lundi 16 février 2015

1780 Caffieri-Leroux: Un contrat de mariage à la coutume de Bretagne ou à celle de Normandie

Je dépoussière mes notes d'Eveux datant de 2002. Heureusement j'avais déjà tout informatisé à l'époque; il n'y a plus qu'à copier-coller.



(Conches, Eure)

acte N°??? NOTARIAT D'EVREUX
23 aoust 1780 Contrat de mariage
du mercredi avant midi vingt trois aoust mil sept cent quatre vingt
devant le Nre de Conches, soussigné, en l'étude II
furent présents Demoiselle Elisabeth Sophie Le Roux
fille majeure de coutume et d'ordonnance, du S. Charles Godefroi
Le Roux, directeur des Postes de la Ville d'Evreux et de Dlle Agathe
Sophie Damonville, ses pere et mere, demt en la d. ville d'Evreux
cour (d'honneur = barré) du château, Paroisse St Nicolas, icelle Demoiselle
Le Roux procedente sous l'autorité et du consentement du d. S. Le Roux
son pere, aussi a ce présent, d'une part
et le sieur Charles Antoine Caffieri Dumentin(?)
receveur de la Regie Générale en cette ville de Conches, y demt
Psse Ste Foi, fils majeur du S. Charles Philippe Caffieri, sculpteur
Breveté du Roi pour la Marine de Brest et de Dlle Marie Meotier
son épouse, tous deux décédés audit Brest, psse St Louis, d'autre
part. Entre lesquels Demoiselle et Sieur comparants on été fait les
conventions suivantes, c'est a savoir, que le d. S. Caffieri stipulant
pour lui et la d. Dlle Le Roux, avec ledit consentement qui est dit,
ont, sous le Bon Plaisir et de l'agrement de son altesse Monseigneur
Charles Henry Godefroi Duc souverain de Bouillon promis de prendre
l'un et l'autre par foi, loi et sacrement de mariage en face de notre
Mere Ste Eglise catholique apostholique et Romaine a la premiere
Requisition de l'un d'eux.
Les Biens de la Dlle Future consistent dans ce qu'elle aura droit
d'excercer sur la succesion des S. et dame ses pere et mere a laquelle
le d. S. Le Roux, Pere, a pour lui et la d. dame son epouse déclarer
expressement la reserver, pour que la Dlle leur fille la partager
en essence, avec les S. ses freres, le décès de ses S. et Dame
Le Roux arrivant, Parce que néanmoins la d. Dlle future
pourra exercer la réserve lors du décès de l'un deux, pour ce qui
pourra appartenir a la succession et après le décès de l'autre elle
continuera par suite d'exercer les droits a elle accordés par le présent,
et ce, tant sur le mobiliair que sur l'immobiliaire de ...?... et
Dame Le Roux, sans exception et dans quelques endroits qu'ils soient situés.
comme le S. Gaspard Le Roux avait contracté pour huit mille
livres de dettes pour la raison du commerce qu'il faisait alors, pour
l'acquit desquels il a fait différents billets a ordre pour la d.
somme de huit mille livres qui ont été endossés par le d. S. Le Roux,
Pere, qui en a acquitte une partie et s'est arrangé avec les créanciers
du d. S. son fils pour payer le surplus, le d. S. Le Roux, Pere,
veut? et entend que la d. Dlle sa fille, lors de son décès, preleve
soit en argent soit en sous jusqu'a concurrance de la somme de huit mille
livres pour l'egale avec le d. S. Gaspard Le Roux, ainé, qui
a recu pareille somme en avancement de succession; parce que la ditte
clause aura lieu tant par rappport au S. Charles Maurice Le Roux,
qu'au S. Emmanuel Le Roux, si mieux n'aime le d. S.
Gaspard Le Roux, donner a la d. Dlle future et a ses freres a chacun
une somme de deux mille livres pour les egaler entr'eux. comme les
S. Gaspard Le Roux et Emmanuel Le Roux ont recu de Dlle
Elisabeth Sophie Jacquet Aubertin, leur ayeulle maternelle, décédée,
veuve du S. Jean Baptiste Damonville, une somme de quinze cents
livres, ce qui a fait pour chacun une somme de sept cent cinquante livres,
le d. S.
Le Roux, Pere, tant pour lui que pour la d. dame son epouse, veut
et entend que lors de l'ouverture de la succession de la Dame Le Roux
la d. Dlle Future preleve pour l'egale avec les S. ses freres pareille
somme de set cent cinquante livres, ce qui aura pareillement lieu le S.
Charles Maurice
Le Roux qui n'aura rien recu non plus de la d. Dame son ayeulle
materielle, le tout néanmoins sans préjudice du droit de viduité
accordé au d. S. Le Roux par la coutume dans le cas ou la Dame
son épouse le predecedrait. La Dlle future epouse
apporte au d. S. futur epoux en mobiliaire les effets ci après
détaillés qu'elle déclare tenir de la liberalité de Dlle Catherine Madeleine
Magny, Vve du S. Jacques Magny, vivant her(?) en l'Election
d'Evreux, dmte la d. dame chez le d. S. Le Roux, Pere;
lesquels effets que la d. Dlle future épouse reconnait avoir en sa
possession et qu'elle promet livrer au d . S. futur le jour des
épousailles, consistent en huit paires de grands draps dont six paires
de toille fine et deux paires de toille de chanvre, deux doubliers
de double oeuvre, deux douzaines de serviettes de lin, une commode
a dessous de marbre de nouveau gout, une armoire de bois de
chesne, fermante a clef, une glace, un miroir de toilette, quatre petits
fauteuils, avec un lit composé d'une couche, d'un sommier, du chassis
trône matelats, deux couvertures de laine blanche, dont l'une
vieille, une courte pointe de satin vert, piquée en cotton, un vieux
couvrepied en indienne, piqué en cotton, le fond du dit lit en vieux
Damas vert et des rideaux de serge verte, un traversin et un
petit oreiller de coutil garni de plume, une table de nuit. tous lesquels
meubles et effets ont été estimés par les parties a la somme de
huit cent livres. Autre les objets cidessus apportés par la Dlle
future épouse, cette derniere promet livrer au d. S. Futur la veille
des epousailles, ses hardes de fillage et linge a son usage, ensemble
des bijoux dont le dit S. futur epoux déclare avoir une parfaite
connaissance, lesquels effets, joyaux et linge, ont été aussi par les
parties estimés a la somme de neuf cents livres. les objets ci dessus promis
apporter seront censés livrés le jour de la célébration du mariage,
sans qu'il soit besoin de quittance, la présente clause valant. Comme
les biens du S. futur epoux sont situés dans l'etendue de la coutume
de Bretagne, il a eu desir de l'article deux cent cinq de la même
coutume, accordé a la d. Dlle future epouse, ce acceptant, pour et
au lieu de la Douaire, le tiers en propriété des Biens dont le d. S. futur
epoux est actuellement en possession comme heritier des S. et Dame ses
pere et mere, de la succession desquels il jouit par indivis pour un septiême
avec les S. ses freres et soeurs, le tout a quelques sommes que le dit
tiers puisse se monter; clause qui aura toujours lieu dans le cas ou
le d. S. futur epoux vendrait sa portion hereditaire pour en placer le fond
dans une autre coutume qui aurait une disposition en contraire a celle de
Bretagne; obligation a la quelle le dit S. futur epoux déclare se soumettre.
La d. Dlle future epouse et le S. son pere ont accordé au dit S.
futur époux par forme de Donmobis, le tiers des biens qui echoirront
de la succession Immobiliaire des d. S. et Dame ses pere et mere, a la quelle
elle a été reservée par le présent parce que néanmoins le dit Dommobis n'aura
lieu que dans le cas ou la d. Dlle future épouse predécedrait le d. S. futur
sans enfants, car dans le cas contraire, c'est-a-dire qu'il y aurait des
enfants issus du dit mariage, le d. Dommobil(?) cessera et le dit
S. futur époux ne pourra l'exiger; mais si les enfants, issus du dit
mariage venaient a décéder en minorité, ou sans enfants, alors le dit
Dommobis reprendra toute sa force et le d. S. futur epoux pourra
l'exiger des heritiers de la d. Dlle future épouse et si c'est le d. futur
époux qui précède la d. Dlle future épouse le Dommobis cessera
pareillement d'avoir lieu. La clause ci dessus ne préjudiciera en rien
le d. S. futur époux pour raison du droit de viduité accordé par
la coutume sur la totalité de la succession quand même le Dommobil
n'avait pas lieu eu egard au cas prevu. Le d. S. futur époux
déclare renoncer au bénéfice de l'article trois cent quatre vingt dix de la
coutume de cette province de normandie, en conséquence il s'oblige a
remplacer tous les meubles et effets qui echoirront a la Dlle future épouse
lors de l'ouverture de la succession des d. S. et Dame ses pere et mere;
parce que néanmoins, le d. S. futur epoux en aura l'usufruit
sa vie durant, quand même la d. Dlle future épouse prédécèdroit le
d. S. futur époux, sans enfants. A été convenu qu'après le décès
la d. Dlle future épouse pourra renoncer ou a la communauté
ou a la succession du d. S. futur, au egard au domicile que ce dernier
aura choisi et dans l'un ou l'aures cas, elle pourra remporter les
objets par elle apportée par le présent en telle essence qu'ils
se trouveront ou la somme de dix sept cent livres, le tout
au choix de la Dlle future épouse. Autre les remports ci dessus
stipulés la d. future épouse aura par forme de pecipu
et avant partage, une chambre garnie, ou la somme de douze
cents livres, a son choix, dans le cas seulemt ou le d. S. futur
époux prédécédroit la d. Dlle future épouse, sans enfants, parce que
dans le cas contraire la d. Dlle future épouse ne pourra prétendre que
la somme de six cents livres. Les meubles et effets apportes par le
présent pour la d. Dlle future épouse appartiendront en propriété au d. S.
futur époux, sans être tenu d'en rien rendre ou restituer ni
aux enfants ni aux héritiers, le remport n'étant stipulé qu'en
faveur de la d. Dlle future seule. Nonobstant les remports et
precipu ci dessus stipulés, la Dlle future épouse demeure reservée
a l'exercice des droits qui lui sont accordés par la coutume ou
le d. S. futur epoux fixera son domicille. le futur
époux déclare consigner et remplacer tous ses biens présents
et avenirs, les somme mobiliaires qui echoirront a la
Dlle future epouse et qui lui tiendront nature de dot. Dans
le cas ou les S. et Dlle futurs se decideroient a vendre
les biens de la Dlle future epouse situés en Normandie pour en
remplacer le prix dans d'autres coutumes qui auraient des
dispositions contraires, le bien acquis conservera la même
nature a l'egard de la Dlle future epouse et du S. futur
epoux tant pour le Dommobil que pour le droit et viduité,
que si les biens etaient encore en normandie. La présente
clause en sera que personnelle au d. S. et Dlle futurs epoux et
l'on suivra a l'égard des enfants la coutume des lieux ou les
biens seront acquis. Et ont les parties evalués le tiers
accordé en Propriété a la d. Dlle future des biens dont le d.
S. futur est acuellemt en possession, a la somme principalle
de mille livres et le tiers en Dommobil dont la Dlle future
epouse vient de faire donation au d. S. futur, dans ce qui
reviendra a icelle Dlle future, des successions immobiliaires
des S. et Dme ses pere et mere, la somme de deux mille livres,
sans néammoins que ces évaluations puissent en aucune
maniere préjudicier soit la ditte Demoiselle future, ou
le d. S. futur, dans l'exercice de la maniere ci devant
expliquée, des droits que leur appartiennent ou appartiendront
en vertu du présent. dont(?) du tout les parties sont convenues
et demeurées d'accord + a la d. Dlle future. Fait et
passé conformément au modele a nous représenté, en la
maison du S. Benoist, ci-après nommé située Psse St Etienne
de cette ville, les d. Jens(?) et au que devant, Presence de
Me Michel Jacques Le Carpentier, avocat au parlement
de Paris, demt en la ville d'Evreux, Psse St Thomas et du S. Pierre
Benoist, Bourgeois de cette ville de Conches, y demt Psse St Etienne,
temoins qui ont avec le d. Dlle future et le d. S. futur, le
S. Le Roux, Pere et nous §me signé, après lecture faite
suivant l'ordre(?) approuvé douze mots rayés nuls. approuvé
aussi les mots maison, a, et le, Dommobil, on et Dame
surchargés
Bon? 11?

signé Elisabhet Sophie LeRoux
Le Roux
Caffieri
Dumentin
Benoist
Carpentier

= Brisset
Rolland Benvu?

dimanche 8 février 2015

Tillier Quitelle à Saint-Cloud en 1820 (RETRANSCRIPTION)

Il apparaît sur l'acte de mariage reconstitué TILLIER-RIQUET que le déclarant est un TILLIER marchand de vins rue Lecourbe en 1874.

La recherche sur les tables décennales et le dépouillement systématique des actes de décès (pour commencer... ) des TILLIER rapporte l'acte suivant:





Enregistrement à rechercher.


Acte 360 vue 17/31 19/02/1873 AD75 en ligne

Quitelle
Acte de décès du dix neuf février mil huit cent soixante treize, à midi
Cejourd'hui, à deux heures du matin, est décédée à Paris, en son domicile,
rue Mademoiselle n°82, en cet arrondissement, Marie Louise Quitelle
âgée de soixante quatorze ans, sans profession, née à Saint Cloud
(Seine & oise); fille de feu François Quitelle et de Marie Marguerite
Edeline, son épouse, veuve de Pierre Charles Tillier. Le décès
a été constaté suivant la loi par nous officier de l'Etat civil du
quinzième arrondissement de Paris et le présent acte rédigé sur la 
déclaration de Paul Rémi Curet, âgé de trente six ans, marbrier,
demeurant place de Vaugirard n°16 et de Joseph Brulon, âgé de quarante
sept ans, marchand de vins, demeurant rue de Vaugirard n°285, lesquels
ont signé avec nous après lecture
SIGNE

(H)


Qui dit née à Saint-Cloud... dit mariée à Saint-Cloud.
le premier enfant étant né vers 1821, le premier essai à 1820 est concluant :




Retranscription:

N°12 TILLIER P,re Charles & QUITELLE Marie Louise 13 9bre
Du treize novembre mil huit cent
vingt à onze heures du matin.
   Acte de mariage du sieur Pierre Charles
Tillier ouvrier charon, demeurant à Passy
département de la Seine chez ses père et mère, né
à Paris le vingt cinq janvier mil sept cent
quatre vingt dix neuf, fils majeur de Pierre Charles
Tillier charpentier et de Marie Marguerite
Cocherie son épouse, domiciliés au dit Passy
   d'une part
   Et de Dlle Marie Louise Quitelle
blanchisseuse, demeurante à St Cloud chez sa mère,
née en cette commune le neuf février mil sept cent
quatre vingt dix neuf, fille majeure de feu François
Quitelle le jeune décédé en cette commune le vingt
deux juillet mil huit cent trois, et de Marie
Marguerite Edeline sa veuve domiciliée à St Cloud.
   d'autre part.
   Nous Maire de la commune de St Cloud,
Vu les actes de naissance du futur, l'acte de décès
du père de la future, les actes de publications du dit
mariage, faits en cette mairie les dimanches quinze
et vingt deux octobre mil huit cent vingt sans opposition,
Pareil acte de publication fait en la mairie de
Passy lieu du domicile du futur, les mêmes dimanches
aussi sans opposition
   Après avoir donné lecture aux parties comparantes
assistées de quatre témoins ci-après nommés et
soussigné, des pièces sus-énoncées, relatives
à leur état et aux formalités de mariage, toutes les
dites pièces en bonne forme, dument signées et paraphées
au désir de la Loi, pour être déposées au Greffe du
Tribunal, ainsi que du chap. 6 du titre du mariage,
sur les droits et les devoirs respectifs des Epoux;
   Avons reçu la déclaration du sieur
Pierre Charles Tillier, qu'il prend pour épouse
Dlle Marie Louise Quitelle, et de la part de Dlle
Marie Louise Quitelle, qu'elle prend pour époux
le S. Pierre Charles Tillier.
   En conséquence, nous avons déclaré au
nom de la Loi, que le S. Pierre Charles Tillier
et Dlle Marie Louise Quitelle sont unis en mariage.
   Tout ce que dessus fait en présence et du 
consentement des père et mère de l'Epoux, et de la
mère de l'Epouse, et aussi en présence de M.M.
Etienne Tillier, Pêcheur, âgé de trente six ans
oncle paternel de l'Epoux, Charles Maurice
Emmanuel Leroux, étudiant en droit, âgé de
vingt deux ans, cousin germain de l'Epoux
tous deux domiciliés au d. Passy, Jean Francois
Quitelle propriétaire vigneron, âgé de trente deux
ans, frère de l'Epouse et Jean Baptiste
Dorange aussi prop,re vigneron, âgé de soixante
huit ans oncle de l'Epouse, tous deux demeurant
à St-Cloud.
   Et ont signé à l'exception de l'Epouse
de la mère de l'Epoux, et du d.S. Etienne
Tillier qui a déclaré ne le savoir de ce
requis suivant la Loi après lecture faite.
   approuvé la rature de 
mots xxx
SIGNE
P C Tillier
P F Tillier
M M édeline
Leroux
J b Dorange
J F Quitelle



INCOHERENCE.
Charles M E est le neveu de Pierre Charles Tillier selon l'acte notarié de 1852
le père Tillier est ici charpentier (Pierre Charles), sur l'acte notarié de 1852 il est mentionné marchand de vins et juste Charles
la mère n'est pas l'épouse de l'acte notarié de 1852 (Cocherie pour Marchand)
il y a une similitude entre COCHER et COCHERIE Marie Marguerite.
et similitude sur Etienne TILLIER oncle.


Est-il possible que l'acte de notoriété ne fasse le point que sur les enfants survivant de Pierre Charles TILLIER en 1852?
Nota seule son héritière n°1 est indiquée comme sa fille (1/2)













samedi 7 février 2015

Labouret Moncheau

A publier

acte n°389 PARIS 9 30/04/1878
Mardi 30 avril 1878 à 3h et demi mairie du 9ième arrondissement
Acte de mariage de Pierre Christophe Labouret, propriétaire, agé de 63 ans, né à Paris, deuxième arrondissement, le 15 avril 1815, demeurant à Paris, rue Saint-Lazare 91. Fils de Pierre Labouret et Marie Jeanne Desfontaine, son épouse, tous deux décédés. Veuf en 1ères noces de Agathe Didiot, décédée à Paris, 8ième arrondissement, le 17 juin 1847 et en deuxièmes noces de Amélie Amie Ferdinande Moreau, décédée aussi à Paris, neuvième arrondissement, le 13 octobre 1867.
et de Sidonie Joséphine Zoé Moncheau, propriétaire, âgée de 53 ans, née à Paris, premier arrondissement, le 10 août 1824, demeurant rue Saint-Lazare 93. Fille de Louis Joseph Hippolyte Moncheau, décédé et de Hermance Sophie Chemitte, sa veuve, rentière, demeurant à Paris, rue du Luxembourg 48, veuve de Jean Eugène Rodier, décédé à Pau (basse Pyrénées), le 31 décembre 1875
consentement de la mère reçu par Me Fould, notaire à Paris, le 26 de ce mois
contrat de mariage devant Me Fould susnommé le 25 courant
Témoins MM Adrien Adolphe Lacasse, chevalier de la légion d'honneur, 79 ans, bvd Malesherbes 40, beau frère
Louis Alphonse Labouret, 58 ans , à Brunoy (Seine et Oise) frère de l'époux
Sebastien Joseph Lazare Languillet, 63 ans, rue Boissy d'Anglade 12, beau-frère
tous trois propriétaires
Alphonse Saint-Aubin Ferdinand Chenu, directeur à l'usine Cail, 55 ans, quai de Grenelle 17, beau-frère

LACASSE : voir dossier LEONORE
doyen du conseil d'administration du sous-comptoir de entrepreneurs


acte 1166 PARIS 9 - 14 octobre 1867
MOREAU Fe LABOURET
14 octobre 1867 Amélie Anne Ferdinande Moreau, XX ans née à Paris, décédée hier
domicile conjugal rue de la victoire n°xx fille de Thomas? Frédéric Moreau propriétaire demeurant même maison et de Eugénie Véron son épouse décédée
premier mariage de Charles Didiot
épouse xx de Pierre Christophe Labouret, entrepreneur de Constructions
sur la déclaration de Albert Labouret, architecte 26 ans, demeurant à Paris, rue Saint Lazare n°111??
Edouard? Frédéric Moreau, juge au tribunal de commerce, 3X ans demeurant même maison que la défunte
(H)


15/02/1885 PARIS 9 acte 262
MOREAU
1885 15 février Edouard Frédéric Moreau 52 ans, Regent de la Banque de France, officier de la Legion d'honneur, né à Paris, décédé en son domicile rue de la Victoire 98 le 14 février
Fils de Thomas Frédéric Moreau, propriétaire demeurant rue de la Victoire 98 et Françoise Eugenie Veron son épouse décédée
Epoux de Marie Henriette Herelle
D Charles Louis Berthier, 69 ans ancien président du tribunal de commerce à Paris, officier de la légion d'honneur, rue de la Madeleine 30 beau-frère du défunt
Paul Auguste Herelle 33 ans, propriétaire, rue Marignon 21 beau-frère du défunt

21/10/1898 PARIS 9 acte 1160
Thomas Frédéric Moreau, 100 ans et 3 mois, né à Paris, propriétaire, chevalier de la Légion d'honneur, et officier de l'Instruction publique, décédé en son domicile, rue de la Victoire 98,
fils de Ferdinand Moreau et de Marguerite Hélène Cugnardey, époux décédés. Veuf de Françoise Félicité Eugénie Véron.
D Charles Didiot, 48 ans, propriétaire, 19 place de la Madeleine, petit-fils du défunt et de Maurice Frédéric-Moreau, 36 ans, ingénieur, 98 rue de la Victoire, petit-fils du défunt.

Mariages :
PARIS 9 DIDIOT 27 avril 1872 acte 462
GEOFFROY-CHATEAU & DIDIOT
Paul, Louis, Napoléon Geoffroy-Chateau, attaché aux Affaires Etrangères, 31 ans, né à Paris sur le 1er arrondissement, e 23 février 1841, demeurant avec sa mère boulevard Haussmann 121 fils de Louis Geoffroy décédé et Eugénie Honorine Ursule Voizot sa veuve propriétaire
jugement du tribunal civil de la Seine du 6 avril 1864 pour ajouter Chateau à son nom.
Charlotte Léonie Didiot, sans profession, 24 ans, née à Paris 8ième arrondissement le 25 février 1848 demeurant à Paris rue St Lazare 91, majeure fille de Charles Pierre Didiot et de Amélie Anne Ferdinande Moreau son épouse décédés. La future procédant sous l'autorité de Mr Frédéric Moreau, propriétaire demeurant à Paris, rue de la Victoire 98, son aïeul maternel.
Contrat de mariage de Me de Madre notaire à Paris le 24 avril courant
T Pierre Christophe Labouret, proriétaire 57 ans, chevalier de la légion d'honneur demeurant rue St Lazare 91, beau père de l'épouse
Jacques Henri Chauchat, ancien maître des requêtes au Conseil d'Etat, 39 ans, chevalier de la légion d'honneur, demeurant boulevard Haussmann 121, beau frère de l'époux
HIppolyte Champigny Geoffroy, juge honoraire, 66 ans, demeurant même maison, oncle de l'époux
Edouard Frédéric Moreau, juge au Tribunal de commerce, chevalier de la légion d'honneur, 39 ans, rue de la Victoire 98, oncle de l'épouse

PARIS 9 DIDIOT 14 août 1872 acte 870
GAILLARD & DIDIOT
mercredi 14 août 1872
gaston Jules Alexandre Gaillard, attaché au ministère des affaires étrangères, secrétaire particulier du ministre, 33 ans, né à Paris le 21 juin 1839, y demeurant avec sa mère boulevard Malesherbes 50, fils de Alexandre Théodore Gaillard, décédé et de Alexandrine Pétronille Julie Pelegrin sa veuve sans profession
Marie Marguerite Didiot, sans profession, 23 ans, née à Pris le 28 juin 1849, y demeurant rue St lazare 91, fille de Charles Pierre Didiot et de Anne Ferdinande Amélie Moreau son épouse, décédés. La future procédant sous l'autorité de Mr Frédéric Moreau, propriétaire demeurant à Paris, rue de la Victoire 98, son aïeul maternel seul ascendant ainsi qu'il appert de l'acte de mariage de la soeur de la future contracté en cette mairie le 27 avril dernier. Aïeul présent et consentant.
Contrat de mariage de Me de Madre notaire à Paris le jour d'hier
T Charles François Marie de Remusalt, ministre des affaires Etrangères, membre de l'institut, 75 ans, demeurant avenue Gabrielle 24
Henri Joseph Guillaume Patin, secrétaire perpétuel de l'Académie Française, 78 ans demeurant à l'Institut
Pierre Christophe Labouret, proriétaire 57 ans, demeurant rue St Lazare 91, beau père de l'épouse
Adolphe Véron, propriétaire 60 ans demeurant rue St Lazare 89


PARIS 1 MONCHEAUX 04 mai 1879 acte 450 vue 28/31
Chemitte Vve Moncheaux
Du quatre Mai mil huit cent soixante dix neuf, à dix heures et demie du matin
Acte de décès légalement constaté de Sophie Harmance Chemitte, rentière,
âgée de quatre vingt huit ans, née à Rouen (Seine Inférieure), décédée à Paris le trois
du courant, à onze heures et demie du matin, en son domicile, rue de Luxembourg
48; veuve de Louis Joseph Hyppolyte Moncheaux; fille de défunts Charles
Nicolas Chemitte et de Sophie Prudence Aubin, son épouse. Sur la déclaration
faite à nous Officier de l'Etat civil du premier arrondissement de Paris par
Sébastien Joseph Lazare Languillet, propriétaire, âgé de soixante quatre ans,
rue Boissy d'Anglas, 12,  à Paris, gendre de la défunte, et par Pierre Christophe
Labouret, propriétaire, chevalier de la légion d'honneur, âgé de soixante quatre ans,
rue Saint Lazare 91 à Paris, gendre de la défunte. Lecture faire, les témoins ont signé avec nous%
SIGNE J Languillet     Labouret





Paris 9ième ARR acte 1164
décès LE COUTURIER DE COURCY, Fe FROSSARD, Anne Adélaïde
14 octobre 1867

Malliez 1876 à Cannes

Cette page est une recopie de l'email du 31/10/2013:


Je viens de trouver dans les registres de Cannes l'acte de décès de Léon Jérôme AugusteMALLIEZ pour lequel j'avais très peu de renseignements. Le patronyme MALLIEZ étant très peu répandu, je gardais espoir de localiser ce descendant, mais le retrouver à Cannes fut pour moi une surprise.

L'acte est consultable page 302 du registre accessible par le lien ci-dessous:


retranscription de l'acte

n°317 Malliez Léon Jérôme Auguste

Mairie de Cannes Arrondissement de Grasse
Du neuf octobre an mil huit cent soixante-seize à l'heure de midi
Acte de décès de Léon Jérôme Auguste Malliez célibataire
décédé à Cannes Hôtel de France le même jour
à dix heures du matin sans profession âgéd
de vingt trois ans né à Paris
département de la Seine domicilié à Paris
fils de Charles Antoine Malliez rentier
et de Clara Adélaïde Duffié rentière domiciliée à Paris
Sur la déclaration à moi faite par Joseph Gimbert
âgé de trente sept ans, profession de docteur en médecine
domicilié à Cannes qui a dit être art?   du défunt,
et par Jacques Joseph Raybaud âgé de 
quarante deux ans, profession de employé
domicilié à Cannes qui a dit être asss? du défunt,
Constaté, suivant la loi, par moi Anne Roustan, adjoint déléguée
du Maire
remplissant les fonctions d'Officier de l'Etat Civil, après m'être assuré du décès,
et lecture du présent acte a été donnée aux déclarants, qui ont signé.
Signé
Dr Gimbert
Raybaud

(H)

Dictionnaire des imprimeurs-lithographes du XIXe siècle

Source pouvant être utile:
http://elec.enc.sorbonne.fr/imprimeurs/

 

projet DEF19

des éditeurs du XIXè

https://actions-recherche.bnf.fr/bnf/anirw3.nsf/IX01/A2014000283_def19-dictionnaire-des-editeurs-francais-du-xixe-siecle

 

Tillier (suite) - rue de l'hôtel de ville à Paris 1895

Louise Marguerite Tillier (nièce Leroux et nièce Rodier) est mentionnée comme concierge quai de l'hôtel de ville lorsqu'elle demande la reconstitution de son acte de mariage avec Honoré Ambroise Lebel en 1880 (?)

Son acte de décès a été trouvé sur les archives en ligne de la ville de Paris.
On y apprend que ses deux petits-fils déclarent son décès (de nouvelles perspectives de cousins parisiens!) Toutefois ces deux petits-fils ne connaissent pas les noms et prénoms des parents de leur grand-mère.

Enregistrement à rechercher
Arrondissement à préciser.


Acte 999 vue 14/21 17/04/1895 AD75 en ligne

Tillier Ve Lebel
L'an mil huit cent quatre vingt quinze, le dix sept
Avril à une heure du soir, acte de décès de Marguerite
Louise Tillier, âgée de soixante quatorze ans, 
journalière, née à Auteuil (Seine) décédée en son domicile
Rue de l'hôtel de ville 38, le seize courant à neuf heures
du soir; fille de ..... sans renseignements; veuve
de Honoré Lebel = dressé par nous Paul Georges Fabre,
adjoint au Maire, officier de l'Etat Civil du quatrième
arrondissement de Paris sur la déclaration de : Louis
Dufossé; trente trois ans menuisier à Champigny
(Seine) et de Auguste Lebel, vingt huit ans, imprimeur
rue de l'hôtel de ville 38 petits fils, qui ont signé avec
Nous après lecture%
SIGNE A. Lebel   Louis Dufossé

(H)

Nota : date du mariage : 30 9bre 1839 Auteuil (Archives de Paris/EC reconstitué)