-MAURICE CHENU<br />
<br />
<br />
Au seuil de cet éloge, j'ai hésité : d'autres n'étaient-ils pas, pour le faire, mieux qualifiés que moi, d'autres qui avaient été les compagnons, les adversaires, les collaborateurs du bâtonnier CHENU?<br />
Mais puisqu'il m'appartenait de choisir parmi eux, comment le faire sans chagirner des amis sincères, dont l'affecton - je pourrais dire le culte avaient, au lendemain de sa mort, ému et réconforté les siens?<br />
Dans mon cabinet, un buste, depuis un an, fait face à ma table. Un buste qui a fixé l'insaisissable, l'indulgence, l'ironie d'un regard. Et ce regard, he l'ai rencontré tandis que je m'interrogeais. Je l'ai senti posé sur moi, et j'ai cru le traduire :<br />
« Toi qui m'as connu...», disait-il.<br />
Et il m'a semblé que sans impiété, je ne pouvais confier à d'autres le soin qui m'incombait.<br />
Ceux-là me pardonneront, qui ont été les meilleurs amis de mon père. Et si je m'interdis de prononcer leurs noms, hormis ceux des disparus, c'est que l'évocation d'un nom pourrait faire croire à l'oubli d'un autre.<br />
Apparence d'ingratitude que me reprocherait celui dont j'entreprends l'éloge.<br />
Charles-Alphonse Chenu était né en 1855. Son père travaillait aux Etablissements Cail. Il habitait Grenelle, très loin du centre de Paris. Quand il fallut mettre l'enfant au lycées, il ne pouvait être question d'externat, ni même de demi-pensionnat qui permet, le soir, le retour au foyer. Ce fut l'internat.<br />
L'internat dans sa rigueur d'alors. L'école Aubert-Savary menait à Condorcet. Inconfortable, obscure, glaciale l'hiver, elle donnait en tous temps à ses éllèves de mauvaise cuisine, de mauvais lits, de mauvaise hygiène. A travers les descriptions que j'en ai reçues, elle rejoint dans ma mémoire certaines scènes lugubres du Nicolas Nickleby de Dickens.<br />
Pourtant le petit interne comprenait la nécessité d'une aussi rude séparation.<br />
Et il travaillait.<br />
Des enfants irrévérencieux - et mal classés - mettent parfois en doute les succès scolaires que jadis remportait leur père. Comment l'aurions-nous pu? Nous connaissions, dans sa bibliothèque, les rayons où s'alignaient les livres de prix que jadis Condorcet avait distribués. Nos plaisanteries venaient se briser contre ces palmarès, où le fort en thème excellait également en version, en français, en histoire, en mathématiques!...<br />
Puis, dans la vie de l'interne d'Aubert-Savary, une coupure brusque : la guerre de 1870. Coupure dont il ne saisit pas tout de suite la portée. La France sera victorieuse, personne ne l'ignore. Et si sa mère l'emmène en Charente, ainsi que sa sœur cadette, c'est une aubaine. Si, en octobre, l'ecole ne rouvre pas ses portes, il s'en consolera. Il court dans la campagne, il joue avec les garçons du village. L'hivert, avec eux, il tend des panneaux, prend des oiseaux avec de la glu. Cette vie au grand air le libère, lui permet de se développer.<br />
L'ombre pourtant descend sur ses jeux. Il faut bien, maintenant, admettre l'idée de la défaite, et puis la honte de la guerre civile. La commune fait frémir la France - et son père est à Paris, son père dont on cesse d'avoir des nouvelles.<br />
La paix revenue, la femille se regroupe pourtant.<br />
L'élève d'Aubert-Savary passe ses examens. Que va-t-on faire de lui maintenant? Le palmarès, trop beau, ne permet de distinguer aucune vocation : il les a toutes.<br />
Puisqu'il a le premier prix de mathématques, il est tout désigné pour Polytechnique : c'est l'avis de son père. Mais sa mère a entendu faire des réserves sur Polytechnique : il paraît que les polytechniciens se fatiguent tellement à l'Ecole qu'ils en sortent très diminués. Erreur flagrante. Mais bénissons-là : c'est à elle que nous devons un grand avocat.<br />
Pour l'instant, le jeune homme a d'autres images en tête : il va accomplir son volontariat, et il rêve d'uniformes, de charges de cavalerie, de revanche possible. Quelles vacances admirables après l'enfance envoûtées d'Aubert-Savary!<br />
Et ce sont, en effet, pour lui des vacances. Si l'internat a été abominable, le volontariat va être divin. Des photographies nous conservent un cavalier joyeux au regard clair et direct, à la lèvre à peine ombragée, portant fièrement un dolman somptueux qui eût fait l'orgueil de Murat lui-même. Les volontaires avaient des libertés vestimentaires dont ils usaient largement, et leurs fils, à l'âge ingrat du képi-pompon, ont souvent rêvé devant les passementeries et les chamarrures dont s'agrémentaient alors, à Lunéville, des chasseurs de 2e classe.<br />
Un an plus tard, plein de santé et de bonne humeur, le cavalier dépouille le bel uniforme pour revenir à Paris et suivre les cours de l'Ecole de Droit.<br />
L'étudiant continue l'élève de Condorcet, et retrouve sans peine l'habitude du succès. Mais, cette fois, avec la joie de vivre apprise à Lunéville, et qu'il entend ne pas abandonner.<br />
Cependant, sans attendre le doctorat, il s'inscrit au stage.<br />
Il suit les réunions de colonne et grave dans sa mémoire les règles du Cresson. Il en est d'imprimées, il en est d'orales. Et parmi ces dernières, il en est une qui les explique toutes : « Pour être avocat, il faut pouvoir attendre...».<br />
<br />
<br />
<br />
Page 99 :<br />
Chasseur passionné, il rédige un traité juridique : « Chasse et Procès. »<br />
Avec Roger Allou, il entreprend un autre ouvrage : « Grands Avocats du siècle ». Rien de plus utile pour eux. Car en faisant revivre, en une galerie de portraits, les maîtres de la barre, ce sont les règles de la plaidoirie qu'ils s'efforcent de dégager, et peut-être celles du succès.<br />
Dans la salle Marjolin, ils cherchent passionnément les plaidoyers de Berryer ou de Chaix d'Estange. Et voici qu'ils découvrent, avec mélancolie, le poids de la poussière qui recouvre leurs tranches.<br />
<br />
<br />
Jules Simon<br />
<br />
Page 100:<br />
Le client s'assied et se nomme : Edmond Magnier, sénateur du Var et directeur de l'Événement.<br />
<br />
<br />
page 112<br />
De ses articles, un recueil subsiste : « De l'Arrière à l'Avant. »<br />
<br />
<br />
<br />
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k55487340/f369.item.r=chenu<br />
<br />
<br />
<span style="color: white;"><br /></span>
<span style="color: white;">M. CHARLES CHENU</span><br />
<span style="color: white;">NOTICE LUE PAR M. CHARLES-MAURICE CHENU</span><br />
<span style="color: white;">Au seuil de cet éloge, j'ai hésité : d'autres n'étaient-ils pas, pour le, faire, mieux qualifiés que moi, d'autres qui avaient été les compagnons, les adversaires, les collaborateurs du bâtonnier CHENU?</span><br />
<span style="color: white;">Mais puisqu'il m'appartenait de choisir parmi eux, comment le faire sans chagriner des amis sincères, dont l'affection —je pourrais dire le culte — avaient, au lendemain de sa mort, ému et réconforté les siens?</span><br />
<span style="color: white;">Dans mon cabinet, un buste, depuis un an, fait face à ma table. Un buste qui a fixé l'insaisissable, l'indulgence, l'ironie d'un regard. Et ce regard, je l'ai rencontré tandis que je m'interrogeais. Je l'ai senti posé sur moi, et j'ai cru le traduire :</span><br />
<span style="color: white;">« Toi qui m'as connu... », disait-il.</span><br />
<span style="color: white;">Et il m'a semblé que sans impiété, je ne pouvais confier à d'autres le soin qui m'incombait.</span><br />
<span style="color: white;">Ceux-là me pardonneront, qui ont été les meilleurs amis de mon père. Et si je m'interdis de prononcer leurs noms, hormis ceux des disparus, c'est que l'évocation d'un nom -pourrait faire croire à l'oubli d'un autre.</span><br />
<span style="color: white;">Apparence d'ingratitude que me reprocherait celui dont j'entreprends l'éloge.</span><br />
<span style="color: white;">Charles-Alphonse Chenu était né en 1855. Son père travaillait aux Établissements Cail. Il habitait à Grenelle, très loin du centre de Paris. Quand il fallut mettre l'enfant au lycée, il ne pouvait être question d'externat, ni</span><br />
<hr />
<span style="color: white;">— 96 —</span><br />
<span style="color: white;">même de ce demi-pensionnat qui permet, le soir, le retour au foyer. Ce fut l'internat.</span><br />
<span style="color: white;">L'internat dans sa rigueur d'alors. L'école Aubert-Savary menait à Condorcet. Inconfortable, obscure, glaciale l'hiver, elle donnait en tous temps à ses élèves de mauvaise cuisine, de mauvais lits, de mauvaise hygiène. A travers les descriptions que j'en ai reçues, elle rejoint dans ma mémoire certaines scènes lugubres du Nicolas Nickleby de Dickens.</span><br />
<span style="color: white;">Pourtant le petit interne comprenait la nécessité d'une aussi rude séparation.</span><br />
<span style="color: white;">Et il travaillait.</span><br />
<span style="color: white;">Des enfants irrévérencieux ■—■ et mal classés — mettent parfois en doute les succès scolaires que jadis remportait leur père. Comment l'aurions-nous pu? Nous connaissions, dans sa bibliothèque, les rayons où s'alignaient les livres de prix que jadis Condorcet avait distribués. Nos plaisanteries venaient se briser contre ces palmarès, où le fort en thème excellait également en version, en français, en histoire, en mathématiques!...</span><br />
<span style="color: white;">Puis, dans la vie de l'interne d'Aubert-Savary, unecoupure brusque : la guerre de 1870. Coupure dont il ne saisit pas tout de suite la portée. La France sera victorieuse, personne ne l'ignore. Et si sa mère l'emmène en Charente, ainsi que sa soeur cadette, c'est une aubaine. Si, en octobre, l'école ne rouvre pas ses portes, il s'en consolera. Il court dans la campagne, il joue avec les garçons du village. L'hiver, avec eux, il tend des panneaux, prend des oiseaux avec de la glu. Cette vie au grand air le libère, lui permet de se développer.</span><br />
<span style="color: white;">L'ombre pourtant descend sur ses jeux. IL faut bien, maintenant, admettre l'idée de défaite, et puis la honte de la guerre civile. La commune fait frémir la France — et son père est à Paris, son père dont on cesse d'avoir des nouvelles.</span><br />
<span style="color: white;">La paix revenue, la famille se regroupe pourtant.</span><br />
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<span style="color: white;">L'élève d'Aubert-Savàry passe ses examens. Que va-t-on faire de lui maintenant? Le palmarès, trop beau, ne permet de distinguer aucune vocation : il les a toutes.</span><br />
<span style="color: white;">Puisqu'il a le premier prix de\ mathématiques, il est tout désigné pour Polytechnique : c'est l'avis de son père. Mais sa mère a entendu faire des réserves sur Polytechnique : il paraît que les polytechniciens se fatiguent tellement à l'École qu'ils en sortent très diminués. Erreur flagrante. Mais bénissons-là : c'est à elle que nous devons un grand avocat.</span><br />
<span style="color: white;">Pour l'instant, le jeune homme a d'autres images en tête : il va accomplir son volontariat, et il rêve d'uniformes, de charges de cavalerie, de revanche possible. Quelles vacances admirables après l'enfance envoûtée d'AubertSavary!</span><br />
<span style="color: white;">Et ce sont, en effet, pour lui des vacances. Si l'internat a été abominable, le volontariat va être divin. Des photographies nous conservent un cavalier joyeux au regard clair et direct, à la lèvre à peine ombragée, portant fièrement un dolman somptueux qui eût fait l'orgueil de Murât lui-même. Les volontaires avaient des libertés vestimentaires dont ils usaient largement, et leurs fils, à l'âge ingrat du képi-pompon, ont souvent rêvé devant les passementeries et les chamarrures dont s'agrémentaient alors, à Lunéville, des chasseurs de 2e classe.</span><br />
<span style="color: white;">Un an plus tard, plein de santé et de bonne humeur, le cavalier dépouille son bel uniforme pour revenir à Paris et suivre les cours de l'École de Droit.</span><br />
<span style="color: white;">L'étudiant continue l'élève de Condorcet, et retrouve sans peine l'habitude du succès. Mais, cette fois, avec la joie de vivre apprise à Lunéville, et qu'il entend ne pas abandonner.</span><br />
<span style="color: white;">Cependant, sans attendre le doctorat, il s'est inscrit au stage.</span><br />
<span style="color: white;">Il suit les réunions de colonne et grave dans sa mémoire les règles du Cresson. Il en est d'imprimées, il en est</span><br />
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<span style="color: white;">d'orales. Et parmi ces dernières, il en est une qui les explique toutes : « Pour être avocat, il faut pouvoir attendre... »•</span><br />
<span style="color: white;">Règle aristocratique, sans doute, qu'il ne faut pas juger avec nos yeux d'aujourd'hui. Règle qui heurte nos idées égalitaires, mais qu'explique, sous son apparent égoïsme, un culte de la tradition, un respect profond de la profession. Les grands anciens sont dépositaires d'une haute mission. Auxiliaires de la justice, ils doivent être dignes d'elles, à l'abri des influences, des compromissions, des transactions de conscience.</span><br />
<span style="color: white;">Ils redoutent l'ambition trop rapide, qui ne s'accommode pas de la « longue patience ».</span><br />
<span style="color: white;">Et le stagiaire attend, comme attendra l'avocat inscrit. Il entre dans le cabinet de Cléry, célèbre par ses boutades, et dont l'indulgence n'est pas le défaut dominant. Cléry lui donne du travail et des encouragements. Mais il y a dans ces caractères rudes un attrait singulier. Leur amitié grandit parfois à ne pas s'exprimer : moins en fleurs, plus en racines. A mieux connaître les hommes, on subit parfois l'attrait de pareilles natures : leur refus d'être aimables mérite d'être aimé.</span><br />
<span style="color: white;">Mais cette période d'attente, mon père le sait, n'a pas le droit d'être stérile : elle doit s'appeler préparation.</span><br />
<span style="color: white;">Il concourt a la Conférence : nommé second secrétaire, il aurait aimé faire l'éloge de Chaix d'Estange. Mais le premier secrétaire exerce sur le grand orateur un droit de priorité.</span><br />
<span style="color: white;">Reste un autre bâtonnier, plus effacé, dont le mérite principal paraît avoir tenu dans la rédaction d'un recueil de jurisprudence.</span><br />
<span style="color: white;">Le jeune secrétaire fera son éloge, mais avec ces nuances dont s'agrémentent, à l'Académie, les discours de réception. En quelques lignes, voici jugée l'oeuvre écrite de son ancien : « On rencontre dans ce recueil les décisions les plus</span><br />
<hr />
<span style="color: white;">— 99 —</span><br />
<span style="color: white;">inattendues et les plus variées. Il en est d'intérêt général,' il en est d'intérêt local; il en est même d'intérêt nul. »</span><br />
<span style="color: white;">En s'étonnant du désordre dans lequel elles sont présentées, il résume l'ouvrage en cette formule :</span><br />
<span style="color: white;">« Tout y est. Rien ne s'y trouve. »</span><br />
<span style="color: white;">Le succès de son discours met mon père en goût. Pour meubler les loisirs que lui laissent les audiences, il prend souvent la plume.</span><br />
<span style="color: white;">Chasseur passionné, il rédige un traité juridique : « Chasse et Procès. »</span><br />
<span style="color: white;">Avec Roger Allou, il entreprend un autre ouvrage : « Grands Avocats du siècle ». Rien de plus utile pour eux. Car en faisant revivre, en une galerie de portraits, les maîtres de la barre, ce sont les règles de la plaidoirie qu'ils s'efforcent de dégager, et peut-être celles du succès.</span><br />
<span style="color: white;">Dans la salle Marjolin, ils cherchent passionnément les plaidoyers de Berryer ou de Chaix d'Estange. Et voici qu'ils découvrent, avec mélancolie, le poids de la poussière qui recouvre leurs tranches.</span><br />
<span style="color: white;">La chute de cette poussière est-elle inévitable?</span><br />
<span style="color: white;">Est-il vain de s'indigner contre l'injustice de la renommée, qui prolonge l'écrivain au delà des siècles et qui s'enfuit avec le souffle de l'orateur?</span><br />
<span style="color: white;">Pourtant ces avocats ont été la parure de leur époque au même degré que tel poète ou tel écrivain. Plus qu'eux peut-être, ils ont remué les foules.</span><br />
<span style="color: white;">Mais ils les ont remuées par ces mille moyens mystérieux qui font l'éloquence, et dont, la vie est l'essentiel.</span><br />
<span style="color: white;"><i>Verba volant</i>... hélas!</span><br />
<span style="color: white;">Les jeunes auteurs veulent-ils encore en douter, un illustre philosophe, en préfaçant leur livre, va dissiper froidement leurs dernières illusions. C'est à Jules Simon que la préface a été demandée. Dès sa première ligne, il loue la bonne pensée qu'ont eue les auteurs. Et dès la seconde, il s'explique :</span><br />
<span style="color: white;">« On a beau publier des recueils de beaux plaidoyers;</span><br />
<hr />
<span style="color: white;">— 100 —</span><br />
<span style="color: white;">ces recueils ne se lisent pas, parce que les avocats ne plaident que des causes particulières, et qu'il n'y a de durée en littérature que pour ce qui est général. » Jules Simon ne s'en affecte pas. N'a-t-il pas écrit, lui, des livres qui ne périront pas ?</span><br />
<span style="color: white;">Imprudente confiance. La foule n'est pas seulement ingrate pour les orateurs. Elle l'est aussi pour ses philosophes.</span><br />
<span style="color: white;"><i>Exegi monumentum aère paerennius</i>.</span><br />
<span style="color: white;">Comme ses oeuvres, Jules Simon a été coulé dans le bronze. Il a pu croire qu'il durerait autant que l'église de la Madeleine, qui lui faisait face. Un jour pourtant, sa statue elle-même s'est évaporée sans laisser de traces.</span><br />
<span style="color: white;"><i>Sculpta volant</i>...</span><br />
<span style="color: white;">Cependant Jules Simon a donné en passant aux jeunes auteurs un conseil qui vaut d'être médité :</span><br />
<span style="color: white;">« Un grand avocat s'élève toujours au-dessus des faits de la cause.</span><br />
<span style="color: white;">Soit. Mais l'occasion?</span><br />
<span style="color: white;">Je sais bien qu'un mur mitoyen peut au grand avocat servir de tremplin. Mais à la condition de trouver au-dessus de lui une plate-forme pour le recevoir.</span><br />
<span style="color: white;">Et soudain, voici la plateforme, voici le miracle.</span><br />
<span style="color: white;">Un soir d'été, tout proche des vacances judiciaires, un coup de sonnette. Mon père est seul dans son appartement : sa famille, déjà, est à la campagne. Il ouvre. C'est un client qui a besoin d'un conseil rapide. Et la première qualité qu'il demande en ce moment à un avocat, c'est d'habiter près de chez lui et de le recevoir à 10 heures du soir.</span><br />
<span style="color: white;">Un voisin lui a donné l'adresse. Il y a couru.</span><br />
<span style="color: white;">Le client s'assied et se nomme : Edmond Magnier, sénateur du Var et directeur de l'Événement.</span><br />
<span style="color: white;">J'ai parlé de miracle : il y a deux miracles à la vérité. Ce client tombé dans la nuit, premier sujet d'émerveillement. Mais qu'il soit demeuré une fois le jour venu et ses yeux dessillées, quelle surprise plus grande encore !</span><br />
<hr />
<span style="color: white;">— 101 —</span><br />
<span style="color: white;">Les clients d'aujourd'hui ne seraient plus exposés à de pareilles erreurs.</span><br />
<span style="color: white;">Or, cet homme averti, ce sénateur qui dirige un journal et qui vient du Var, demeure fidèle au jeune avocat qu'il est venu consulter un soir de panique.</span><br />
<span style="color: white;">Admirable époque, qui possédait un Cresson pour prêcher l'attente, et des disciples pour lui donner raison!...</span><br />
<span style="color: white;">Magnier, c'est l'affaire d'assises, et la belle affaire. Un mandat politique, un journal parisien, un scandale financier dont on parle depuis longtemps : les Chemins de fer du Sud de la France. Et dans la coulisse le célèbre baron de Reinach, une poignée de parlementaires, une odeur de corruption.</span><br />
<span style="color: white;">Je parle de celle que l'opinion prétendait sentir. Moins malveillant, le Parlement n'avait rien remarqué. L'opinion est femme. Prompte à s'émouvoir, elle voit volontiers partout des escrocs, des faussaires, des assassins.</span><br />
<span style="color: white;">Alors que, dans sa masculine ingénuité, le Parlement n'en peut voir nulle part.</span><br />
<span style="color: white;">Ah, que le public a l'esprit mal tourné! On le déplore, mais puisque le mal est incorrigible, que l'opinion veut des exemples, le Parlement veillera au redressement des moeurs; la justice sera implacable, égale pour tous, et n'hésitera pas !</span><br />
<span style="color: white;">En 1895, elle, n'hésita pas : elle choisit Edmond Magnier. Edmond Magnier avait vendu de la publicité dans l'Événement, aux chemins de fer du Sud de la France. Trop cher, disait l'accusation.</span><br />
<span style="color: white;">A vrai dire, d'autres avaient reçu de cet or impur sous des prétextes moins avouables, d'autres qu'on n'inculpait pas. Et sans doute était-ce mieux ainsi. Qui veut le redressement des mœurs évite de trop remplir les prisons : il faut laisser aux honnêtes gens la réconfortante illusion de constituer une majorité.</span><br />
<span style="color: white;">Ces raisons d'État ne convainquirent pas l'avocat de Magnier. Dans son client, il ne voyait que le bouc émissaire</span><br />
<hr />
<span style="color: white;">— 102 —</span><br />
<span style="color: white;">sacrifié aux colères publiques. Quelle occasion, cette fois, d'élever le débat, et comme l'avocat s'en saisit, pour dénoncer les corrupteurs et les corrompus que la justice n'a pas cru devoir inquiéter!</span><br />
<span style="color: white;">On l'écoute avec surprise d'abord, puis passionnément. Cette voix claire, ce style impeccable, cette ironie mordante qui déchire poliment les fourbes, frappent d'admiration.</span><br />
<span style="color: white;">Ah ! quelle joie de donner sa mesure, et de rencontrer devant soi de tels adversaires! Ceux qui l'ont entendu savent qu'ils reverront l'avocat de Magnier.</span><br />
<span style="color: white;">Maintenant, il peut attendre.</span><br />
<span style="color: white;">Il le croit du moins, mais voici les mois qui s'ajoutent aux mois sans qu'un dossier important prenne le chemin de son cabinet. Quelle impatience et quelle inquiétude, s'il ne sert de rien d'avoir fait ses preuves. Des mois ! Et les remous s'effacent vite sur l'océan des renommées. Bientôt, qui parlera de l'affaire Magnier?</span><br />
<span style="color: white;">Inquiétude trop rapide : l'effort n'a pas été perdu. Un jour, un modeste inspecteur de la sûreté entre dans le cabinet de mon père. Il s'appelle Dupas : il lui confie une nouvelle affaire, quelque peu cousine de l'affaire Magnier. C'était une des dernières fusées que tirait la justice en l'honneur de Panama. L'époque était riche en concussions. Cette richesse, pourtant, n'allait pas encore jusqu'à l'insolence. Et peut-être cette mesure — si je puis dire — était-elle un bien pour les avocats. Car le scandale, aux temps de Panama, avait le temps devant lui. On avait le loisir de s'y intéresser, et d'écouter les plaidoiries. : Heureuse époque, où tout finissait comme tout doit finir : par des chansons et des procès!</span><br />
<span style="color: white;">« Lentement et doucement », telle était, devant l'escroquerie la devise du Gouvernement. Et le scandale s'enfonçait peu à peu, silencieusement, dans les sables mouvants de la procédure...</span><br />
<span style="color: white;">Scandales édulcorés ! Doux scandales d'autrefois !</span><br />
<hr />
<span style="color: white;">— 103 —</span><br />
<span style="color: white;">On connaît l'histoire, et la légèreté de certains parlementaires qui avaient accepté l'or impur d'Arton.</span><br />
<span style="color: white;">Déplorable imprudence! Le Parlement, il est vrai, faisait alors son apprentissage des choses financières. Il tâtonnait encore.</span><br />
<span style="color: white;">Il y avait bien sur ses bancs quelques précurseurs qui avaient reçu des honoraires. Mais la plupart, hélas, n'avaient reçu que des chèques...</span><br />
<span style="color: white;">Le Gouvernement, bien entendu, voulait la lumière, toute la lumière.</span><br />
<span style="color: white;">Il fallait connaître les noms des chéquards. Les connaître tous. Il suffisait pour cela d'arrêter le corrupteur : une fois pris, Arton parlerait.</span><br />
<span style="color: white;">A Dupas, fut confiée la délicate mission de rejoindre Arton.</span><br />
<span style="color: white;">Mais les espoirs mis en lui devaient être déçus. Arton demeura insaisissable.</span><br />
<span style="color: white;">On allait oublier, lorsqu'un jour parut une brochure signée Dupas : « Pourquoi l'on n'a pas arrêté Arton », où l'auteur révélait que des ordres supérieurs l'avaient empêché d'arrêter le corrupteur, et que sa seule mission avait été, en réalité, de négocier avec lui l'arrangement de l'affaire:</span><br />
<span style="color: white;">Brochure inadmissible, on en conviendra. (Il y avait alors dans la police de regrettables indisciplines.)</span><br />
<span style="color: white;">Celle-ci devait être réprimée : le Parquet poursuit Dupas...</span><br />
<span style="color: white;">La matière était belle. Elle comportait un séjour à Venise, que Dupas et Arton, amicalement, avaient fait ensemble entre violons, gondoles et pigeons, descendant à l'hôtel della Luna, visitant les monuments, les musées... et même les prisons, sans s'y attarder.</span><br />
<span style="color: white;">Et puis une course à travers l'Europe, course bien réglée, où, de capitale en capitale, Arton gardait sur Dupas, régulièrement, vingt-quatre heures d'avance.</span><br />
<span style="color: white;">D'un tel scénario, je laisse à penser le parti que tira l'avocat de Dupas.</span><br />
<hr />
<span style="color: white;">— 104 —</span><br />
<span style="color: white;">L'accusation sombra sous les rires. Non sans avoir, au passage, reçu quelques mauvaises flèches.</span><br />
<span style="color: white;">« Vous cherchez des receleurs, Monsieur le Substitut, s'écrie l'avocat. Prenez garde. Vous les avez peut-être trouvés. Un avis seulement : relevez le tir, croyez-moi. Car si vous manquez le but, c'est que vous visez trop bas. »</span><br />
<span style="color: white;">Ce fut l'acquittement pour Dupas, et la gloire pour son avocat.</span><br />
<span style="color: white;">Celui-ci n'aimait guère, au Palais, les spécialités : La vie allait désormais lui en imposer une : celle des belles affaires.</span><br />
<span style="color: white;">Il plaide pour les héritiers de Goncourt, pour Gyp contre M. Trarieux, pour Maria Daurignac dans l'affaire Humbert.</span><br />
<span style="color: white;">Les plus belles causes sont aussi souvent les plus courageuses.</span><br />
<span style="color: white;">La fin du xixe siècle voit, en France, l'éclosion de l'affaire Dreyfus, et, derrière le procès d'un homme, un mouvement qui dépasse l'accusé, qui fait craquer le cadre étroit du Conseil de guerre, qui transforme le pays en un immense prétoire et déchire les Français en les faisant tous juges. :' Le souriant et sceptique avocat de Gyp, l'homme de cœur qui a trouvé dans la défense des humbles — qu'ils s'appelassent Dupas ou Maria Daurignac — des accents de pure émotion, en regardant cette agitation un peu théâtrale, en la voyant soutenue par la presse étrangère d'une voix unanime, hésite à se livrer. Il s'interdit de prononcer une sentence dans un procès où tant d'éléments restent mystérieux, dans l'action judiciaire, dans l'affaire Dreyfus.</span><br />
<span style="color: white;">Que Dreyfus, s'il est innocent, soit rendu à la liberté, que les coupables soient châtiés. Rien de plus juste. Mais que le procès d'un homme ne devienne pas un prétexte : on peut sauver Dreyfus sans perdre la France ! Si c'est elle qu'il s'agit de défendre, il est de son côté.</span><br />
<hr />
<span style="color: white;">— 105 —</span><br />
<span style="color: white;">La rumeur grossit. "S'il a fallu du courage, quelques années plus tôt, pour défendre Dreyfus, comme à Rennes l'ont fait Démange et Labori, il en faudra bientôt pour défendre la Patrie française.</span><br />
<span style="color: white;">Ce sont Jules Lemaître, François Coppée, Vaugeois qu'en 1899 on traduit en correctionnelle. C'est Déroulède qui, escorté de ses amis, va comparaître en Haute-Cour.</span><br />
<span style="color: white;">J'ai relu les plaidoiries de mon père, avec une ombre d'inquiétude : je sais aujourd'hui combien quelques années ont tôt fait de détruire, et pis encore, de démoder ce que nous avons aimé. Les formes du langage changent comme celles des vêtements. N'allais-je pas rencontrer, dans ces échos d'une période où le panache se portait encore, des gestes trop larges pour notre époque, des accents trop hauts ?</span><br />
<span style="color: white;">Dès les premières pages, j'étais rassuré.</span><br />
<span style="color: white;">« Le cœur ne se porte plus », a écrit un de nos romanciers. Je n'en suis pas sûr. Ce qui ne se porte plus, c'est l'emphase, la draperie, tous ces vains ornements dont les marchands d'émotion prétendent l'étoffer et qui, par là même, rendent suspecte leur marchandise.</span><br />
<span style="color: white;">Le coeur se démode chez ceux qui le vendent : chez ceux qui le donnent, il est éternel.</span><br />
<span style="color: white;">N'allez pas croire que chez le défenseur de la Patrie Française le cœur aille tarir l'ironie sur les lèvres. C'est bien au contraire lui qui l'alimente.</span><br />
<span style="color: white;">Devant le Tribunal correctionnel, l'avocat de Vaugeois remercia les inculpés d'avoir secoué l'anathème que les «intellectuels » de l'affaire Dreyfus avaient jeté sur leurs adversaires.</span><br />
<span style="color: white;">Et il passa revue en la brillante phalange de ces penseurs «qui répétaient si haut et si souvent qu'eux seuls étaient clairvoyants, intellectuels et intelligents, qu'ils seraient arrivés à le persuader aux autres, et peut-être (qui sait?) à s'en convaincre eux-mêmes ».</span><br />
<span style="color: white;">De telles affaires et de telles plaidoiries, devaient</span><br />
<hr />
<span style="color: white;">— 106 —</span><br />
<span style="color: white;">conduire au bâtonnat. Elles y menèrent si vite que le nouveau bâtonnier manifesta, devant le vote de ses confrères, un moment de surprise... avant de leur donner une vie de reconnaissance :</span><br />
<span style="color: white;">« Vous ne m'avez pas laissé le temps d'être ambitieux », leur dit-il le jour de son élection.</span><br />
<span style="color: white;">Du moins eut-il celui de les mieux connaître. Il n'avait rien sacrifié pour les conquérir, pensant que, de la sincérité, rien ne doit être retranché. Beaucoup d'entre eux, pour l'élire, avaient écarté, de sang-froid, d'injustes préventions. Noble effort, dont le nouveau bâtonnier se rendit compte : s'il avait aimé jusque-là le Barreau, de ce jour, à coup sûr, il aima le Palais.</span><br />
<span style="color: white;">Parmi les premiers sourires que reçoit le nouveau bâtonnier, celui de la jeunesse est peut-être pour lui le plus attrayant. La Conférence va lui donner, avec de nouveaux compagnons, l'illusion de retrouver d'anciens camarades.</span><br />
<span style="color: white;">Deux promotions de secrétaires se succèdent auprès de lui à la Conférence. Le meilleur jour de la semaine, le plus gai, est celui qui le rapproche d'eux. Qu'elles passent vite, ces deux années ! Trop vite au gré des uns et de l'autre. Ils n'oublieront pas la table commune où ils ont travaillé. Il faut bien dire adieu au tapis vert de la Conférence, mais une nappe blanche le remplacera, autour de laquelle, tous les ans, se retrouveront le bâtonnier et ses secrétaires, singulièrement grandis, mais toujours rajeunis par cette heureuse rencontre.</span><br />
<span style="color: white;">Rajeunis. Car il y a dans le caractère du nouveau bâtonnier une étonnante jeunesse, qui l'a toujours accompagné et ne le quittera pas. Ce goût de la vie, cette belle humeur ne sont pas des privilèges qu'il réserve au Palais : tout le monde en profite dans la vie de chaque jour. Autour de lui, l'air est plus léger, la campagne est plus riante, les jeux sont plus gais.</span><br />
<span style="color: white;">Parce qu'il s'amuse, il amuse les autres, des plus jeunes aux plus âgés. Les dîners les plus solennels s'éclairent d'un</span><br />
<hr />
<span style="color: white;">— 107 —</span><br />
<span style="color: white;">sourire. On sait qu'en quelques mots, sans y toucher, il dégonfle les baudruches les plus respectables. Et les pontifes, vaguement inquiets, cessent de pontifier quand il est parmi les convives.</span><br />
<span style="color: white;">Au physique, même air de jeunesse. Front large, mâchoire solide, moustache rousse. Cheveux courts, légers, et coiffés en brosse. Taille petite, solide, allure vive d'un homme qui s'est adonné à tous les jeux, avant même que le progrès les eût assombris pour en faire des sports.</span><br />
<span style="color: white;">Une formule est devenue classique pour le décrire « : un officier de chasseur à pied. »</span><br />
<span style="color: white;">Mettons « à cheval », en souvenir de Lunéville. Et qu'on s'entende sur le cliché. Si l'on veut dire qu'il s'agit d'un chef, c'est un de ces grands chefs qu'on ne reconnaît pas à leurs galons, mais à leur regard. En subit-on l'autorité, c'est qu'on y devine la justice. Pas de vrai chef qui ne soit humain : s'il est maudit par les fripons, il sera béni par les misérables, étonnés de sa bonté profonde et de son indulgence.</span><br />
<span style="color: white;"><br /></span>
<span style="color: white;"> *</span><br />
<span style="color: white;">* *</span><br />
<span style="color: white;"><br /></span>
<span style="color: white;">A l'affection du Palais, les discours du bâtonnat vont bientôt répondre. Discours qui s'efforcent aussi d'être un enseignement : la meilleure sans doute des marques d'amitié.</span><br />
<span style="color: white;">Arrivé au sommet, l'avocat qui demandait jadis aux grands orateurs du XIXe siècle les secrets de leur art, s'arrête de nouveau pour les analyser. Il a maintenant beaucoup appris de ses adversaires, beaucoup appris de son travail propre.</span><br />
<span style="color: white;">C'est modestie de sa part que de chercher à diriger ses plus jeunes confrères. Un exemple vaut mieux qu'un conseil : il le leur apporte.</span><br />
<span style="color: white;">Rien de tel que d'entendre une de ces plaidoiries où s'affirment la solidité de la dialectique, l'élégance de la phrase, l'esprit, le caractère de l'homme.</span><br />
<hr />
<span style="color: white;">— 108 —</span><br />
<span style="color: white;">Sa dialectique. La plaidoirie s'ordonne ici comme une belle manœuvre. Aucun élément n'hésite sur la place à prendre. Pas de flottement, pas de contre ordres. Défensive, contre-attaque, diversion même, tout vient à point, sans rien de confus dans l'exécution. Et dans le tir, pas d'écart probable : tous les coups au but.</span><br />
<span style="color: white;">Il n'y a, semble-t-il, qu'une façon de plaider, celle-là. Et parce qu'elle aboutit en se jouant, elle procure parfois à ses auditeurs l'agréable illusion que demain ils en feront autant.</span><br />
<span style="color: white;">D'autres, moins indulgents, prétendent avoir vu l'effort :</span><br />
<span style="color: white;">« Très joli, très joli, disait un jour l'un d'eux, au sortir d'une audience. Mais c'est trop travaillé. »</span><br />
<span style="color: white;">Et son voisin de lui répondre :</span><br />
<span style="color: white;">« Eh bien, travaillez donc. »</span><br />
<span style="color: white;">L'élégance de la phrase.</span><br />
<span style="color: white;">Aux divers échelons de sa carrière, on retrouve chez lui ce souci de voir l'orateur concilier la chaleur et le style.</span><br />
<span style="color: white;">Mais comment, céder à ces vives impulsions qui, seules, émeuvent et soulèvent un auditoire, sans sacrifier la forme qui frappe et convainc?</span><br />
<span style="color: white;">A ses débuts, il se l'est demandé avec inquiétude. Mûri, il a pénétré les secrets de l'éloquence.</span><br />
<span style="color: white;">Il sait que tous ne peuvent prétendre à l'impétuosité de certains tribuns, à cette parole torrentueuse que la pensée, plus lente, n'arrive pas toujours à rejoindre. Mais il sait que chez les maîtres de la fougue, cette fougue même est disciplinée. Il écrira de Labori :</span><br />
<span style="color: white;">« Il ne préparait pas ses improvisations : il s'y préparaît. »</span><br />
<span style="color: white;">Sans travail, pas de résultat : seule vérité certaine.</span><br />
<span style="color: white;">Il y en a pourtant un autre, dont il lui était permis de ne pas parler : c'est qu'aux plus travailleurs, les dons n'ont jamais nui...</span><br />
<span style="color: white;">Parmi ceux-là, j'ai parlé de sa clarté. Elle avait un précieux allié : l'esprit.</span><br />
<hr />
<span style="color: white;">— 109 —</span><br />
<span style="color: white;">Dès qu'il prenait la parole, un préjugé favorable se devinait dans la salle, et chez les magistrats. Le greffier remettait à plus tard la copie de ses jugements. Nul appariteur ne venait entretenir le Président d'une affaire urgente —- plus urgente que celle qu'on venait de commencer. Le juge le plus détaché des choses du prétoire cessait de prendre des notes... du moins sur autre chose que la plaidoirie.</span><br />
<span style="color: white;">Tous savaient que le dossier le plus ingrat s'éclairerait d'un sourire, car au fond des dossiers, il y a toujours des hommes, dont il faut se hâter de rire...</span><br />
<span style="color: white;">Pourtant, dans l'ironie, rien de conventionnel. Ce n'est pas l'avocat qui la glisse dans le dossier : c'est elle qui en jaillit, qui s'impose à lui.</span><br />
<span style="color: white;">Don précieux, qui permet aux juges de suivre sans fatigue une démonstration, d'oublier qu'ils accomplissent un devoir, et de se trouver convaincus au moment où ils croient, seulement s'être divertis.</span><br />
<span style="color: white;">Des envieux ont calomnié l'esprit. Peut-être s'est-on mal entendu sur la chose : quoi de plus différent, sous le même vocable, que le bel esprit d'un Fontenelle, et le tendre humour d'un Galsworthy! Esprit, humour, ironie : quand ils sont au service de l'âme, quelle expression de la pensée ! Pudeur des sentiments qui craignent de se montrer à nu; cœurs qui veulent s'excuser de battre trop fort et se raillent eux-mêmes. Trop plein de l'émotion. A cet esprit-là, que les adversaires ne se méprennent pas. Qu'ils ne croient pas à un simple jeu; qu'ils sachent que l'homme, ici, est toujours d'accord avec sa robe.</span><br />
<span style="color: white;">Car c'est là le trait le plus marqué de mon père : le caractère.</span><br />
<span style="color: white;">Nous sommes nombreux encore qui, en juillet 1914, assistions à des débats d'assises qui soulevaient l'opinion du monde.</span><br />
<span style="color: white;">L'affaire Gaillaux.</span><br />
<span style="color: white;">Après l'ascension, après les grandes causes, après les</span><br />
<hr />
<span style="color: white;">— 110 —</span><br />
<span style="color: white;">honneurs, voici pour le bâtonnier Chenu l'occasion la plus prodigieuse de donner sa mesure, de démontrer que s'il y a deux barres, la civile et la criminelle, il lui suffit de rester lui-même pour les aborder avec une égale maîtrise.</span><br />
<span style="color: white;">L'affaire Caillaux. En quelques syllabes, quelle évocation! Si cette affaire n'avait dû, par elle-même, conquérir l'immortalité, le destin en la plaçant au plus dangereux carrefour de l'Histoire du monde, la sauvait à jamais de l'oubli.</span><br />
<span style="color: white;">Je ne veux pas, ici, en brosser le tableau. Qu'il me suffise d'évoquer au banc de la partie civile la douleur et les cris de révolte de l'avocat de Calmette devant des influences qui, venues du dehors, prétendaient courber les fronts dans la salle même des Assises.</span><br />
<span style="color: white;">La Politique dans le prétoire! Jusqu'alors, la formule était restée symbolique. Pour la première fois, le symbole prenait corps.</span><br />
<span style="color: white;">Sans doute avait-on vu déjà, dans d'étroits couloirs, sous une robe noire insuffisamment boutonnée, passer une écharpe de parlementaire. Mais la discrétion même de pareilles visites était encore, pour la justice, une manière d'hommage...</span><br />
<span style="color: white;">En juillet 1914, le pas fut franchi qui sépare l'ombre de la lumière.</span><br />
<span style="color: white;">La Politique était entrée, le front haut, à la Cour d'assises. Elle était là, debout, écartant les avocats d'une revers de main, toisant les juges, donnant des ordres.</span><br />
<span style="color: white;">Les adversaires de Calmette, comme ses partisans, connurent à maintes reprises des sursauts de révolte. Car ce n'était plus deux opinions qui s'entrechoquaient : c'était deux pouvoirs.</span><br />
<span style="color: white;">Et parfois, en voyant, devant la Cour, se dresser l'avocat de Calmette, on eût dit un pilote luttant désespérément contre la tempête où son navire allait s'engloutir, ce navire qui portait le Trésor du Palais de Justice.</span><br />
<hr />
<span style="color: white;">— 111 —</span><br />
<span style="color: white;">Ceux-là seuls qui ont vu comprendront son angoisse. La phrase qui l'a traduite appartient à l'histoire :</span><br />
<span style="color: white;">« Acte de Gouvernement (les interventions dans l'affaire Rochette) ! Ah ! si de telles doctrines pouvaient avoir cours, si cela devait être la règle au lieu d'avoir été la monstrueuse exception, ah! je le dis bien haut devant ceux qui m'entourent, devant tous ceux qui portent ou robe rouge ou robe noire, ni par les uns ni par les autres, Messieurs, nos robes ne mériteraient plus d'être portées! Qu'on les déchire, et qu'on apporte des livrées, — malgré la crainte que je puis avoir de ne pas en trouver à ma taille ! »</span><br />
<span style="color: white;">Cri magnifique d'orgueil et d'indépendance, sur lequel une époque est morte en beauté !</span><br />
<span style="color: white;">L'histoire recueille les paroles, mais ne va pas au delà. Elle est injuste et incomplète. Car il y a des silences aussi grands que les paroles. Ce procès n'avait pas que la France pour témoin : il se déroulait aussi sous l'oeil de l'Allemagne, qui en surveillait étroitement les péripéties, y guettant le prétexte qui, seul, manquait encore à sa préparation.</span><br />
<span style="color: white;">Ceux qui entouraient l'avocat des enfants de Calmette l'ont vu, par instants, pâlir, au risque de paraître ému de ce qu'il allait dire : il l'était seulement de ce qu'il fallait taire.</span><br />
<span style="color: white;">Des clameurs d'enthousiasme ont souligné l'éclat des mots. On n'applaudit pas le silence. Il est permis de la saluer.</span><br />
<span style="color: white;">On connaît l'issue de l'affaire; elle fut un triomphe pour l'avocat vaincu. Mais il n'eut pas, pour le savourer, un instant de loisir. Alors que ses proches, absorbés par le spectacle de la Cour d'assises, avaient oublié l'inquiétante Allemagne, son premier mot, après le verdict, fut pour leur en parler. Je le revois, d'un geste, rejeter lui-même dans le passé, au sortir du Palais, les plus grandes heures de sa carrière, ces heures toutes chaudes encore, pour regarder l'avenir. Paris apprenait à peine la fin du procès, et les premières clameurs gagnaient seulement la ville. Son nom</span><br />
<hr />
<span style="color: white;">— 112 — .</span><br />
<span style="color: white;">volait sur toutes les lèvres. A ses yeux cependant, l'heure n'était déjà plus de s'attarder à l'éloge d'un homme : c'était au pays qu'il fallait songer.</span><br />
<span style="color: white;">Quelques jours après, il voyait sans défaillance ceux qu'il aimait partir pour le drame.</span><br />
<span style="color: white;">Que n'était-il d'âge à partir aussi?</span><br />
<span style="color: white;">Période affreuse, parce qu'il allait connaître l'impuissante émotion de ceux qui, ayant donné les leurs au pays, ne pouvaient qu'attendre passivement des nouvelles. Période douloureuse, parce que cette énergie et cette intelligence dont il venait de donner la mesure, la France n'avait pas prévu qu'on put l'utiliser.</span><br />
<span style="color: white;">A un puissant ami, il demanda que lui fut donnée, dans le plus modeste emploi, une occasion de servir. Vainement.</span><br />
<span style="color: white;">Pardonnons au puissant ami qui n'osait pas lui proposer un rôle indigne de lui, et ne pouvait pas lui en confier un autre.</span><br />
<span style="color: white;">Alors lui parvinrent des lettres du front, de ce front que l'arrière connaissait assez mal.</span><br />
<span style="color: white;">Il prit la plume pour les traduire, et les journaux lui ouvrirent leurs colonnes. De ses articles, un recueil subsiste : « De l'Arrière à l'Avant. » Document où se retrouvent son horreur de l'emphase, son émouvante simplicité.</span><br />
<span style="color: white;">Puis la guerre, en se prolongeant, cessa d'être un état précaire : l'Europe s'y installait. Le devoir, à l'arrière, était de rendre au pay<u>s</u> son activité. Il reprit, avec ses dossiers, le chemin du Palais.</span><br />
<span style="color: white;">Les combattants, les jeunes, n'ont compris que plus tard que leur part n'était pas toujours la plus atroce. Prisonniers de leurs angoisses propres, ils songeaient moins à celles des leurs, qu'aucune action, qu'aucun péril personnel n'absorbait, et qui, lentement, s'usaient au supplice des bras croisés.</span><br />
<span style="color: white;">Les lettres que mon père, adressait au front ne reflétaient rien, volontairement, du drame intérieur. Belles,</span><br />
<hr />
<span style="color: white;">— 113 —</span><br />
<span style="color: white;">par cela même. Grandes parce qu'elles savaient éviter les grands mots. Une fois de plus, ce n'était pas des paroles, c'était une pensée qui nous parvenait, noble toujours. Sous le manteau du Spartiate, cependant, lentement, la bête rongeait le coeur.</span><br />
<span style="color: white;">En 1918, que de jeunes amis tombés, que d'autres au danger ! Et par delà les deuils, celui du pays. Il semblait que cette fois la mesure fut comble, la France épuisée, sa perte fatale.</span><br />
<span style="color: white;">Et soudain, le fléau de la balance oscille. Juillet 1918! Aurore ! C'était la France qui allait vaincre.</span><br />
<span style="color: white;">Au lendemain d'une offensive victorieuse, permissionnaire, j'arrivai à Paris. Mais une lettre m'était parvenue :</span><br />
<span style="color: white;">« Ton père a eu une violente crise d'estomac. Tu le trouveras changé. »</span><br />
<span style="color: white;">Changé? Non. Il fallait être prévenu pour s'en apercevoir. Un peu moins jeune, peut-être, mais il avait une telle avance sur la vieillesse que celle-ci était loin de le rejoindre encore.</span><br />
<span style="color: white;">Avec la paix, son cabinet retrouva aussitôt clients et activité : de gros dossiers plaidés avec le même éclat.</span><br />
<span style="color: white;">Des amis avaient voulu, en 1918, l'accueillir à l'Académie. Mais leur candidat était détestable.</span><br />
<span style="color: white;">Gâté par le Palais qui était venu au devant de lui, il se résignait, mal aux visites officielles.</span><br />
<span style="color: white;">La Paix, en poussant un grand vainqueur vers le fauteuil qu'on lui préparait, le délivra de cet embarras : Il s'empressa de retirer sa candidature. Pour ne plus la poser.</span><br />
<span style="color: white;">Les années passèrent. Un jour, au Palais, il fut témoin d'une scène poignante : un grand confrère, son adversaire, perdant le fil de sa plaidoirie, frappé d'amnésie sur son dossier même, et sa figure en larmes tombant dans ses mains. Il avait vu finir un grand avocat.</span><br />
<span style="color: white;">Il ne fallait pas que lui survint pareille aventure. Il se surveilla. Puis, un jour, sans que rien eut trahi au dehors</span><br />
<span style="color: white;">CONÏÉE. DES AVOCATS. — 1936 8</span><br />
<hr />
<span style="color: white;">— 114 —</span><br />
<span style="color: white;">la moindre défaillance, sans pitié pour lui-même, il décida de s'arrêter.</span><br />
<span style="color: white;">Dure sagesse, qu'il s'interdit dès lors de regretter jamais.</span><br />
<span style="color: white;">Au Conseil de l'Ordre, il n'en faisait pas moins l'étonnement et la joie de ses confrères par ce coup d'oeil qui lui permettait de saisir, au vif, le noeud de toutes les questions, et de les résumer en formules lapidaires pleines de cette ironie qui lui restait propre. Mais cela même, un jour, devint une fatigue trop grande. Il fallait se résigner. Il n'y avait plus qu'à attendre...</span><br />
<span style="color: white;">Attendre. Le mot qui consolait jadis son impatience, lorsque c'était la vie qu'il s'agissait d'attendre.</span><br />
<span style="color: white;">Cette attente, il l'observa avec une sérénité qui fit l'admiration de tous. Car nombreux étaient ceux qui, au retour du Palais, venaient lui rendre visite : ils savaient qu'il ne s'agissait pas de remplir, auprès d'un vieillard chagrin, un devoir morose. Leur ancien bâtonnier devait garder jusqu'au dernier jour la coquetterie de ne représenter pour personne une obligation.</span><br />
<span style="color: white;">Une visite qu'on lui faisait, c'était une escale au cours d'une journée de travail. Sur les événements du dehors, il portait un jugement souriant, caustique, qui détendait les nerfs, mettait les choses au point. Ses interlocuteurs sortaient surpris, charmés de l'intérêt qu'il leur avait témoigné, qu'il gardait pour sa profession, étonnés de cette verve qui ne tarissait pas.</span><br />
<span style="color: white;">Un jour, il fit une mauvaise chute, dont l'évolution était trop facile à diagnostiquer.</span><br />
<span style="color: white;">On voulut le rassurer. Il sourit :</span><br />
<span style="color: white;">« Je n'ai rien à regretter. Si ma vie était à refaire, je ne la referais jamais aussi bien. »</span><br />
<span style="color: white;">C'était là sa pensée vraie, souvent exprimée.</span><br />
<span style="color: white;">L'existence lui avait été indulgente : il le savait. Il avait la sagesse d'en convenir au plus profond de lui-même, sans un regret.</span><br />
<span style="color: white;">La délivrance, depuis deux ans, il la souhaitait sans un</span><br />
<hr />
<span style="color: white;">— 115. —</span><br />
<span style="color: white;">mot de révolte : l'esprit trop vif ne s'accommodait plus de vivre dans un corps trop las.</span><br />
<span style="color: white;">Après sa mort, nous avons trouvé, groupés dans un petit dossier, quelques papiers, des lettres, des coupures, qui, se rattachant à sa carrière, aidaient à la jalonner.</span><br />
<span style="color: white;">Sur la couverture, il avait écrit : <i>Ma gloire</i>. Et d'un crayon sceptique, il avait ajouté un point d'interrogation.</span><br />
<span style="color: white;">C'est à ce point d'interrogation que je me suis aujourd'hui efforcé de répondre.</span>Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-81966158478930353242020-03-21T19:30:00.000-07:002020-03-21T19:30:38.030-07:001859 affaire Chenu Dié pour CailOn connaissait Leroux-Dufié qui ne s'en laissait pas compter.<br />
voici Chenu (Chenu père, fils du futur batonnier de Paris, collègue de Leroux-Dufié chez Cail)<br />
<br />
Issu du journal des débats du 8 décembre1859<br />
<br />
<br />
<br />
- Le sieur Dié, marchand de papiers, rue du Cherche-Midi, 110, est traduit devant le tribunal correctionnel (7e chambre), pour tromperie sur la quantité de la marchandise vendue.<br />
MM. Cail et Cie, quai de Billy, 48, se portent partie civile, et demandent une somme de 881 fr. à titre de restitution.<br />
Voici les faits tels qu'ils sont relevés par la prévention sur la plainte formée par MM. Cail et Cie.<br />
Depuis deux ans environ, la maison Cail et Ce se fournissait chez M. Dié de divers articles de bureaux, de papiers et notament de papiers diaptiques propres à calquer. D'après l'usage et même d'après le prospectus de M. Dié, chaque rouleau de ce papier devait contenir 20 mètres de longueur sur 1 mètre 15 centimètres de largeur. C'est ainsi que huit cents rouleaux furent livrés à la maison Cail qui n'avait eu l'idée d'en vérifier le métrage; il fallu qu'un jour M. Tardif, marchand de papiers, vint mettre la maison Cail sur la voie d'une fraude commise à son préjudice; il expliqua que lui-même s'étant fourni pendant quatre ou cinq mois de ces papiers chez M. Dié, il avait trouvé sur chaque rouleau un déficit de 4 ou 5 mètres.<br />
M. Chenu, chef de bureau de l'administration de la maison Cail, résolut de prendre le fournisseur en flagrant délit, et dans ce dessein, dans le courant du mois de juin, il fit à M. Dié la commande habituelle de cent rouleaux. Quelques jours après, Mme Dié vint elle-même livre un à-compte de vingt rouleaux, et la vérification en fut faite en sa présence. Le déficit était toujours de 4 à 5 mètres; les rouleaux livrés antérieurement furent aussi mesurés le même jour et donnèrent le même résultat. Mme Dié soutint d'abord que c'était elle-même qui avait mesuré les rouleaux avant de les livrer; puis enfin elle attribua ce déficit à une erreur commise par un de ses employés et offrit de payer le déficit.<br />
M. Dié vint lui-même au bout de quelques jours, et prétendit que les papiers livrés lui ayant été refusés et rendus pour être recuits, la nouvelle cuisson avait produit un resserrement qui explicait le déficit. On lui objecta que les papiers, par l'effet de cette cuisson, se seraient retirés en largeur comme en longueur, ce qui n'existait pas. M. Dié se refusa à toute nouvelle explication et assigna M. Cail devant le tribunal de commerce; celui-ci répondit par une plainte en tromperie sur la quantité de la marchandise.<br />
Le commissaire de police fit vérifier quatre-vingts rouleaux qui n'avaient pas été recuits, et qui tous présentaient néanmoins un déficit de 4 à 5 mètres. Enfin, pour l'instruction, M. Dié prétendit que, selon l'usage du commerce de papeterie, il n'avait pas vendu ses papiers à la mesure, mais bien au rouleau et en bloc.<br />
M. Dié ne s'est pas présenté à l'audience; il a écrit au président qu'il était malade et hors d'état de se présenter devant la justice. Défaut a été donné contre lui.<br />
Plusieurs marchands de papier sont entendus, et il résulte de leurs déclarations qu'il est d'usage de livrer ces papiers par rouleaux de 10, 20, 30 ou 40 mètres.<br />
M. l'avocat impérial David soutient la prévention, et Me Thureau plaide pour la partie civile.<br />
Le tribunal, présidé par M. Bonnefoy des Aunais, a condamné par défaut le sieur Dié à trois mois d'emprisonnentent, 50 fr. d'amende, à payer à la partie civile la somme de 481 fr. à titre de restitution, et a fixé à une année la durée de la contrainte par coprs. (<i>Le Droit</i>.)<br />
<div>
<br /></div>
Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-54660619936613504422020-01-26T14:59:00.001-08:002020-02-16T12:59:26.197-08:00Totoche (EDIT + 1 chapitre)Premiers chapitres de Totoche :<br />
<br />
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">TOTOCHE<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">PRISONNIER DE
GUERRE<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">(journal d’un
chien à bord d’un tank) <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">PRÉSENTATION<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">C'est en février 1917 que je fus fait prisonier par l'armée française.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Jusque-là, je servais dans les rangs de l'armée allemande, où l’on
m’appelait Poilu. Du jour où, captif, je fus emmené par les troupes françaises,
on me baptisa Fritz. Car c’est bien souvent la destinée des chiens qui
combattent, de recevoir des noms empruntés à la langue des ennemis de leurs
maîtres. Il en résulte pouir nous l'impression pénible d'être partout des
étrangers, que protègent seulement les règles un peu flottantes du droit
international.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Je dois dès maintenant - amené que je suis par les circonstances à rédiger
mes mémoires sur le sol français – quelques éclaircissements au patriotism inquiet
de mes lecteurs.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Il peut leur être déplaisant de lire la prose d’un chien qui n’est pas des
leurs, s’ils doivent craindre, à tout instant, qu’il ne sente pas comme eux.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Aussi leur ferai-je remarquer que les sentiments des chiens, en matière de nationalités,
n’ont pas l'absolutisme des sentiments humains. Quand nous nous employons à
soutenir le moral d'une troupe, c'est souvent par pure occasion, et rien ne s'oppose
à ce que nous remplissions un rôle analogue - si les événements <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>l'exigent - dans la tranchée adverse.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">J'ai quelque répugnance à nous comparer à des mercenaires : ne puis-je
pas toutefois revendiquer l'exemple de ces troupes suisses qui servaient les
monarques les plus divers et les causes les plus opposées, pour le plaisir unique
d'être belligérantes? Mais il faut observer, en ce qui les concerne, que ces
expériences successives les ont assagies, et qu'elles se sont avisées, en
définitive, des bienfaits de la neutralité. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Nous aussi, nous sommes neutres, mais nous aimons la guerre : nous sommes
des neutres belligérants. Nous ne participons pas, d’une manière directe, aux
aspirations nationales des hommes, et notre indépendance y gagne ce qu’y perd
notre ambition.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">On conçoit dès lors qu’un revirement puisse s’opérer loyalement dans nos
opinions, pour peu qu’on nous éclaire. Je me suis éclairé.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>J’ai vu bien des hommes se tenir
d'autant plus lourdement à une idée qu’ils l'avaient plus admise avec plus de
légèreté. Ce n'est pas ma manière de faire.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Mon évolution s'est progressivement accomplie, sous l'effet d'influences
diverses, d‘ordres psychologique,<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>matériel
et moral.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Je m'appliquai, dès le début, à connaître mes vainqueurs.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Cette tâche me fut facilitée par l’habitude prise, aux armées, quand la guerre
en laisse le loisir, de réunir, sous le nom de rapport, une assemblée générale
dans chaque unité.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Nul n'ignore que les chiens ont coutume d'assister à toutes ces manifestations
oratoires. Je ne crois pas, depuis que je me suis engagé, avoir manqué dix fois
le rapport de compagnie : aucun chien, d’ailleurs, sauf cas de force
majeure, ne se le serait permis.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Mais tandis que chez les Allemands, les chiens étaient tenus hors du carré
formé par les hommes, je fus touché de la tradition française qui leur réserve
une place au centre même de ce carré.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Dès le second jour - pourquoi cacherais-je la satisfaction d’amour-propre
que je ressentis - je fus admis à me tenir, au rapport, devant le capitaine, et
depuis, une d’honneur m'y fut toujours marquée.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">J'ai même acquis le privilège de m’y asseoir, alors que les gradés, autour de
moi, doivent demeurer debout.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">J’adore ces manifestations de l'esprit militaire. J’estime qu'il n'est rien
de tel pour établir le prestige d'un chef et pour tenir la troupe en main. De
ma place, je m'accoutume à tous les visages, je connais toutes les attitudes et
toutes les odeurs. Je me pique de discerner là, au premier coup d’œil, les bons
et les mauvais soldats.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;"><span style="mso-spacerun: yes;"> </span>Au début du rapport, un gradé pousse
un cri bref, qui déclenche chez les hommes prodigieux fracas de talons. C'est
ce bruyant entrechoquement des talons qu’on appelle la discipline. Lorsque les
hommes ont des sabots, la discipline est magnifique.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Or ce fut là que j'observai le plus grand contraste entre les deus nations.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Les officiers allemands, quand le rapport nous réunissait, y parlaient
fréquemment origines de la guerre, et nous démontraient que personne, en
Allemagne n’avait voulu ce grand fléau.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Entre chiens, nous hochions la tête. J'avais là des anciens qui se
piquaient d'avoir connu la douceur des casernes en temps de paix, et nul
d'entre eux n'eût souhaité pareil cataclysme, qui rend les ravitaillements
incertains, quand il n'aboutit pas à l'enterrement pur et simple des détritus
de nos cuisines.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">En France, je n'entendis pas parler de ces causes premières.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Lorsqu'on avait appris aux hommes qu'un des leurs était puni pour avoir
fabriqué des coupe-papier avec des balles, ou pour avoir fait passer un courant
électrique dans la serrure d'une porte, et de là, dans la main d'un officier
supérieur, il semblait que l’intérêt <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>de
la journée fût épuisé pour eux. Et j'aurais tenu ce silence sur les origines de
la guerre pour l'aveu d'une responsabilité, si je n’avais découvert que les
Français n'en disaient rien parce qu'ayant<span style="mso-spacerun: yes;">
</span>été attaqués, ils croyaient inutile de se demander s'ils n’étaient pas
les agresseurs.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">D'autres considérations m'amenèrent à m'attacher davantage à la cause de
mes vainqueurs. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Ils témoignèrent vis-à-vis de moi, dès le début de ma captivité, d’une confiance
qui sut m’émouvoir.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Je fus, le second jour, prisonnier sur parole : c’est-à--dire qu'on
ôta de mon cou la ficelle déshonorante qui nuisait à la spontanéité de mon
affection, et je me gardai de manquer jamais aux conditions tacites auxquelles,
de gaîté de cœur, j’avais immédiatement souscrit.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">J’eus alors l’impression d’une vie libre et nouvelle. Mes allées et venues
ne connurent plus d’entraves.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">J'avais craint, comme prisonnier, d'être employé aux travaux des champs, et
les chiens savent qu'à la campagne la viande est une rareté. Or je fus attaché
au service d'un officier, ce qui me parut d'excellent augure.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Les événements postérieurs ne m'ont pas déçu. Je n’ignore plus rien aujourd'hui
des services de ravitaillement. J'entretiens des relations suivies avec le caporal
d’ordinaire. Je veille, de ma personne, à toutes les distributions, ce qui me
permet de savoir où je devrai plus tard chercher les bons morceaux, et j’émarge
à toutes les tables.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Ces détails ont leur importance. Le premier devoir d'un chef est de nourrir
ses hommmes : une troupe mal nourrie est une troupe vaincue.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Mais il a d’autres devoirs à remplir : il doit savoir parler à ceux
qu'il commande. Et mes vainqueurs surent mes parler.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Je ne veux pas faire allusion à cette langue<span style="mso-spacerun: yes;"> </span>internationale, bonne au plus pour chiens arriérés,
et qui consiste à doubler les syllables des mots.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Ce n'est pas parce qu'on m'aura dit : « Où qu'il est le tit
chien-chien qui fait des li-liches aux nei-neilles de son
maî-maître ? » que ces puérilités auront agi sur moi.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Mes maîtres firent mieux. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Au bout de quelques semaines, le nom de Fritz, symbole de ma captivité, fut
abandonné, et je fus, de but en blanc, surnommé Totoche. J’aimai tout de suite
omn nouveau nom. Je l'aime toujours : je lui trouve des qualités bien
françaises de gaîté, d'entrain, et même une certaine pointe de parisianisme.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Il ne serait pas tout à fait exact de dire que je réponds au nom de Totoche
: mais je ne répondais guère, autrefois, à ceux de Fritz ou de Poilu. Une
longue carrière de crapouilleur m’a durci l’oreille, ce qui me dispense,
honnêtement, de me rendre à tous les appels.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Et puis, ma vie de combattant m’a donné des habitudes d’indépendance.
J’attends, pour obéir, d’être sûr de servir un intérêt général : je ne
crois pas devoir m’inquiéter des fantaisies individuelles.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Un règlement bien compris doit laisser place à l’initiative de chacun,
développer les personnalités et les utiliser, non pas les comprimer.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Et j’ai ma personnalité.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Je suis Totoche, prisonnier de guerre…<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<br /></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center; text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">COMMENT JE FUS FAIT PRISONNIER<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Ma capture se rattache – j’en ai quelque fierté –à de grandes opérations
militaires.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Malgré l'estime que j’ai pu concevoir pour mes vainqueurs (au point de <span style="mso-spacerun: yes;"> </span>combattre, plus tard, de leur côté), j’aurais
ressenti une certaine humiliation à me voir pris au cours d'un coup de main
quelconque, digne à peine du communiqué.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Or, en février 1917 , eut lieu le recul du génial Hindenburg.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">On nous avait bien prévenus, au rapport, des intentions du commandement. On
nous avait bien mis en garde contre les dangers de la captivité. Nous savions d’ailleurs
que les Français brûlent vifs leurs prisonniers, ce qui rendait superflues de
pareilles recommandations.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Toutefois, j’avis déjà, dans les premiers mois de la guerre, été témoins
d’un recul stratégique. Je savais par expérience combien un tel recul nuit au
ravitaillement, mais j’en étais revenu. Et puis, un recul génial doit comporter
une sécurité plus grande qu’un recul stratégique : ou bien il serait
inutile qu’il fût génial.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Je fus avisé qu’une arrière-garde aurait à maintenir le contact avec
l’ennemi, pour masquer le départ du gros.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Ma place était indiquée : je partis avec l’arrière-garde.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Ce fut alors que ce produisit dans la manœuvre allemande une faute
impardonnable. Dans la nuit, alors que, m’étant relevé de mes fonctions de
guetteur, je sommeillais dans un abri, l’arrière-garde se replia génialement,
en oubliant de me prevenir.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Quand je me réveillai, les Français tenaient la tranchée…<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Je craignis d’abord que mon défaut d’uniforme ne me fit juger avec la dernière
rigueur. Mais je m’avisai soudain que cette particularité, qui pouvait me
perdre, était en même temps une chance de salut, puisque rien n’indiquait dans
ma personne quelle était ta nation dont je servais la cause. Ne pouvais-je pas,
au besoin, passer pour un simple civil, attiré sur les lieux par la nouveauté
du spectacle ?<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Je pris donc le parti de trottiner dans les boyayx, de l’air le plus
naturel du monde, le regard candide, le nez à terre, la queue au ciel, et
l'oreille droite rejetée négligemment en arrière, comme il m'arrive de faire à mes
heures de laisser-aller.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Fait incroyable, je vécus ainsi deux jours sans éveiller autour de moi la
moindre défiance.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Mais un matin, tandis que je poussais une reconnaissance vers l’arrière des
lignes françaises, je me trouvai soudain nez à nez, au détour d'un boyau, avec
un homme étrange, qui s’écria en m’apercevant : « Tien ! un
Boche! ».<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Je n’ai jamais su à quel signe il avait découvert ma nationalité. Je pensai
moi-même : « Tiens ! un Américain ! » car cet homme
avait un visage glabre et la mâchoire volontaire qu’ont les Américains du <i style="mso-bidi-font-style: normal;">Simplicissimus</i>, la structure athlétique
d’un champion de base-ball, et les lorgnons intelligents du président Wilson.
Il n’en était pas moins Français de bonne souche, comme beaucoup d'autres
Américains de sa société.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Je conçus, de ce jour, un doute sur la sincérité des caricaturistes.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Quoi qu'il en soit, je fus, en un clin d’œil, entouré, et je m’acheminai,
la corde au cou, vers la zone de l'intérieur. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Et soudain, je tremblai d’avoir été pris par des francs-tireurs.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Ceux qui m’entraînaient possédaient les accoutrements les plus singuliers.
Ils étaient, en général, vêtus d’une sorte de grosse toile khaki et d'un veston
bleu ciel bourré de mouton blanc.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Je tentai de me rassurer en me disant que des députés ou des journalistes –
j’en avais vu dans les lignes allemandes – pouvaient seuls avoir l’idée d’un
pareil équipement.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Mais, à la première halte que nous fîmes, mon inquiétude redoubla.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Comme mon guide s’asseyait, j’aperçus à son ceinturon, dans
l’entre-baillement du veston bleu ciel, un couteau d’égorgeur, et je frémis en
lisant sur la poignée ces mots qui jetaient une lueur sinistre sur ma
destinée : « Le vengeur de 1870. »<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Je cherchai bien à me rassurer en me disant que si je n'avais pas voulu cette
guerre, j’étais bien plus irresponsable encore d’une guerre si reculée. Je n'en
baissais pas moins la queue, d’instinct, en signe de soumission.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Il ne semblait pas, d’ailleurs, que mes vainqueurs fussent disposés à
venger sur moi l’outrage de 70. L’un d’eux pourtant dégaina si brusquement que
je fermai les yeux… Lorsque, ne sentant rien venir, je hasardai un regard, je vis
l'égorgeur qui, d'un air pacifique, décrottait ses bottes avec son couteau.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Je ne crois pas que ces glaives aient, par la suite, accompli de plus
grands exploits. Les projets de vengeance, pour l'instant, semblaient écartés.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Comme nous arrivions dans un ravin, je fus frappé d'un spectacle étrange :
mes vainqueurs étaient venus là dans des voitures aux couleurs criardes, aux
silhouettes bizarres. Et je compris soudain que j’avais devant moi ces engins
mystérieux qu’on appelait des tanks.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">J’allais les examiner quand une vieille paysanne s’arrêta devant eux, et
demanda au lieutenant Gorgit, à la personne de qui j’étais attaché (d’un peu
plus près alors que je n’aurais voulu) :<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- C’est-il donc ça ces machines infernales ?<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- C'est ça.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- Ainsi !... Et c’est-il qu’il fait chaud là dedans?<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- Soixante-dix degrés.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- Ainsi donc!... Et ça va-t-il vite comme une auto?<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- Plus vite, à cause des chenilles.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- Et comment que vous tirez, là dedans?<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- On tire dans le tas. <o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- Ainsi voyez donc !... Il y a le père Tissier qu’en a vu un, le père
Tissier, à Bourdenval… Qui qu’a le bureau de tabac, près de la place. Il dit
comme ça que ça renverse les maisons, qu’il dit.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- Bien sûr. Nous en avons renversé une pour venir, une maous... Vous aprlez
d’une dégringolade!...<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- Ainsi !.. Et il dit qu’on vous a fait jurer de vous faire sauter si
vous étiez pris, qu’il dit ?<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- Tout le monde a juré. On appuie sur ce bouton-là. Boum, ça y est.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- Les pauvres enfants ! … Et vous allez-t-il pas tuer les nôtres, en
sautant comme ça ?<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- Non, non ! C’est calculé : ça éclate en avant.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- Par où donc que vous respirez ? c’est-il que vous ouvrez les portes.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- On ne peut pas. Elles sont fermées.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- Fermées ?<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- Par le général, le matin de l’attaque. Et il garde la clé pour rouvrir le
soir.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- Si c’est pas malheureux !... Et ça sera-t-il bientôt fini, c’te
guerre ?<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- Peut-être plus vite qu’on ne croit.<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">- Parce qu’il y a le père Tissier qui disait comme ça…<o:p></o:p></span></div>
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<![endif]-->
<!--StartFragment-->
<!--EndFragment--><br />
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">Mais ici le dialogue dévia vers des stylets dénués de tout interêt. Je veux
dire qu'il aborda le domaine agricole et le domaine économique, questions dont
j'estime - et tous les guerriers avec moi - que ne doit s'embarrasser en aucun
cas l'esprit d’un vrai militaire. <o:p></o:p></span><br />
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;"><br /></span>
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;"><br /></span>
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;"><br /></span>
<br />
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<br /></div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center; text-indent: .5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;">JE SUIS DANS LES TANKS<o:p></o:p></span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<br /></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span style="text-indent: 0.5in;">Ainsi, ma situation se définissait : j'étais le prisonnier d'un équipage de tanks.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Une chose m'avait frappé : la désinvolture avec laquelle Gorgit avait documenté la vieille paysanne, sans s'inquiéter des conséquences d'un tel bavardage.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Cette confiance accordée à l'élément civil allait à l'encontre de mes idées.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Car les tanks, à l'époque, étaient des nouveautés.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Mes vainqueurs étaient venus là pour "pousser " les Allemands, et n'avaient pas trouvé l'occasion de donner.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Ils étaient venus, n'avaient rien vu et avaient vaincu, ce que César n'avait pu faire en son meilleur jour.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Il en résultait pour les équipages un double état d'âme : la collectivité déplorait hautement de n'avoir pas donné de coups, et les individus se félicitaient intérieurement de n'en avoir pas reçu.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Mais tel est le moral des troupes que lorsqu'il fut certain que nous quittions le front, il n'y avait plus qu'un sentiment : le regret de n'avoir pas remporté l'écrasante victoire dont la certitude s'imposait alors aux plus pessimistes.</span><br />
Je ne voudrais pas, conscient de mes devoirs, affaiblir la défense nationale par d'imprudentes révélations. Le souci de la vérité doit avoir pour limite les nécessités stratégiques. J'essaierai de ne pas franchir cette limite en ajoutant, aux détails techniques donnés par Gorgit, un tableau de mon cru.<br />
L'extérieur d'un tank — il s'est modifié depuis — présentait un amalgame hurlant de couleurs vives. C'était le résultat d'un travail spécial, appelé camouflage. Je ne suis pas sûr, aujourd'hui encore, d'en avoir bien saisi la portée militaire.<br />
J'imagine qu'on s'était proposé, par l'éclat des peintures, d'attirer l'attention de l'ennemi de telle sorte qu'elle se détournerait instantanément de l'action principale.<br />
Les Allemands, d'autre part, se disait-on, après un temps de réflexion, n'admettraient pas que des combattants se fussent affublés de la sorte, et croyant qu'on cherchait à leur faire user, sur de faux objectifs, d'inutiles obus, <span style="text-indent: 0.5in;">ne donneraient pas dans ce piège grossier.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Ce calcul était trop subtil pour le champ de bataille.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Là-bas, si l'on aperçoit un homme, vêtu de rouge, dans les lignes ennemies, on tire aussitôt sur lui, et l'on se demande ensuite </span>—<span style="text-indent: 0.5in;"> si l'on n'a rien de mieux à faire — pourquoi cet idiot-là s'est foutu en rouge.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Mais laissons cette question — à laquelle des spécialistes ont donné par la suite une solution plus heureuse — pour aborder le dessin lui-même.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Imaginez une limousine, dont les roues avant soient rattachées aux roues arrière par un long ruban métallique, la chenille.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Blindez la carrosserie — et supprimez les sièges.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Entassez-y des hommes, des armes, des munitions. Chauffez fortement; parfumez aux vapeurs d'essence; faites du bruit; bandez les yeux du personnel, et lancez le tout au hasard : vous avez devant vous un tank en action.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">J'en eus une première idée quand nous nous mîmes en marche pour regagner le train qui devait nous ramener à notre camp. Car les tanks, comme les chevaux de course, ne doivent pas s'épuiser en efforts vulgaires, et se </span><span style="text-indent: 0.5in;">font transporter sur le terrain de leurs exploits.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Nous arrivâmes à petite allure (et non pas, ô vieille paysanne, " plus vite qu'une auto, à cause des chenilles ") dans un cantonnement d'infanterie.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Ce fut, en passant, l'occasion d'admirer la méthode qui préside à l'entraînement des splen-dides fantassins.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Là, point de cette chaleur nocive, évocation dangereuse des douceurs du foyer : une large et vaste aération conforme au principe hygiénique de la vie au grand air.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Point de ces lits où s'amollit le corps du guerrier, dont on doit écarter les charmantes et (qui sait?) libidineuses souvenances : le minimum de paille nécessaire à la culture du toto, insecte accommodant, qui se contente de peu.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Enfin une proximité suffisante de la ligne de feu pour éviter au soldat l'illusion énervante, et prématurée, d'une paix universelle.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">J'ai souvent entendu dire, à de joyeux "arriéristes" : "Vous du moins, au front, vous ne manquez de rien." Ce n'est pas tout à fait exact. Il nous manque une distraction : celle de vous y voir.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Le soir venu, nous embarquâmes. Les tanks, en bagages complaisants, se chargèrent d'eux-</span><span style="text-indent: 0.5in;">mêmes.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Après quoi, nous primes place dans nos</span><span style="text-indent: 0.5in;"> compartiments.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Le principe d'aération, que je venais d'observer ailleurs, était respecté là jusqu'à l'abus.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Quelqu'un déclara :</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">— Ça va : il y a le chauffage central.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Je connais mal ce procédé, dont, j'entendais le nom pour la première fois. Mais je n'hésite pas à déclarer qu'un tel mode de chauffage est tout à fait insuffisant.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Et ce fut gelé de tous les membres que je sautai du train, le matin, lorsqu'il s'arrêta.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">J'étais au camp des tanks. </span><br />
<div>
<br /></div>
<span style="text-indent: 0.5in;"></span></div>
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;"><br /></span>
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;"><br /></span>
<br />
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center; text-indent: 0.5in;">
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;"><br class="Apple-interchange-newline" /></span><span style="text-align: start; text-indent: 0.5in;">AUX ARMÉES DE LA RÉPUBLIQUE</span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<br /></div>
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;"></span><br />
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span style="text-indent: 0.5in;"> </span><span style="text-indent: 0.5in;">Qu'on veuille excuser le désordre que j'apporte au récit de mes premières impressions : ce désordre est un peu l'image de mon état d'âme à cette époque.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Il faut songer, pour me comprendre, aux tranformations précipitées qui s'étaient opérées dans mon existence.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">J'avais été, jusque-là, un chien de tranchées, pour lequel rien ne comptait, hors de son secteur. Et je savais le mien, comme nul plan directeur ne l'avait connu. Je savais les carrefours marmités, les bons et les mauvais boyaux, la profondeur des abris. Je m'étais fait une vie dans ce coin de terre, et les événements du dehors ne me touchaient guère.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Sans doute aspirais-je à la paix. Mais d'autre part elle me faisait peur, comme un état nouveau auquel je devrais m'adapter un jour, où ma carrière de chien serait à recommencer.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Je vivais dans le provisoire, comme le font </span><span style="text-indent: 0.5in;">les gouvernements, et je glissais insensiblement à l'idée que ce provisoire pût devenir défini</span><span style="text-indent: 0.5in;">tif.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Et voilà que, bouleversant ma paresse d'esprit, on m'arrachait à ma destinée; je voyais des visages inconnus; j'étais affecté à une arme nouvelle; de libre, je devenais prisonnier; d'une terre d'Empire, je passais sur une terre républicaine.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Que mes lecteurs ne frémissent pas d'une vaine inquiétude : cette période n'est pas destinée à m'amener doucement aux spéculations politiques. La forme des gouvernements ne m'intéresse guère : la place des chiens est la même sous tous les régimes.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;"><i>De minimis non curat prætor :</i> le gouvernement ne s'occupe pas des chiens, qui ne sont pas électeurs. Et partout, pour nous, il en va de même: nous subissons la laisse pour avoir la pâtée. L'immédiat seul est de notre ressort, et notre secteur seul doit nous intéresser. Or, j'avais un nouveau secteur; j'avais un camp.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Un camp est un grand espace où les civils cherchent à entrer, et d'où les militaires cherchent à sortir.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Pour parer à ces deux tendances, l'autorité clôture le camp. Ce système de fermeture com</span><span style="text-indent: 0.5in;">prend deux éléments : des fils de fer et des portes.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Mais comme les portes sont gardées par des sentinelles, qui ont toujours des questions à poser, et comme les fils de fer ne demandent rien, le mode d'accès normal est constitué par les fils de fer, où les portes seules forment, de-ci de-là, des obstacles infranchissables.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Les habitations sont des baraques en planches. Le règlement prescrit d'en tapisser l'intérieur du plus grand nombre possible de portraits de femmes ôtant leurs bas, soulevant leurs chemises ou tâtant leurs seins.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Dans les baraques des hommes, ces gravures sont généralement accompagnées de vers des plus grands poètes : </span></div>
<br />
Comme à son nid une hirondelle,<br />
Mon coeur au tien reste fidèle.<br />
<span style="text-indent: 0.5in;">ou : </span><br />
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;"></span><br />
Que ce muguet vous porte chance :<br />
Il fut cueilli par l'espérance.<br />
<br />
Tandis que chez les officiers, les femmes se contentent de retirer le plus de linge possible, sans aucun commentaire.<br />
Je ne me charge pas d'expliquer cette différence sentimentale.<br />
Le seul inconvénient d'une telle habitation, c'est l'impossibilité d'y trouver une heure de <span style="text-indent: 0.5in;">solitude. On imagine difficilement le nombre d'interrupteurs qui peuvent s'employer à troubler le travail d'un chien rédigeant ses mémoires dans une de ces baraques.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Le camp proprement dit comprend un grand plateau rigoureusement nu, dont le sol est coupé par un système de tranchées, de boyaux, de fils de fer et de trous d'obus.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">On y réserve, dernière touffe de cheveux sur un crâne dégarni, une houppe de petits bou-leaux. Cette houppe est indispensable à la stratégie : elle constitue, selon les manœuvres, un masque ou un abri.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Les conventions exigent que les percutants ne puissent démolir un tank caché à cet endroit, ce qui est parfaitement admissible puisqu'elles veulent aussi que les percutants soient représentés par des fanions, dont l'action sur les blindages est sans portée pratique. C'est l'ensemble formé par la plaine et les trois bouleaux qui constitue le terrain de manoeuvre. </span><br />
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;"><br /></span></div>
<div>
<br /></div>
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;"><br /></span>
<span lang="FR" style="mso-ansi-language: FR;"><br /></span>
<br />
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center; text-indent: 0.5in;">
<span style="text-align: start; text-indent: 0.5in;">CULTURE PHYSIQUE </span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<br /></div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Je m'imaginais, au lendemain de mon arrivée, participer à une manoeuvre. Il n'en fut rien. Avant d'être en mesure de supporter une telle fatigue, il convient de devenir un athlète complet.</span><br />
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<span style="text-indent: 0.5in;">Un athlète complet est un homme incomplètement habillé qui tourne autour d'un sifflet tenu par un instructeur.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Ce dernier, contraint à l'immobilité, perdrait toute valeur athlétique si l'on n'avait songé à le munir d'un sifflet à l'aide duquel il développe, durant toute la reprise, ses qualités de souffle.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Gorgit étant chargé, à son groupe, du rôle d'instructeur, je crus pouvoir, pour la première fois, m'asseoir à côté de lui, de manière à me faire une idée de la méthode suivie.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">A chaque coup de sifflet les athlètes complets exécutaient un mouvement d'ensemble.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Tantôt ils couraient, tantôt ils sautaient, tantôt ils lançaient des pierres, exercice dangereux pour les chiens qui les encourageaient. Je ne me doutais pas </span><span style="text-indent: 0.5in;">combien les hommes peuvent avoir de peine à exécuter certains mouvements que j'accomplissais, dès l'enfance, comme les plus naturels.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Il est presque pénible de ls voir s'efforcer à la marche à quatre pattes, tant on voit que 1a civilisation les a déshabitués de l'usage courant des membres antérieurs.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">A parler franc, ils sont risibles. Mais je fus plus surpris encore quand, sur un coup de sifflet suivi du commandement : "Mouvements respiratoires", je les vis lever les bras au ciel d'un commun accord.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Je désapprouve nettement cet exercice au point de vue militaire. Il me paraît dangereux d'habituer les hommes à faire le geste de se rendre en masse : je l'ai vu faire dans les rangs de mes précédents maîtres par des hommes qui n'avaient reçu aucune éducation spéciale à cet égard, et qui s'en sont tirés, du premier coup, à leur avantage.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Je fus frappé, d'autre part, de voir le nombre d'accidents qu'entraînait la formation des athlètes complets. Pas de jour que des hommes ne demandassent à être exempté de gymnastique, parce qu'ils étaient victimes de foulures, de hernies, ou de maux variés.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Mais leur moral était si grand qu'on les voyait, un</span><span style="text-indent: 0.5in;">e heure plus tard, se ruer sur un foot-ball auquel ils dispensaient des coups de pied splendides, et nulle contraction du visage ne révélait les souffrances que leurs foulures, évidemment, ne manquaient pas de leur causer.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">La gymnastique me semblant un peu monotone, je résolus aussitôt de me mettre au foot-ball, que je devinais devoir être le sport le plus passionnant.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Je n'eus pas le loisir, hélas! de terminer la première mi-temps. Soit que l'équipe dans laquelle je me rangeai fût au complet, soit hostilité pour les débutants, je fus accueilli par une bordée d'injures ignobles, je fus accusé de "garder le ballon" et je ne le gardai pas longtemps, je vous prie de le croire.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Un coup de pied dans la mâchoire m'envoya chanceler dans l'herbe, et je regagnai doucement ma baraque, en me promettant de chercher un sport plus compatible avec mes moyens.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Une balle de tennis, bientôt, m'en fournit l'occasion.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Elle devint la base de mes plaisirs et de mes distractions, et je lui dois d'être devenu l'admirable athlète dont mon groupe a, depuis, eu lieu de s'enorgueillir. </span><br />
<div>
<br /></div>
<div>
<br /></div>
<div>
<br /></div>
<div>
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center; text-indent: 0.5in;">
<span style="text-align: start; text-indent: 0.5in;"><br class="Apple-interchange-newline" />MA PREMIERE MANŒUVRE </span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<br /></div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Il me faut, avant d'aborder le récit d'une manœuvre, faire deux remarques : la première concernant le nom de l'engin dont je vais parler, la seconde ayant trait aux caractéristiques réelles dudit engin.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">L'arme à laquelle je suis affecté s'appelle l'artillerie d'assaut, ou A. S., ce que certains traduisent par « arme spéciale » et de mauvais esprits par « artillerie sacrifiée » .</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Dans l'arme, les appareils sont appelés des chars.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Exemple : « Y a encore un c.. qu'a bouzillé mon char. »</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">En permission, ils s'appellent des tanks.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Exemple classique : «Je suis dans les tanks.</span><span style="text-indent: 0.5in;">»</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Un sur trois des hommes qui disent : </span>«<span style="text-indent: 0.5in;"> Je suis dans les tanks » monte à bord d'un char. Les deux autres l'encouragent, dans des services utiles, souvent exposés, mais ne combattant pas.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Je crois donc comprendre que le mot </span><span style="text-indent: 0.5in;">«</span><span style="text-indent: 0.5in;"> tank </span><span style="text-indent: 0.5in;">» </span><span style="text-indent: 0.5in;">est d'une acception plus large et plus hospitalière que le mot char, puisque si quelques-uns sont </span>«<span style="text-indent: 0.5in;"> dans leur char </span><span style="text-indent: 0.5in;">»</span><span style="text-indent: 0.5in;">, tout le monde est </span>«<span style="text-indent: 0.5in;"> dans les tanks </span><span style="text-indent: 0.5in;">»</span><span style="text-indent: 0.5in;">.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Nous admettons toutefois, pour la facilité du récit, que ces deux noms se correspondent.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">La seconde remarque qui s'impose ici porte sur les données techniques fournies, au front, à la vieille paysanne. Je me suis aperçu, par la suite, qu'il ne fallait les accepter qu'avec quelques réserves. Il fait chaud dans un char, mais, en hiver, le thermomètre le plus fanfaron y dépasse rarement 40 degrés.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">L'appareil ne grimpe pas le long des murs avec la même aisance que l'escargot, mais il le bat nettement en plat. Toutefois, sa vitesse ne lui permet pas d'inquiéter sérieusement les voitures de course.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Il renverse difficilement un chêne de six mètres de tour.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Je n'ai pas vu fonctionner le contact électrique qui pulvérise automatiquement le char dès qu'il est cerné par l'ennemi, et je n'ai pas vu venir, avant de combattre, le général teneur de clés chargé de nous enfermer.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Ces observations faites, le lecteur me suivra plus facilement, j'imagine, dans la relation de la première manœuvre à laquelle j'ai </span><span style="text-indent: 0.5in;">participé. </span><br />
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Donc, un matin, Gorgit, estimant suffisante ma culture physique, me fitmonter à bord de son appareil. Je sautai joyeusement dans « Boîte de Singe » , le tank de Gorgit, alors qu'il s'occupait de le mettre en marche. Je choisis ma place sans hésitation. Il n'y a en effet dans un char que deux places nettement définies : celle du conducteur, qui est à l'avant, et celle du chien, qui se trouve à côté de la porte arrière.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Le reste de l'équipage est libre de s'asseoir ou de s'accroupir au petit bonheur.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Je commençai par ne rien voir. Mais je trouvai bientôt un regard percé dans le blindage, et j'y collai mon œil, pour ne rien perdre de la manœuvre.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Au bout de quelque temps, surpris de ni pas sentir le moindre cahot, mais entendant un bruit étrange persister à l'avant, je me retournai : je découvris alors que nous n'étions pas partis, et que Gorgit s'efforçait toujours de mettre le moteur en marche.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Cette opération compliquée semblait exiger un certain nombre de formalités, auxquelles le conducteur essayait de se conformer, tandis que l'équipage, mollement accroupi, le regardait avec intérêt. Lepoutre, le mécanicien, couché sur le moteur, veillait au respect des rites.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">- Le déclic, mon lieutenant. </span></div>
</div>
</div>
<div>
- L<span style="text-indent: 0.5in;">es dégommeurs.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">- C'est drôle. Il devrait partir. Il est parti du premier coup il y a une demi-heure.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Car les moteurs, qui partent si difficilement au moment voulu, sont toujours partis « du pre-mier coup tout à l'heure </span><span style="text-indent: 0.5in;">»</span><span style="text-indent: 0.5in;">, au moment où leur départ était dénué de tout intérêt.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">- Allez-y fort. Y a pas de danger.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Gorgit y allait fort : il n'y avait aucun danger, semblait-il en effet, que le moteur se mît en marche.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Alors Gorgit se redressa, essuya son lorgnon, prononça « Merde » d'un ton désolé, tira sur son levier une fois encore, et tout se mit à pétarader si brusquement que je ne sus où me sauver.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Lepoutre se jeta sur les dégommeurs, les ferma d'un coup sec, le bruit devint acceptable et, doucement, l'appareil s'ébranla.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Et Lepoutre conclut, philosophe : « Si çui qu'avait inventé de dire « Merde » avait un brevet, qu'est-ce qu'il se tasserait comme pognon! »</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Je m'attendais au mal de mer. Je ne l'eus pas du tout. Et je prenais déjà goût à ce genre de sport quand nous arrivâmes à hauteur de l'infanterie, qui nous attendait dans la plaine.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Les fantassins nous regardaient avec sympa</span><span style="text-indent: 0.5in;">thie, tout en s'écartant respectueusement de notre direction.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Comme je jouissais du spectacle, et que je cherchais le moyen de faire savoir au public que j'étais à bord, chatouillé dans mon amour-propre et désireux d'avoir ma part du succès, j'entendis crier « Attention. </span><span style="text-indent: 0.5in;">»</span><span style="text-indent: 0.5in;"> Et je n'avais pas eu le temps de me retourner que j'étais irrésistiblement projeté d'un bout à l'autre de l'appareil, pour me cramponner tant bien que mal au dos de Gorgit.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">La voiture dégringolait, selon la loi de la chute des corps, et suivait de son mieux la direction du fil à plomb. Les hommes s'accrochaient aux parois, les casques frappaient les tôles, et Lepoutre criait : « Des gaz! des gaz! </span><span style="text-indent: 0.5in;">»</span><span style="text-indent: 0.5in;"> tandis qu'un mitrailleur, témoin de ma dégringolade, éclatait d'un rire assez sot, en hurlant :</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">- Eh bien, ma Totoche, tu vas pas t'arrêter?</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Et tous les hommes s'esclaffèrent de mon infortune.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Vexé, j'allais me remettre en position, quand l'appareil se redressant, je renouvelai ma glissade avec la même rapidité, mais en sens contraire, et ne m'arrêtai que par suite de ma rencontre brusque avec la porte où j'avais précédemment établi mon observatoire.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Après quoi, les choses rentrèrent dans l'ordre</span><span style="text-indent: 0.5in;"> horizontal, qu'elles avaient un instant si fâcheusement quitté.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Je venais de franchir une tranchée.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">La même surprise se renouvela quelques minutes plus tard, mais déjà moindre, car j'étais sur mes gardes, et ma glissade se termina sur un bidon d'essence qui n'était qu'à un mètre de moi.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">J'avais mon plein sang-froid quand nous arrivâmes sur la troisième tranchée, et j'analysai le mécanisme du franchissement. En approchant du parapet, le dos du pilote révèle une certaine animation, le moteur ralentit, la voiture bascule, et tous les outils disponibles roulent à qui mieux mieux de l'arrière à l'avant, cependant que les hommes s'accrochent. Aussitôt que la chute s'achève, le mécanicien crie : « Des gaz! des gaz! » à pleins poumons, le pilote accuse l'embrayage, le moteur peine, les outils reviennent en vague de l'avant à l'arrière, et l'on arrive — quand on y arrive — sur le parados.</span></div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Je croyais avoir tout subi, quand une décharge retentit à côté de moi : c'était le tac-tac de la mitrailleuse. Je poussais déjà des cris de guerre, les narines dilatées à l'odeur de la poudre, et j'allais entraîner les hommes au carnage, lorsque Gorgit se retourna, furieux :</span></div>
<div>
— Qui est-ce qui tire?... Nom de Dieu! Vous tirez sur les nôtres.<br />
— C'est des fantassins.<br />
— Justement : ils sont avec nous!<br />
Après quoi nous tombâmes dans une ligne de fanions mollement agités par des hommes paisibles. Nous repartîmes en marche arrière. Il était temps : nous allions donner, tête baissée, dans un tir de barrage, que représentait cette ondulation d'étoffes multicolores.<br />
— Avancez, mon lieutenant! J'en vois!<br />
— Mais non : notre artillerie fait son barrage jusqu'à H + 30.<br />
Le mitrailleur se contenta de cette réponse énigmatique, et se mit en devoir d'extirper une cartouche à blanc restée dans le canon.<br />
— Mon lieutenant, c'est enrayé.<br />
— Vous êtes toujours enrayé!<br />
— J'ai pas mon tire-douilles. Ils m'ont pris le mien à la première batterie.<br />
Nous fîmes tant et, si bien que le <span style="text-indent: 0.5in;">tir de barrage recula lentement et que les fanions allèrent s'agiter cinquante mètres plus loin.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Gorgit semblait préoccupé de voir son commandant de batterie, le sous-officier cherchait des ennemis à canonner, et le mitrailleur joyeux d'avoir réparé son enrayage, vérafiait sa pièce en fusillant à nouveau nos lignes de tirailleurs </span><span style="text-indent: 0.5in;">qui le regardaient faire avec indifférence.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">— Mon </span><span style="text-indent: 0.5in;">lieutenant, il y a le commandant de batterie qui fait un signal.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">— </span><span style="text-indent: 0.5in;">Lequel?</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">— </span><span style="text-indent: 0.5in;">Il a remué son fanion comme ça.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Il paraît qu'il n'avait pas remué son fanion </span>«<span style="text-indent: 0.5in;"> comme ça » , si bien que nous nous ralliâmes inopinément, et d'une manière au moins prématurée.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Mais personne ne s'en aperçut. Un homme, de l'extérieur, vint frapper à la porte : c'était la fin de la manœuvre.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Et je sautai à terre, suivant Gorgit, pour assister à la critique.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">J'y appris, qu'en somme, la manœuvre s'était passée très convenablement, hormis quelques détails dont il est inutile de s'embarrasser dans une opération de grande envergure.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Tout au plus fut-il reproché à Gorgit de n'avoir pas tenu compte de certaines directives.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Gorgit ne s'en affecta pas démesurément. Il savait en effet ce qu'est une directive : un principe assez souple pour permettre de louer l'initiative, quand elle tourne bien, et de la condamner, quand elle tourne mal. </span></div>
<div>
<br /></div>
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<br /></div>
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<br /></div>
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<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center; text-indent: 0.5in;">
<span style="text-align: start; text-indent: 0.5in;">CONTACT AVEC L'</span><span style="text-align: start; text-indent: 0.5in;">ÉTAT-MAJOR</span><span style="text-align: start; text-indent: 0.5in;"> : UN INCIDENT</span><span style="text-indent: 0.5in;"> </span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<br /></div>
<span style="text-indent: 0.5in;">J'en étais là de mon instruction quand un incident ridicule faillit briser ma carrière.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Partisan convaincu de la culture physique, j'avais communiqué ma foi sportive à un âne qu'avait amené là, je ne sais trop comment, la fortune des armes.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Cet âne, très jeune et très ardent, et qu'on appelait Pinard, excellait dans le jeu de la contre-attaque.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Quand, harcelé par mes aboiements, et las de fuir, il se retournait pour faire tête, il contre-attaquait avec une telle rapidité que je n'avais pas trop de toute ma vitesse pour regagner certaine clôture de fils de fer—limite pratique de son secteur — où j'arrivais à bout de souffle. Cet exercice est excellent : tous les muscles travaillent.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Or, un matin, comme je flânais sur la route, je vis un cheval venir à moi.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Je me proposai de tenter contre lui une de ces attaques brusquées qui nous divertissaient tant, Pinard et moi. Je m'embusquai derrière un taillis, et lorsque le cheval fut à ma hauteur, je </span><span style="text-indent: 0.5in;">lui bondis aux naseaux, en aboyant à pleine gorge.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Par malheur, je n'avais pas pris garde que ce cheval était surmonté d'une importante per-sonnalité militaire, que l'effet de surprise déporta vers l'avant.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Cette importante personnalité, par ailleurs favorable à la culture physique, prit fort mal mon intervention. (Tant il est vrai que les actes vont rarement d'accord avec les paroles.) Elle fit venir Gorgit, l'apostropha rudement, et donna l'ordre de m'exiler dans les vingt-quatre heures.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Gorgit, que cette décision peinait plus que je le n'aurais osé le croire, réunit un conseil de quelques amis pour discuter l'exécution de la sentence. Je ne me doutais pas de la place que je tenais dans tous les coeurs : aucun des conseillers ne chercha à me nuire, tous s'employèrent à me sauver.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Ils reconnaissaient cependant la gravité de mon acte : je m'étais affranchi de la voie hié-rarchique, en m'adressant directement à un général. Ma disparition devenait nécessaire, du moins fallait-il qu'un acte officiel en fournît la constatation.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Gorgit proposa de me camoufler - pour me rendre méconnaissable aux yeux de la police — et cette idée cocasse, que je n'aimais guère, a</span><span style="text-indent: 0.5in;">urait rallié tous les suffrages, si l'accord pu se faire sur le mode de camouflage.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Quelqu'un s'avisa, par bonheur, d'un procédé plus simple : on allait m'enterrer.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Du moins édifierait-on une tombe à mon nom, étant bien spécifié que je demeurerais à l'extérieur.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Le soir même, la chose était faite. Devant une baraque, entre des capucines et un plant de radis, un mausolée s'élevait.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Et je lus sur la croix : </span><br />
<div style="text-align: center;">
<span style="text-indent: 0.5in;"><i>Requiescat in pace.</i></span></div>
<div style="text-align: center;">
<span style="text-indent: 0.5in;"> CI-GîT</span></div>
<div style="text-align: center;">
<span style="text-indent: 0.5in;">FRITZ</span></div>
<div style="text-align: center;">
<span style="text-indent: 0.5in;">DIT TOTOCHE</span></div>
<div style="text-align: center;">
<span style="text-indent: 0.5in;">BON FILS, BON ÉPOUX, BON PÈRE.</span></div>
<span style="text-indent: 0.5in;"><br /></span>
<span style="text-indent: 0.5in;">On me pria de m'asseoir à côté de ma tombe. Je le fis de bonne grâce, et me laissai photographier avec complaisance.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Les Pharaons et moi possédâmes, vivants, de magnifiques sépultures. Mais qui sait — tant ma carrière est aventureuse - si la destinée, qui m'a permis de m'asseoir sur ma tombe fleurie, m'accordera, le jour venu, quelques pelletées de terre pour couvrir ma carcasse?</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;"><br /></span>
<span style="text-indent: 0.5in;"><br /></span>
<span style="text-indent: 0.5in;"><br /></span>
<span style="text-indent: 0.5in;"><br /></span>
<br />
<div align="center" class="MsoNormal" style="text-align: center; text-indent: 0.5in;">
<span style="text-align: start; text-indent: 0.5in;">DANS LE MONDE DES IDÉES</span><span style="text-indent: 0.5in;"> </span></div>
<div class="MsoNormal" style="text-indent: .5in;">
<br /></div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Quelques jours s'écoulèrent, dont aucun bruit d'attaque ne vint troubler le cours.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Les repas — qui sont les réunions les plus favorables au développement de la pensée dans l'espèce humaine — conservaient leur allure normale. Chez les hommes, après avoir effleuré les questions alimentaires, la conversation gagnait les sphères de la stratégie, à la suite des critiques militaires et de leurs chroniques quotidiennes.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Devant la lenteur des opérations du front occidental, les espoirs se reportaient volontiers sur les fronts les plus excentriques, grâce à cette tendance qu'ont les meilleurs esprits à considérer comme facile la tâche du voisin — qui par malheur, et par définition, est précisément celle qui ne leur est pas confiée.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Après quoi les causeries, baissant d'un ton, revenaient à l'immédiat, pour aborder le sujet des permissions, étapes indispensables entre le moment présent et la paix future. </span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Chez les officiers, la conversation présentait par instants une grande animation. Si vives que soient les discussions, elles n'étaient pas de nature à compromettre, hâtons-nous de le dire, l'union nécessaire à la défense du territoire. </span><br />
Un des thèmes les plus débattus, sans que j<span style="text-indent: 0.5in;">'en eusse jamais compris l'intérêt, était le rang qu'il fallait attribuer aux diverses armes dans le sport hippique.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">L'artillerie et la cavalerie se prenaient à partie malgré d'utiles diversions du train des équipages, pendant que l'infanterie, qui saisissait mal le rôle du sport hippique dans la guerre moderne, profitait de l'émotion pour augmenter sa part distributive de bœuf aux cornichons.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">L'artillerie d'assaut, en effet, est hétérogène, Elle présente un mélange de toutes les armes. Les officiers ont une vie commune et des uniformes différents. Il va de soi, que tous, des hommes aux officiers, n'en communient pas moins dans les mêmes pensées : la victoire et les permissions.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Aussi les rivalités d'armes n'interviennent-elles que comme un dérivatif, peut-être comme un </span><span style="text-indent: 0.5in;">stimulant. Elles élargissent l'esprit par des notions nouvelles.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">J'appris ainsi (des lignes allemandes, je ne </span><span style="text-indent: 0.5in;">pouvais le savoir) que l'automobile avait sauvé verdun. Le rôle de l'infanterie et de l'artillerie apparaissait secondaire : ces deux armes n'ayant sauvé que les tranchées qui défendaient Verdun.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">J'eus aussi des éclaircissements sur un point obscur, et qui me tourmentait : j'appris la déf-nition du devoir en temps de guerre.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Le devoir, c'est de rester où l'on se trouve.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Le fantassin, qui, miraculeusement sauf, après deux ou trois ans de guerre et quelques amochages, demande à passer dans les brancardiers, est flétri du qualificatif d'embusqué.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Fait au contraire tout son devoir le jeune homme chargé par un hasard malheureux d'opérer la liaison du Ministère des Inventions au Sous-Secrétariat des Réalisations, et qui reste inébranlable au poste en question.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Sans doute, observera-t-on, le devoir du premier est d'un accomplissement plus pénible que celui du second. Mais il est aisé de répondre à cette superficielle argumentation.</span><br />
<span style="text-indent: 0.5in;">Dès lors qu' </span><span style="text-indent: 0.5in;">« </span><span style="text-indent: 0.5in;">il en faut partout », autant laisser aux tranchées ceux qui « en ont l'habitude » ; une telle existence dérouterait au contraire (le mot n'est pas trop fort) les guerriers, de longue date spécialisés, chargés du secteur compris entre le « front » et l'Opéra. </span><br />
<div>
<div>
<span style="text-indent: 0.5in;">Je me demandai si le devoir n'exigeait pas que je revinsse à l'infanterie, mais dispensé par ma qualité de prisonnier de faire la guerre, puisque </span>« je <span style="text-indent: 0.5in;">me trouvais là » , je décidai, la conscience reposée, de rester à ma nouvelle arme. </span></div>
</div>
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Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-61082943384489155472020-01-12T14:29:00.001-08:002020-01-12T14:30:02.906-08:00Most wanted 2020 - avis de rechercheVoici le top 8 de nos ancêtres les plus recherchés :<br />
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<div style="text-align: center;">
<span style="font-size: x-large;">MOST WANTED</span></div>
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<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUlVUS0o5f5OzIe5C-bFYqAdHo6D2JGZIGUQiNzbxkhxrAX6e-1Rkcktzl4N_rcLIhUV9OsL_XB2XSxUIw1wMCoZOQ2N_4pJ-poz0UnPmewEJmQi7oRzeD_Krw7CQb7q3e2g2x7OgNfPI/s1600/210px-Leonardo_da_vinci%252C_Head_of_a_girl_01.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="240" data-original-width="209" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUlVUS0o5f5OzIe5C-bFYqAdHo6D2JGZIGUQiNzbxkhxrAX6e-1Rkcktzl4N_rcLIhUV9OsL_XB2XSxUIw1wMCoZOQ2N_4pJ-poz0UnPmewEJmQi7oRzeD_Krw7CQb7q3e2g2x7OgNfPI/s1600/210px-Leonardo_da_vinci%252C_Head_of_a_girl_01.jpg" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Portrait robot de Duclos Cath. J. F.<br />
<span style="font-size: xx-small;">(inspiré de La tête de jeune femme de Vinci)</span> </td></tr>
</tbody></table>
<br />
<br />
1 <b>DUCLOS</b> <b>Catherine</b> <b>Jeanne</b> <b>Françoise</b>, épouse de Jean Baptiste Emmanuel Pierre Leroux (1751-1803)<br />
2 <b>LEROUX</b> <b>Sophie</b> <b>Marie</b> <b>Catherine</b>, profession couturière, fille de la n°1, 25 ans environ en 1803. Dernier domicile connu : 344 rue des filles-Dieu en 1803<br />
3 <b>LEROUX</b> <b>Melchior</b> (Gaspard Balthazar) né le 31 mars 1748 à Evreux. Parti en 1792 avec le 1er bataillon de l'Eure participer aux guerres révolutionnaires, porté disparu, présumé prisonnier. Sans nouvelle de lui en 1795.<br />
4 <b>LEROUX</b> <b>Jean</b>, 25 ans environ en 1747, à Turenne, probablement originaire de Paris. Ses parents sont également hautement recherchés.<br />
5 <b>DUFFIE</b> <b>Raoul</b> <b>Alexandre</b> Auguste (né le 28/7/1894 à Saint-Cloud) : recherche de conjoint.<br />
6 <b>KROUP</b> <b>Alice</b> <b>Anna</b> <b>Joséphine</b>, épouse DUFFIE.<br />
7 <b>DUFFIE</b> <b>Boris</b> né en 1897 : en Russie en 1916<br />
8 <b>PERICOLE</b> <b>Pascale</b>, épouse de LEROUX Jean, originaire de Brive la Gaillarde<br />
<br />
<br />
<br />
<b><span style="color: blue;">FLASH de dernière minute : DUCLOS Catherine Jeanne Françoise serait originaire de Mont Martre! elle y a été vue en 1773 !!!</span></b><br />
<br />
<br />
Tout signalement est à faire à l'auteur de ce blog via le formulaire ci-contre.<br />
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<br />
<br />
http://eric-denis.wifeo.com/organisation-de-larmee-republicaine-pendant-la-revolution.php<br />
<br />Estelle TBThttp://www.blogger.com/profile/15321979307631638222noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1401864950764408956.post-4050023700116339802020-01-09T06:38:00.002-08:002020-01-09T06:55:39.955-08:00Paris, Paris, ... juin 1848horreurs<br />
<br />
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6152725p/f54.item.r=%22clos%20saint-lazare%22 <br />
<br />
page 40<br />
Dans le <mark class="highlightedText" style="background-color: white;">clos Saint-Lazare</mark><span style="background-color: white;">,</span> un officier d'infanterie fait prisonnier par les insurgés, avait eu les deux poignets coupés; il était mort lentement par terre de ces affreuses mutilations. On avait aussi tranché les pieds d'un dragon et on l'avait placé mourant sur son cheval!<br />
<br />
<br />
L'Opinion publique ajoutait encore, en parlant des insurgés du Panthéon : "Ils ont fait poser la tète des quatre officiers prisonniers sur un billot, et un homme déguisé en femme la leur a coupée avec une hache. Ils ont porté ces têtes au haut de la balustrade et les ont jetées, avec les épaulettes, dans la place. Dix-huit gardes mobiles faits prisonniers ont été enduits d'essence, et ces atroces cannibales voulaient y mettre le feu. Les femmes leur ont évité un supplice si féroce."<br />
<br />
<br />
<br />
Duffié participa à l'assaut contre le clos Saint-Lazare.<br />
Alphonse Tillier, alors âgé de 22 ans, blanchisseur fut inculpé pour insurrection puis libéré (<a href="http://inculpes-juin-1848.fr/index.php?page=recherches/recherche_nom" target="_blank">site à consulter</a>). Il s'agit d'Alphonse Tillier, cousin de Jean Baptiste Leroux-Dufié.<br />
Combien d'autres ancêtres parisiens, parents ou relations, ont pris part aux événements de 1848?<br />
<br />
<br />
Le texte ci-dessous de Gustave Geffroy est reproduit suite à sa lecture sur le site persee.fr :<br />
<br />
<br />
<br />
<div style="background-color: white; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
<b>LES JOURNÉES DE JUIN 1848</b></div>
<div style="background-color: white; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
</div>
<div style="background-color: white; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
</div>
<div style="background-color: white; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Les premiers tressaillements de la convulsion furent perceptibles aussitôt après la journée incertaine du 15 mai. Le 16, le club des Montagnards de Belleville commence à fondre des balles. Le 25, il y a grève des chapeliers, des boulangers, des tisseurs. Le 29, il y a une bagarre au clos Saint-Lazare. Les journaux montent leur ton à l'injure, dépravent leur polémique en calomnies. Les menaces des clubs répondent aux violences de la tribune parlementaire. Un banquet des pauvres est projeté, le Banquet à vingt-cinq centimes : du pain, du fromage et du vin, bus et mangés plaine Saint Denis. Il n'eut pas lieu, fixé d'abord au il juin, puis au 18 juin, puis au 14 juillet, mais les réunions qui le préparent, la souscription ouverte, les adhésions qui sont, au 8 juin, de 165.532, achèvent de surexciter l'opinion. La banlieue et la province, autour de Paris, manifestent leur impatience et leur enragement contre la capitale. Tout le monde attend les coups de fusils.</div>
<div style="background-color: white; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
</div>
<div style="background-color: white; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
</div>
<div style="background-color: white; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Ils vinrent, nombreux et effroyables. La vraie cause, le licenciement des Ateliers nationaux qui s'annonçait à travers les phrases perplexes des hommes d'Etat, qui se clamait par les voix démuselées de la haine, fait soulever les pavés et saisir les armes. Cent treize mille hommes sont à la veille de voir cesser l'apparence de travail dont ils vivent, la paye menue, strictement comptée, mais régulière, qui leur est allouée, et qu'ils peuvent rapporter au logis. Après cette halte faite dans la misère, cette habitude de croire au lendemain qu'ils viennent de prendre pendant deux mois, la vie de chômage et de hasard qu'ils ont en perspective leur apparaît lourde. Ils n'ont connu qu'un instant d'espoir, et ils vont le payer de leur vie.</div>
<div style="background-color: white; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
</div>
<div style="background-color: white; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
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<div style="background-color: white; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
La solution pacifique aurait été de patienter, de dissoudre lentement les Ateliers, de faire rentrer peu à peu cette armée menaçante dans le courant ordinaire de la vie. On crut un moment pouvoir tout résoudre ainsi. Mais les partis hostiles au socialisme et à la République ne l'entendirent pas de cette façon. Le ministre des Travaux publics, M. Trélat, et la Commission qu'il avait constituée, trouvèrent devant eux une sous-commission animée de l'esprit de M. de Falloux, qui empêcha toute mesure conciliatrice d'aboutir. A Paris et dans la banlieue, les mécontents commencent alors à s'attrouper, les chants colères à retentir, les pierres à être lancées sur les portes. Le 19 juin, on annonce la dissolution des Ateliers nationaux comme imminente, la foule se masse autour de l'Hôtel de ville. Le 21 juin, en effet, le Moniteur annonce que le lendemain, les ouvriers de dix-sept à vingt-cinq ans seront enrôlés dans l'armée ou dirigés sur la Sologne et autres départements. Ce fut ce dernier expédient qui exaspéra le plus les ouvriers parisiens. Tous ces hommes habitués au fin travail des doigts, devant un établi et un étau, se refusèrent à l'idée d'aller remuer des terres et tracer des routes dans un pays de marécages. Un des cris de l'insurrection fut: «On n'part pas! On n'part pas ! » Au soir où la solution décidée par la Commission exécutive est connue, la bataille désespérée est acceptée dans l'esprit de la masse ouvrière, et ceux qui affluent place de l'Hôtel-de-Ville se donnent rendez-vous pour le lendemain matin au Panthéon. Ce matin-là fut le matin du 22, la veille de la première des journées de Juin.</div>
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Des bandes au-dessus desquelles flottent des bannières passent en jetant la clameur de la Marseillaise et du Chant du Départ , s'arrêtent de chanter pour scander : On n'part pas! D'autres commencent à jeter au vent l'annonce fatidique d'un César: Napoléon ! nous l'aurons ! Deux cents hommes parcourent la rue Saint-Honoré ; cinq cents, le faubourg Saint-Antoine ; deux cents, les rues Saint-Victor et Saint-Jacques ; quinze cents vont vers le Luxembourg où siège la Commission exécutive, cinq délégués reçus par M. Marie sortent irrités de l'accueil qui leur est fait, et tous s'en retournent aux cris : Du pain! du travail ! ou du plomb ! Rien ne se passe au Panthéon ce matin-là, malgré le rendez-vous pris: on voit un seul homme au belvédère agitant un mouchoir au dessus de Paris. Il est arrêté par les gardes mobiles. Mais à 5 heures, sept cents hommes débouchent sur la place. A 7 heures, cinq mille hommes grouillent. A 10 heures, c'est la cohue innombrable, l'arrivée de dix mille hommes venus du faubourg Saint-Antoine, illuminant leur passage de la flamme des torches, épouvantant le Paris boutiquier de leur marche et de leurs cris. Un immense : Vive la République! salue leur entrée au carrefour. On se sépare en pleine nuit après avoir fait le serment de se battre et de mourir : les assises insurrectionnelles ont décidé les barricades pour le lendemain.</div>
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C'est à ce moment que le général Cavaignac entre définitivement en scène. Mais il y entre muet, fermé, masqué, avec l'attitude d'expectative de l'homme qui attend l'injonction du sort et le profit des événements. Ministre de la Guerre, il avait déjà refusé, comme ses collègues du ministère, de prendre l'engagement de se retirer avec la Commission exécutive, en cas d'une retraite collective. Sur deux tentatives qui furent essayées sur lui par la faction du Palais National, à savoir s'il accepterait les offres de pouvoir qui pourraient lui être faites, il répondit, une première fois, le 20 juin, qu'il ne repousserait pas ces offres, et une seconde fois, le 22 juin, qu'il recevrait le pouvoir. Les meneurs marchèrent sur cette indication. Leur première démarche auprès de la Commission exécutive obtint le commandement de toute la force armée pour le général.</div>
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Il se servit tout d'abord dece commandement pour rester passif. Il n'exécuta pas l'ordre de la Commission d'occuper la place du Panthéon, le 23, à 5 heures du matin. Il allégua plus tard une sorte de confusion, d'ailleurs possible, dans les instructions données. La foule se rassembla donc, et dès la matinée, les barricades commençaient à barrer les rues, de la porte Saint-Denis à l'Hôtel de ville. Au Conseil gouvernemental qui eut lieu, on pressa le général Cavaignac de prendre immédiatement les mesures préventives, de répandre ses troupes dans les quartiers agités, d'empêcher, rue par rue, la formation des barricades. On espérait encore tout arrêter, arriver à une conciliation. Ces mesures préventives pouvaient être prises à l'aide des quarante-trois mille hommes de troupes qui occupaient Paris et la banlieue: vingt-cinq mille soldats réguliers, quinze mille gardes mobiles, et à peu près trois mille gardes républicains. On pouvait, en tout cas, amoindrir, raccourcir singulièrement la bataille.</div>
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Le général se refusa à ce plan, affirma la nécessité d'attendre que le mouvement se fût étendu, et sa volonté de garder ses soldats, l'arme au pied, dans les Champs-Élysées, place de la Concorde, autour de l'Assemblée, jusqu'au moment favorable pour livrer bataille : les troupes concentrées à l'écart, l'insurrection laissée d'abord libre, puis écrasée. C'était abandonner une moitié de Paris à l'insurrection, permettre à celle-ci de grandir, de se fortifier, de devenir la formidable chose qu'elle allait être.</div>
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Le premier engagement eut lieu à l'entrée de la rue Saint-Denis : les insurgés d'une barricade et les gardes nationaux se fusillèrent. Neuf gardes nationaux furent tués. Ceux qui vinrent ensuite eurent douze tués, mais prirent la barricade et passèrent par les armes tous ceux qu'ils y trouvèrent, les femmes comme les hommes. Ce fut le commencement de la tragédie.</div>
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Sur la rive gauche, les barricades descendaient du Panthéon au pont Saint-Michel.</div>
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Le soir, les rôles distribués étaient tenus ; Paris divisé en régions de combat, des postes assignés aux généraux : au général Foucher, l'Assemblée nationale; au général Damesme, le Luxembourg et la rive gauche; au général Bedeau, l'Hôtel de ville; au général Grouchy, Montmartre ; au général Lamoricière, la ligne des boulevards, de la Madeleine au Château-d'Eau, et les faubourgs jusqu'aux barrières. Tous pourvus de troupes en quantité insuffisante.</div>
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A l'Assemblée, on ajournait le vote d'un crédit de six millions, demandé parle ministre des Travaux publics pour la construction du chemin de fer de Lyon à Chalon, M. de Falloux lisait le rapport de la Commission des Ateliers nationaux, concluant à la dis¬ solution dans trois jours, et 'au vote de trois millions de secours à domicile : à partager entre plus de cent mille hommes, soit à peu près vingt-cinq francs par tête. Lorsque cette solution fut connue dans le Paris insurgé, le désastre s'aggrava, les esprits chavirèrent définitivement dans la colère et le désespoir, le général Cavaignac restait impassible au milieu des objurgations, des. demandes de troupes. Il répondait que son plan s'exécutait et qu'il attendait des renforts. Ce jour-là, si la garde nationale, — qui fut d'ailleurs divisée, pendant tout le temps que dura la bataille, selon les quartiers et les classes, — si la garde nationale bourgeoise, un moment incertaine, n'avait pas marché sur les barricades, l'insurrection aurait pu devenir maîtresse de la ville. Dans cette journée du 23, la situation du corps d'armée du Château-d'Eau apparut au chef Lamoricière tellement précaire que Cavaignac, cette fois, n'hésita pas sur l'avis pressant qui lui arriva : non seulement il envoya du renfort, mais il partit lui-même, sous le fracas d'un orage de juin, à la tête de la colonne de sept bataillons, accompagné des représentants Lamartine, Jules Favre, du Ludre, Duclerc, Pierre Bonaparte, de Heeckeren, Prudhomme, Landrin, Tréveneuc. Il était 3 heures, il partait pour une demi-heure, il ne revint qu'à 10 heures du soir. Il trouva un faubourg du Temple formidable, fortifié de hautes barricades, contre les¬ quelles se brisèrent les gardes mobiles d'abord, et successivement les sept bataillons de troupes. Le canon même n'entama pas cette forteresse de pavés. Il fallut des bataillons nouveaux pour en finir et passer outre. Partout, rive gauche comme rive droite, on se battit jusqu'à la nuit. Lorsque l'ombre fut sur la ville, on s'arrêta pour respirer, pour panser les blessés, pour emporter les morts, pour remettre des pavés sur des pavés et refondre des balles. A l'Assemblée, séance de nuit, énervement, vaines paroles, travaux d'approche, coulisses parlementaires où la comédie politique devient sinistre par le fait de la tragédie du dehors.</div>
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Le lendemain 24, tout le Paris de l'Est et du Centre, le Paris de 4a pauvreté et du travail, depuis la Bastille et les Gobelins jus¬ qu'aux Halles et au Louvre, était bouleversé par la levée de pavés et l'entassement des voitures, des matériaux de tous genres, des madriers aux matelas, de tout ce qui peut créer la solidité de la construction, de tout ce qui peut servir à ouater la carcasse de la barricade, à amortir l'arrivée des boulets, à couper le sillage des balles. On comptait plus de quatre cents de ces barricades. Quatre cent quatorze, dit Hippolyte Castille, témoin oculaire, qui observa leur hauteur, dépassant parfois un premier étage, et leur savant agencement : angles, créneaux, fossés en contre-bas. Paris, barré dans sa largeur, toutes les rues populeuses de ses faubourgs conduisant de la circonférence des barrières à un centre qui était l'Hôtel de ville, se doublait ainsi d'une seconde ville, campement de pierre improvisé qui semblait un produit du sol, un bouillonnement pétrifié de la rue. Barrière des Martyrs, place Lafayette, clos Saint-Lazare, faubourg Saint Denis, faubourg Saint-Martin, rues Grange-aux-Belles, Courtille, faubourg du Temple, rues d'Angoulême, de Ménilmontant, du Chemin-Vert, des Amandiers, Popincourt, le faubourg Saint-Antoine, le Marais, le Temple, la Cité, le faubourg Saint-Jacques, rue Moufetard, Montagne Sainte</div>
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Geneviève, barrière des Gobelins ..... tels étaient les principales</div>
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voies et les principaux carrefours où s'amoncelaient les pavés et où claquaient les drapeaux de l'insurrection. Mais ce ne sont que les points de repère pour mesurer l'étendue d'un tel champ de bataille. Les rues, les passages qui reliaient entre elles les avenues principales de cette cité farouche, étaient en état de défense. L'obstruction complète : partout le tas de pierres, et partout l'insurgé qui veille.</div>
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Dès le matin du 24, dès l'aurore, la bataille recommence. C'est au bruit lointain des coups de feu que l'Assemblée proclame la déchéance de la Commission exécutive, met Paris en état de siège, concentre tous les pouvoirs entre les mains du général Cavaignac. Le chef militaire qui avait jusque là laissé l'insurrection s'étendre et qui parlait même de l'attirer hors Paris pour l'écraser en une bataille rangée, se réveille alors subitement de sa torpeur. Il supprime onze journaux qui auraient pu donner des comptes rendus véridiques du massacre, appelle des troupes nouvelles, invite à agir la garde nationale de province. Les proclamations diverses excitent les partisans de l'ordre établi, reprochent aux ouvriers de ne pas croire à la bonne volonté de l'Assemblée qui a adopté les conclusions de M. de Falloux, promet aux révoltés de les traiter en frères égarés auxquels la Patrie ouvrira les bras.</div>
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Les faits furent peu d'accord, comme il arrive d'habitude, avec la phraséologie. La bataille tourna en boucherie, la victoire en représailles. Sous l'influence de récits où s'égalaient l'affolement et le calcul, une atmosphère putride d'abattoir et de charnier humecta la ville, fit pourrir les consciences et se dépraver les instincts. On parlait de têtes coupées, alignées aux frontons de pavés des barricades, de balles mâchées et trempées dans le poison, équivalentes aux flèches des Caraïbes, de boissons empoisonnées versées aux gardes mobiles par des Furies perfides, de prisonniers enduits de poix et de résine, allumée comme des torches, sciés entre deux planches, de crânes employés comme lampions. La fureur montait à l'audition et à la lecture de telles horreurs, se propageait comme un incendie, envahissait la ville.</div>
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Des horreurs, on n'en avait pas encore vu, mais on allait en voir.</div>
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Le 25, un dimanche, jour de la Fête-Dieu, l'Assemblée vote les trois millions de secours extraordinaires aux indigents, les fameux trois millions pour une population de cent mille individus sans travail, les vingt-cinq francs par tête ! C'était tout ! Aucun avenir de travail, aucune possibilité d'assurer l'existence des vieux, des femmes, des enfants. L'annonce de cette fantaisie philanthropique se perdit dans le fracas de la bataille recommencée.</div>
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Ce jour-là fut le jour des exécutions sommaires, des prisonniers passés par les armes sans examen, sans juges, sans code. Ce fut le jour du meurtre du général Bréa qui avait franchi la barrière de Fontainebleau, à peine accompagné, se croyant suffisamment protégé par ses paroles de paix et son allure cordiale. Ce fut le jour de la mort de l'archevêque Affre, frappé d'une balle dans les reins au moment où il s'avançait, croyant à une accalmie, entre les soldats de la troupe et de la mobile massés à la Bastille et les insurgés retranchés dans le faubourg : un malentendu fit recommencer le feu, et c'est probablement la balle d'un soldat, non d'un insurgé, qui frappa le médiateur.</div>
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Au soir, l'insurrection était circonscrite au quartier du faubourg du Temple et au quartier Saint-Antoine, les barricades partout ailleurs tombées sous le canon après la résistance du désespoir.</div>
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•Le lundi 26, dans la matinée, tout était fini, le faubourg du Temple était pris, les soixante barricades du faubourg Saint-Antoine étaient prises. Le reste de la journée fut employé à fusiller les prisonniers.</div>
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On sait les endroits et les chiffres. La dénonciation fit rage, et ceux qui ne s'étaient pas battus se montrèrent les plus acharnés à la tuerie. Les prisonniers du sous-sol de l'Hôtel de ville, du caveau des Tuileries, furent tirés par les soupiraux, noyés dans le cloaque humide où ils étaient jetés, asphyxiés par l'odeur des excréments et des cadavres. Il en fut encore ainsi le 27, pendant la journée et pendant la nuit. La peine de mort en matière politique était rétablie. La statistique modérée de la répression compte douze mille morts, vingt-cinq mille arrestations.</div>
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<div style="background-color: white; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
La vieille médecine sociale, qui tire du sang aux peuples trop forts, enivrés de vie, désireux d'action, triomphait une fois de plus. Le malade anémié allait connaître la torpeur des longues convalescences, jusqu'à la suivante et fatale congestion. Le général qui avait été le praticien de l'opération, Cavaignac, morose et hanté, restait provisoirement au chevet de cette naïve République populaire, vidée de son sang et de son énergie.</div>
<div style="background-color: white; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
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<div style="background-color: white; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
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<div style="background-color: white; font-family: "Helvetica Neue", Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; margin-bottom: 10px;">
Gustave Geffroy.</div>
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