vendredi 3 avril 2020

Fake news LEROUX...

Qui aurait cru qu’on puisse avoir une fake news sur Alphonse Leroux, fondateur de la chicorée Leroux et son père, et surtout qu’elle vienne d’un grand quotidien de la presse régionale?
Eh bien la voilà dans toute sa splendeur.


Lue sur le net :
https://www.ouest-france.fr/economie/agroalimentaire/la-celebre-chicoree-leroux-des-racines-bretonnes-4479775

Et reproduit sans autorisation:

Si la chicorée, précieux succédané du café pendant et après-guerre, véhicule une image un peu désuète, ce n'est pas celle de la Maison Leroux, corrige Olivier Hermand, directeur général d'une entreprise qui commerciale aujourd'hui plus de 80 références, jusqu'aux dosettes solubles. En 1863, cinq ans après ses débuts, la société déposait le premier brevet de Leroux pour une empaqueteuse mécanique qui traitait 200 paquets par heure, rappelle-t-il. Une innovation imaginée par le fondateur, Jean-Baptiste Alphonse Leroux, à qui la chicorée doit aussi la Bretonne en costume, emblème de la célèbre marque.
Mais pourquoi donc une coiffe finistérienne d'Audierne sur l'emballage d'un produit aussi revendiqué par les Cht'is que le pâté Hénaff par les Bretons ? Parce que, et on l'a même oublié à Douarnenez, sa ville natale, Jean-Baptiste Alphonse Leroux, un ingénieur, était breton. C'est à la faveur d'un déplacement à Orchies, en 1858, qu'il racheta, pour son fils Alphonse-Henri-François, la manufacture « Herbo Fils et Cie », une petite affaire de chocolat, moutarde, tapioca et chicorée. Le début de la saga Leroux.

citez vos sources journalistiques...ou vérifiez-les en allant à Douarnenez consulter l’Etat-civil.




De notre côté nous pouvons citer pour cet aïeul (issu de l'ancien village/quartier de Passy) son acte de baptême dans les registres d’une paroisse parisienne et son acte de décès à Neuilly (acte 542/1882) précisant sa naissance « parisienne ». Et sa sépulture parisienne au cimetière de Montmartre.







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